L’Algérie a été élue vendredi, pour la huitième fois de son histoire, en qualité de membre au Conseil économique et social des Nations unies (ECOSOC), pour un mandat de 3 ans, à compter du 1 janvier 2025 au 31 décembre 2027, avec une très large majorité de 185 voix sur les 190 pays ayant participé au vote. Une élection qui reflète ainsi la crédibilité de l’Etat algérien, dans son rôle au sein des institutions internationales, continentales et régionales, à travers son attachement aux principes et valeurs de respect des lois et du droit international, et ses capacités et performances diplomatiques, dans le sillage de la pertinence de sa politique étrangère. En effet, cette désignation est un gage de confiance dont jouit l’Algérie au sein des Nations unies, et constitue également une reconnaissance de sa capacité à mettre en œuvre l’expérience et l’engagement nécessaires pour atteindre les objectifs de développement durable à l’horizon 2030. Une démarche conforme aux directives du président de la République, Abdelmadjid Tebboune, dans la lutte contre les disparités au sein et entre les nations, pour le renforcement de la solidarité internationale et l’application du principe d’autodétermination, l’aide humanitaire et la contribution aux fonds internationaux et régionaux. Notons, à cet égard, un engagement infaillible de l’Algérie, en faveur de la coopération multilatérale et du développement mondial, et à promouvoir les valeurs fondamentales au cœur de la mission des Nations unies que sont la paix, le développement et les droits de l’Homme.
Hamid Si Ahmed
