La 22e édition du Festival national de la musique moderne pour la jeunesse s’est clôturée mardi soir à Oran, en présence d’un public nombreux composé d’amateurs de musique moderne et de familles venues encourager les jeunes talents. La cérémonie de clôture de cet événement s’est déroulée en présence du secrétaire général du ministère de la Jeunesse, Dahmane Adhimi, représentant le ministre de la Jeunesse chargé du Conseil supérieur de la jeunesse, Mustapha Hidaoui, ainsi que du secrétaire général de la wilaya d’Oran, Fodil El Aïdani, des délégations participantes, de cadres des institutions de jeunesse et de représentants d’associations œuvrant dans les domaines de la jeunesse et de l’art, ainsi que de spécialistes de la musique. Dans une allocution prononcée à cette occasion, le secrétaire général du ministère de la Jeunesse a déclaré que « cet événement a constitué un espace de créativité, une tribune pour la voix des jeunes et un pont reliant l’art à l’ambition, ainsi qu’un vaste espace pour les énergies juvéniles qui nous ont impressionnés par leurs réalisations ». M. Adhimi a souligné : « Nous espérons que ce festival demeurera un rendez-vous annuel accueillant les jeunes talents et soutenant la musique moderne sous toutes ses formes ». La 22? édition du Festival national de la musique moderne pour la jeunesse, marquée par une forte compétition entre dix groupes musicaux, s’est conclue par la remise des prix aux lauréats. Le premier prix a été remporté par le groupe « Itheran » de la wilaya de Tizi Ouzou, tandis que la deuxième place est revenue au groupe « Firouz Bad » de la wilaya d’Oran. La troisième place a été attribuée au groupe « Azagar » de la wilaya d’Illizi, en plus de la remise de trophées et d’attestation de participation à l’ensemble des groupes ayant pris part à cet événement artistique. La cérémonie de clôture de cette édition, placée sous le slogan « La jeunesse d’aujourd’hui, l’avenir de demain », a été marquée par des prestations musicales issues du patrimoine algérien interprétées par le groupe « Labiodh Sidi Cheikh », ainsi que par d’autres morceaux du répertoire oranais.
