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Du rêve de grandeur à la déchéance des traitres : Ferhat Mehenni lâché par ses protecteurs français

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La lune de miel entre Paris et Ferhat M’henni est à son déclin et tout laisse penser qu’il pourrait tomber en disgrâce dans les prochains jours. Ses protecteurs ont compris qu’il est devenu un « ami » encombrant et que l’urgence de s’en éloigner est devenue une nécessité pour préserver les intérêts de la France D’ailleurs, l’arrêté du préfet des Yvelines, interdisant un rassemblement qui devait se tenir en région parisienne après la cérémonie de proclamation de la pseudo indépendance de la Kabylie est un signal fort adressé par la France officielle à ce trublion. L’autre signal fort est l’absence d’officiels français à la cérémonie dans laquelle trônait un représentant de la Knesset et plusieurs représentants du Makhzen marocain.  Ferhat Mehenni a compris que le territoire français n’est plus ouvert à ses lubies et que désormais il doit migrer vers le Maroc ou encore Israël pour continuer à exister et à gesticuler. Il faut savoir que le prétendu président du MAK, qui activait au nom d’une association, à caractère culturel comme le mentionne son agrément déposé selon les dispositions de la loi de 1901, a dépassé les limites du « gérable » pour la France officielle. Se croyant protégé il est devenu gênant ce qui a poussé la France officielle à réagir en mettant le holà à ses rêves de grandeur. Selon plusieurs sources, il pourrait même se voir déclaré persona non grata dans les prochains jours voire même placé sous OQTF (obligation de quitter le territoire français). Lâché par plusieurs de ses cadres qui ont fait défection pour revenir dans les bras de la mère patrie, et constatant le froid qui caractérise aujourd’hui ses relations avec Matignon, il est pris de panique et tout laisse penser qu’il est affairé à préparer ses bagages pour rejoindre la brigade des traitres qui a choisi de se faire la serpillière du Makhzen et son outil de propagande pour tenter de déstabiliser l’Algérie. Ferhat qui a toujours profité de la complaisance de certains cercles du pouvoir français voit sa marge de manœuvre se rétrécir chaque jour un peu plus. L’interdiction prononcée par le préfet du département des Yvelines du rassemblement du MAK doit être perçue non comme un simple acte administratif mais comme un tir de semonce, un avertissement que plus rien ne sera comme avant en France pour Ferhat et ses affidés. D’ailleurs, selon des sources, la crainte de se voir extradé vers Alger va le pousser à choisir entre un exil dans les bras de la peste ou encore dans ceux du Cholera. Rabat et Tel Aviv qui pourraient lui ouvrir leurs salons ce qui signifierait un hara-kiri pour son mouvement terroriste. Car quel est le proche de cet individu qui pourrait accepter de le voir sous la protection de pays colonisateurs, pourfendeurs des droits de l’Homme et surtout ennemis jurés de l’Algérie ? En effet s’improvisant nervi des ennemis de l’Algérie le MAK a porté en lui les raisons de sa disparition. Aujourd’hui, après la dissipation des vapeurs éthyliques qui engluaient son cerveau, il découvre que son mouvement a perdu la bataille en Algérie, est vomi en Kabylie et que lui et ses adeptes doivent se jeter dans la fange des traitres que sont Rabat et Tel Aviv pour cacher leur honte et leur félonie dans un exil qui sera loin d’être doré. L’arrêté du préfet du département des Yvelines est un signe de rupture avec les cercles qui le soutenaient en France. C’est un lâchage et un désaveu et ce qu’il croyait être un rendez-vous avec l’histoire et la prospérité s’est avéré être un réveil brutal qui le plonge dans la réalité de sa trahison et du sceau de l’infamie qui va le marquer jusqu’à la fin de ses jours. Ferhat Mehenni envisage la fuite vers Rabat ou Tel Aviv, qui pourraient lui servir de repaire pour continuer à distiller son venin. Mais ses deux employeurs accepteront-ils de couver un individu qui ne représente plus rien, une coquille vide qui ne pourra même pas servir leurs intérêts ?

Slimane B. 

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