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Hadj-2015: début de dépôt des demandes de visa aux Lieux saints, à Alger

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Des centaines de futurs  »hadjis » se sont présentées mercredi dès les premières heures de la matinée à Alger, pour déposer leur demande de visa aux Lieux saints pour le hadj-2015, une opération qui a également été entamée dans l’ensemble des wilayas. Située dans une ancienne bibliothèque d’archives à la fin de la rue du Dr Saâdane, sous le Palais du Gouvernement, une salle a été aménagée par le ministère de l’Intérieur et des Collectivités locales pour recevoir les dossiers de visa des Algériens en partance vers La Mecque. Sur place, les demandeurs de visa devaient patienter pendant de longues heures à l’extérieur de la salle, en attendant qu’un agent de police procède à un appel nominatif des personnes présentes, qui sont ensuite conviées à déposer leur dossier.

Des enfants des camps des réfugiés sahraouis en vacances, à Gouraya
Le camp de toile Sidi-Brahim, à Gouraya, Tipasa, abrite, depuis le 6 août, et ce, jusqu’au 20 prochain, des enfants des camps des réfugiés sahraouis, en vacances. C’est à l’initiative de l’Assemblée populaire communale d’Alger-Centre, que près de 200 garçons et filles sahraouis profiteront durant leurs séjours, au lieu précité, du soleil au bord de mer et de la beauté des montagnes qui la surplombent. Cette initiative entreprise par les élus et le personnel de l’APC d’Alger-Centre s’inscrit dans le sillage de sa traditionnelle solidarité avec le peuple sahraoui, laquelle cette fois-ci a permis à 200 Sahraouis, entre enfants et adolescents, des camps des réfugiés sahraouis, de passer des instants de vacances, eux qui sont privés de s’amuser sur les rivages du Sahara occidental, à cause de la colonisation marocaine de leur territoire. La prise en charge du camp de toile de Sidi-Brahim étant assurée par les initiateurs, l’animation et l’encadrement des enfants venus des différents camps des réfugiés sahraouis sont assurés par des animateurs et encadreurs sahraouis.

Tarf : de nouveaux équipements paratonnerres au poste frontalier d’Oum-Théboul
De nouveaux équipements paratonnerres ont été installés, mardi, au poste frontalier d’Oum-Théboul (El-Kala) en remplacement de ceux détériorés par la foudre de lundi dernier, a indiqué, hier, la cellule de communication de la sûreté de wilaya de Tarf. Selon la même source, des équipements spécifiques à distance ont été, aussitôt la panne survenue, exploités pour la prise en charge des nombreux passagers ayant transité le même jour par ce poste frontalier. La panne a été rétablie en moins de cinq heures, a-t-on ajouté de même source, en indiquant que des actions de sensibilisation des voyageurs pour les orienter vers le poste frontalier d’El-Ayoun, ont été également initiées afin de faciliter leur transit. Il est à noter que pas moins de 10 000 passagers et 4 000 véhicules transitent quotidiennement par le poste frontalier d’Oum-Théboul, depuis le 1er août courant.

Oran : 151 opérations de police menées en une semaine
Quelque 151 opérations de police ont été effectuées à Oran, durant la période allant du 2 au 8 du mois en cours, a révélé, hier, la sûreté de wilaya d’Oran. Ces opérations, menées par les éléments des 25 sûretés urbaines, en collaboration avec leurs collègues des services de la sécurité publique et de la police judiciaire, ont permis d’appréhender 334 individus qui ont fait l’objet de contrôles d’identité. 23 d’entre eux ont été arrêtés et présentés à la justice qui a ordonné la mise sous-mandat de dépôt de 12 personnes, ajoute-t-on de même source. Divers délits ont été retenus contre les mis en cause, comme la détention et la consommation de stupéfiants et psychotropes, coups et blessures volontaires, port d’armes blanches prohibées, conduite en état d’ivresse, vols. Certains individus faisaient également l’objet de mandat de recherche, explique-t-on.

60 disparus dans un canot en difficultés repéré, avant-hier, au large de la Libye
Des migrants secourus, mardi, sur un canot à moitié submergé au large de la Libye ont fait état d’une soixantaine de disparus, a indiqué, hier, l’Organisation internationale pour les migrations (OIM). Mardi après-midi, un hélicoptère de la marine italienne inspectant la zone a repéré un canot pneumatique en partie dégonflé et submergé, et a immédiatement largué des radeaux de survie pour les dizaines de migrants encore entassés sur l’embarcation, a expliqué la marine. Arrivé peu après sur les lieux, la corvette « Fenice », qui venait de porter secours à 119 migrants à bord d’un autre canot, a secouru 52 personnes sur les lieux. Deux autres migrants, accrochés à un baril, ont été repérés par un hélicoptère et hélitreuillés. L’OIM a pour sa part fait état de 54 personnes secourues dans un premier temps et arrivées dans la nuit à Lampedusa, l’île italienne la plus proche des côtes africaines, et de trois survivants repêchés ensuite. Selon les premiers éléments fournis par les survivants à un représentant de l’OIM à Lampedusa, il y avait entre 117 et 120 personnes à bord du canot, tous originaires d’Afrique subsaharienne (Ghana, Mali, Nigeria, Cameroun…).

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