Apparemment Ferhat Mehenni souffre de masochisme puisqu’il donne l’impression de savourer les claques qu’il reçoit à chacune de ses sorties médiatiques.
Ses nombreux échecs dans ses tentatives de se faire le servant docile des ennemis du pays ou encore dans ses ruades pour se faire reconnaître le porte-parole d’une région du pays, la Kabylie, qui l’a renié depuis des années, l’enfoncent encore plus dans le costume du parfait fou à lier, et son cas est maintenant établi qu’il relève de la psychiatrie ni plus ni moins.
Ce sinistre individu a choisi le camp des ennemis du pays. Il s’est fait l’homme lige des sionistes en leur prêtant allégeance lors de la visite qu’il avait effectuée à Israël au mois de mai 2012. Devenu un épouvantail prêt à être agité au rebat opportun il s’est vite vu, mis au rébus par ceux auquel il avait joué la danse du ventre. Pris par ses démons, il s’est tourné vers le Makhzen auquel il a juré servilité. Pour montrer patte blanche auprès des services marocains, il avait retiré de ses déclarations à la presse du Makhzen toute référence à un soutien aux populations rifaines pourtant amazighophones, et crié sur tous les toits que le Sahara occidental, occupé depuis 1975, est une province marocaine. Et cela n’a pas fait de lui l’outil idéal pour ceux qui espèrent déstabiliser l’Algérie. Ils voulaient le voir encore plus soumis et encore plus servile.
Récemment il a fait les yeux doux aux Émirats arabes qui nourrissent de funestes plans pour toute la région d’Afrique du nord et la région du Sahel et applaudi la position des putschistes de Bamako qui avaient rappelé leur ambassadeur d’Algérie pour consultation. L’autre claque cinglante lui avait été assénée par la population d’Akbou et son équipe de football l’Olympique qui avaient rappelé leur attachement à la patrie Algérie et leur refus d’être les victimes du jeu lugubre du triste sire Ferhat Mehenni.
Et le chemin vers la trahison de cet énergumène lui a réservé d’autres déboires. Récemment lors de la 23e session des Nations unies dédiée au mécanisme d’experts sur les droits des peuples autochtones (Medpa), il avait prononcé un discours à travers lequel il avait tenté de récupérer le Congrès mondial amazigh (CMA). Cette organisation non-gouvernementale n’a pas tardé à réagir via un communiqué de son instance dirigeante pour rappeler qu’en sa qualité d’organisation non gouvernementale issue de la société civile, elle tient à réaffirmer son indépendance vis à vis de toute obédience ou idéologie politique. Il dénonce toute tentative d’immixtion ou d’ingérence dans son action et condamne toute action ou position prise en dehors de ses instances internes.
Cela est clair est met Ferhat Mehenni dans la position du Pinocchio qui est rattrapé par ses mensonges et ses élucubrations puisque le CMA enfonce le clou en précisant que ni lui ni sa co-présidente Mme Kamira Naït Sid n’ont jamais mandaté Ferhat Mehenni a parler en leur nom ou pour les représenter. Voilà qui est clair et qui lève toute équivoque. Mais cela suffira-t-il à faire taire une fois pour toutes l’oiseau de mauvais augure qu’est le traître Ferhat Mehenni qui ne semble pas comprendre que le peuple algérien est indivisible et que l’unité nationale a été scellée par les sang versé aussi bien dans les maquis du Djurdjura que ceux des Aurès, de Djelfa, du sud ou de l’ouest du pays. Ce n’est pas le fiel qu’il verse à longueur de journées qui va désunir un peuple qui a recouvert son indépendance en assumant pleinement sa fraternité, son union et sa diversité.
Slimane B.
