Le parc zoologique de « Mostaland » de la wilaya de Mostaganem a enregistré, dernièrement, la naissance de 10 lionceaux de la race des lions d’Afrique, dont 4 blancs rares, a-t-on appris, mercredi, auprès de la direction du parc. Le responsable de la clinique vétérinaire du parc, Lakhdar Ouassini, a déclaré à l’APS que « Mostaland » a enregistré, en l’espace d’une seule semaine, deux naissances successives de jumeaux, composés de 5 lionceaux de la lionne « Shima » et cinq autres de la lionne « Juliette » (née en Algérie), comprenant 4 lionceaux blancs de la famille des lions rares d’Afrique. M. Ouassini a indiqué que « les jumeaux sont actuellement en bonne santé, d’autant que l’équipe vétérinaire du zoo leur a fourni toutes les conditions nécessaires pour les soins vétérinaires, ce qui permet jusqu’à présent aux petits de ne compter que sur leur mère, sans assistance ». En 2019, le parc Mostaland a enregistré la naissance du premier lion blanc d’Afrique en Algérie (Juliette), ce qui est un cas rare dans le monde, d’autant que ce type de félin ne vit que dans certains parcs (125 lio ns) et n’existe plus dans la nature. L’année dernière, le même parc a enregistré un autre événement rare, après la naissance de jumeaux composés de 4 petits blancs de la lionne « Juliette », qui a déjà donné naissance à 7 lionceaux en une seule fois. M. Ouassini a qualifié cet événement d’exceptionnel et « impressionnant », surtout que le nombre de ces grands félins rares (lions d’Afrique et les tigres de Bengale) a atteint 28 dont 8 lions d’Afrique blancs. Cet espace ouvert aux visiteurs, le 13 juillet 2017, accueille 100 animaux de 36 espèces et races dont des animaux rares, à l’instar de tigres royaux du Bengale, les « loups blancs de l’Arctique », les « lamas », les « yaks » et singes papous, gabonais, « crocodile du Nil », « lion d’Afrique », et espèces algériennes menacées comme la « hyène tachetée », le « fennec », le « macaque » ou « le magot ».
Sûreté d’Alger: arrestation de 7 individus et saisie de près de 3000 capsules de psychotropes
Les services de la Sûreté d’Alger ont arrêté 7 individus impliqués dans un trafic de drogue et saisi près de 3000 capsules de psychotropes, indique, vendredi, un communiqué des mêmes services. La brigade de la police judiciaire de la circonscription administrative de Zeralda a arrêté « deux suspects pour possession, stockage et trafic de psychotropes dans le cadre d’un groupe criminel organisé », précise le communiqué. L’opération a eu lieu suite à « des informations parvenues aux éléments de la brigade selon lesquelles un repris de justice s’adonnait à un trafic de comprimés psychotropes dans un quartier à Zeralda. Le mis en cause et ses acolytes ont été arrêtés et 2944 capsules de psychotropes ont été saisis. Les suspects ont été présentés devant le parquet territorialement compétent.
Accidents de la circulation en zones urbaines : 8 morts et 474 blessés en une semaine
Huit (8) personnes ont trouvé la mort et 474 autres ont été blessées dans 384 accidents de la circulation survenus en zones urbaines durant la période allant du 26 septembre au 2 octobre, a indiqué jeudi un bilan des services de la Sûreté nationale. Le bilan fait état d’une baisse du nombre d’accidents (-12), de décès (-6) et une hausse dans le nombre de blessés (+26) par rapport aux chiffres enregistrés la semaine précédente, a précisé la même source. Le facteur humain demeure la principale cause de ces accidents (+96%), en raison notamment du non respect du code de la route et de la distance de sécurité, de l’excès de vitesse, de la fatigue et du manque de concentration au volant, outre des raisons liées au véhicule, selon les données des services compétents de la Sûreté nationale.
Dans ce cadre, la Direction générale de la Sûreté nationale (DGSN) appelle, à nouveau, les usagers de la voie publique à la prudence et au respect du code de la route, rappelant les numéros vert 1548 et de secours 17 mis à la disposition des citoyens 24h/24h pour tout signalement.
Le Zimbabwe lance une devise numérique adossée à l’or
Le Zimbabwe a introduit jeudi un jeton numérique adossé à l’or comme méthode de paiement supplémentaire pour les transactions commerciales et bancaires nationales, a indiqué dans un communiqué la banque de réserve du Zimbabwe (BRZ). Cette devise numérique, baptisée Zimbabwe Gold (ZiG), « s’échange à parité égale avec la pièce d’or physique Mosi-oa-Tunya et restera déterminée par le prix international de l’or », a déclaré la RBZ dans son communiqué. Le Zimbabwe a lancé cette pièce d’or en 2022 pour contrôler l’inflation dans le pays. « Les banques tiendront des comptes ZiG spécifiques et effectueront des transactions en ZiG de la même manière qu’elles effectuent des transactions en devise locale et étrangère », a précisé la RBZ.
Inde : au moins 40 morts après le débordement d’un lac dans l’Himalaya
Au moins 40 personnes ont péri dans une vallée himalayenne du Nord-Est de l’Inde et des milliers d’autres sont sans abri après des crues subites provoquées par le débordement mercredi d’un lac glaciaire, selon un nouveau bilan communiqué vendredi par les autorités. « Dix-neuf corps ont été retrouvés », a déclaré aux médias V.B. Pathak, le plus haut fonctionnaire de l’État du Sikkim. Au Bengale occidental voisin, 21 autres corps ont été retrouvés ces trois derniers jours, a indiqué aux médias, Shama Parveen, magistrate de district. Le précédent bilan annoncé jeudi par les autorités était d’au moins 14 morts mais les équipes de recherche et de sauvetage en aval ont récupéré de nouveaux corps durant la nuit alors que les eaux se dirigeaient vers le golfe du Bengale. Près de 8 000 autres personnes se sont réfugiées dans des camps de secours improvisés dans des écoles, des bureaux gouvernementaux et des maisons d’hôtes, selon un communiqué de l’État du Sikkim. Les conditions météorologiques s’améliorant vendredi, « il pourrait y avoir une fenêtre d’opportunité pour évacuer à bord d’hé licoptères les touristes bloqués « , ajoute le communiqué.
Le lac Lhonak, qui a débordé mercredi, entraînant d’importantes destructions dans une vallée en aval, est situé au pied d’un glacier proche du Kangchenjunga, le troisième plus haut sommet du monde.
Mise en échec d’une tentative d’émigration clandestine à Aïn Témouchent
Les services de la Gendarmerie nationale d’Aïn Témouchent ont déjoué une tentative d’émigration clandestine par mer et arrêté 11 personnes, dans le cadre de cette affaire, a-t-on appris, mercredi, auprès de ce corps de sécurité. L’opération est intervenue suite à l’exploitation d’informations parvenues à la compagnie territoriale de la Gendarmerie nationale de la commune d’El-Amria, faisant état d’un groupe de personnes préparant une traversée clandestine par mer, a précisé la même source. Les investigations menées par la section de sécurité et d’investigations de la Gendarmerie nationale de Bouzedjar, relevant de la compagnie territoriale d’El-Amria, ont permis de mettre à nu le plan du groupe, avec l’arrestation de 11 personnes, mardi soir au niveau de la zone rocheuse de la plage « Sbiâat », dans la commune de « Mesaïd », qui étaient sur le point de prendre le large, a ajouté la même source. L’opération a permis la saisie d’un camion, une embarcation pneumatique et une boussole, a indiqué la même source, ajoutant que les personnes arrêtées ont été transférées au siège de la Gendarmerie nationale et une enquête a été ouverte sur cette affaire.
Une femme donne naissance à des quadruplés à Mecheria (Nâama)
Une femme a donné naissance à des quadruplés par césarienne, dans la nuit de mercredi à jeudi à l’hôpital « Frères Rahmani » à Mecheria (30 km au nord de la wilaya de Nâama), a-t-on appris jeudi du Directeur de cet établissement sanitaire, Meguenassi Aboubekr. Le même responsable a indiqué que les quadruplés (3 filles et un garçon) ont été mis au monde par une femme âgée de 39 ans, originaire de la commune de Mecheria, lors de son premier accouchement, après 30 semaines de grossesse, notant que les quatre nouveau-nés et la mère sont dans un état médical stable au niveau du service de néonatalogie. Une équipe médicale composée de spécialistes en chirurgie gynécologique et en réanimation, ainsi que d’infirmières et de sages-femmes, a été mobilisée pour superviser l’accouchement de la femme, qui a duré deux heures, selon la même source.