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L’armée vénézuélienne a abattu un avion de trafiquants de drogue américain

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Immatriculé aux États-Unis, un avion de trafiquants de drogue a été abattu par des militaires vénézuéliens. «Un avion de trafiquants de drogue immatriculé aux États-Unis qui est entré illégalement dans l’espace aérien vénézuélien via l’État de Zulia a été neutralisé», a annoncé le ministre vénézuélien de l’Intérieur Nestor Reverol via Twitter. Il a également publié des images de l’avion détruit. «Nous maintenons un état d’alerte permanent. Nous surveillons notre espace aérien pour éviter qu’il ne soit utilisé pour le trafic de drogue illicite en provenance de Colombie, le plus grand producteur de cocaïne au monde», précise le ministre. Les militaires vénézuéliens ciblent souvent des avions non identifiés utilisés par les trafiquants. Pour la dernière fois, un tel avion immatriculé aux États-Unis a été abattu en juillet. En 2013, le Président vénézuélien Nicolas Maduro a autorisé la destruction de tout avion de trafiquants entrant dans l’espace aérien du pays. L’initiative du projet de loi appartient à son prédécesseur Hugo Chavez.

Joe Biden confond l’Irak avec l’Iran
En déplacement le 15 septembre à Tampa, en Floride, Joe Biden s’est trompé emmêlé les pinceaux dans les pays en parlant des soldats américains tués en Irak et en Afghanistan. «Des troupes américaines sont décédées en Iran et en Afghanistan […]. Chacun de ces anges déchus a laissé une famille, une communauté. Il y a désormais un siège vide à cette table», a-t-il souligné. Plus tard, le candidat démocrate pour l’élection présidentielle a toutefois corrigé son erreur en revenant sur le nombre de militaires américains blessés en Irak et en Afghanistan. L’armée américaine ne s’est jamais battue en Iran, contrairement à l’Irak où les États-Unis ont mené les opérations militaires Tempête du désert et Renard du désert.

Focus sur « La Maquisarde », de Nora Hamdi
Alors que les films sur la Guerre de libération algérienne sont nombreux, rares sont ceux qui, au-delà de la mise en valeur de héros masculins, évoquent l’existence de femmes ayant combattu pour mettre fin au colonialisme. Seules ou presque, les poseuses de bombes de la bataille d’Alger ont pu apparaître à l’écran, mais dans des rôles secondaires. Quant aux longs métrages traitant de la lutte armée entre 1954 et 1962 ayant des femmes pour personnages principaux, ils sont, hormis un ou deux documentaires à l’audience réduite, quasiment inexistants. Voilà pourquoi on ne peut que prêter un intérêt particulier à La Maquisarde, une adaptation au cinéma du livre éponyme de la réalisatrice, Nora Hamdi, publié en 2014 aux Éditions Grasset. Ce film se déroule en 1956, quand Neïla, une jeune paysanne kabyle dont un frère participe à la lutte armée, est amenée sans l’avoir vraiment décidé à rejoindre un groupe de maquisards puis est capturée par un commando de l’armée du colonisateur. L’essentiel du long métrage va alors consister à raconter les interrogatoires de l’héroïne dans une prison secrète où opèrent sans ménagement des soldats français à la recherche de renseignements. Puis sa longue détention dans une cellule qu’elle va partager avec une Française, Suzanne, ancienne figure de la résistance aux nazis sous l’occupation désormais accusée d’aider le FLN. Avant une improbable délivrance avec l’aide d’un officier humaniste qui réprouve les méthodes de ses camarades militaires. Malgré la notoriété de la cinéaste, déjà auteur en 2008 d’un film tiré de son premier livre (Des Poupées et des anges, avec notamment Leïla Bekhti, Léa Seydoux et Samy Naceri) ainsi que de quatre romans remarqués, la réalisation de La Maquisarde ne fut guère aisée. Après trois ans de recherches historiques et de recueil de témoignages, Nora Hamdi n’a pu porter à l’écran comme elle l’aurait voulu ce récit inspiré de ce qu’a vécu sa mère pendant la guerre d’indépendance.

Bonne nouvelle pour Riyad Mahrez
Testé positif au Coronavirus il y a quelques jours, Riyad Mahrez est de nouveau opérationnel et va donc faire son retour aux entraînements dès ce mercredi. C’est, du moins, ce qu’indiquent des sources proches du capitaine des Fennecs.

Washington en guerre contre le Nord Stream 2
Depuis l’annonce le 2 septembre, par Angela Merkel, que le gouvernement allemand détiendrait la preuve qu’Alexeï Navalny aurait été victime d’un empoisonnement, les appels à remettre en cause le projet de gazoduc se multiplient jusque dans le camp de la chancelière allemande. Alors qu’elle répétait le 1er septembre, face aux menaces de sanctions américaines, son attachement à ce projet entériné en 1997, Angela Merkel a finalement depuis ouvert la porte à son éventuel arrêt. «Cela serait une première, car cela traduirait un gâchis important», réagit pour Sputnik Jacques Percebois, directeur du Centre de recherche en économie et droit de l’énergie (CREDEN). En effet, s’il n’est pas exceptionnel que des projets de pipeline ne voient pas le jour (tel South Stream, qui devait relier la Russie à l’Europe occidentale), le professeur émérite à l’université de Montpellier souligne qu’il est en revanche beaucoup plus rare que des projets mis en chantier soient annulés en cours de route. Nord Stream 2, qui passe par la mer Baltique, est déjà achevé à plus de 95%, sa mise en service étant prévue début 2021. Ainsi, une telle décision politique s’accompagnerait-elle d’une casse financière considérable pour les compagnies européennes ayant participé à ce projet: le français Engie, l’anglo-néerlandais Shell, l’autrichien OMV et les allemands Uniper et Wintershall. Sur les 10 milliards d’euros investis dans gazoduc, chacune d’entre elles a mis environ un milliard sur la table, le solde ayant été apporté par le russe Gazprom. Suite à la reprise du chantier, qui enregistre ainsi un an de retard, les Américains ont décidé en juillet d’élargir leurs sanctions à l’égard de toutes les compagnies impliquées d’une manière ou d’une autre (armateurs, assurances, autorités portuaires, organismes de certification, etc.) dans Nord Stream 2, et ce d’une manière rétroactive. Comme le précisait alors à Sputnik la société Nord Stream 2 AG, opérateur du gazoduc, ce dernier fait travailler pas moins d’un millier d’entreprises originaires de 25 pays.

Mis aux poings
« Un vaccin contre le Covid-19 pourrait être prêt dans un mois », Donald Trump, président américain.

Tout ça pour faire mieux, et plus vite que les Russes. Décidément, quelle triste époque nous vivons !

« La situation épidémiologique en Algérie est plutôt stable », Fawzi Derrar directeur général de l’Institut Pasteur d’Alger.

Cette approximation dans le propos, dans la bouche d’un scientifique, fait « plutôt peur».

« La décision de normaliser les relations avec Israël est la voie à suivre pour tous les autres pays arabes », Cheikh Abdallah Bin Zayed le chef de la diplomatie émiratie.

D’où, cette impérieuse nécessité de quitter la ligua arabe au plus vite.

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