Le Premier ministre de l’entité sioniste, Benyamin Netanyahu, a été décrit comme le « Hitler des temps modernes ».
C’est la chef du Parti nationaliste turc d’opposition, Meral Aksener, qui a fait cette comparaison pas du tout exagérée quand on connaît le comportement criminel de Netanyahou, qui s’est notamment distingué par le massacre de l’hôpital baptiste Al-Ahly Arabi « Mamadani » dans le quartier d’Al Zaytoun, où s’étaient réfugiées des dizaines de familles palestiniennes de la ville de Ghaza qui a fait au moins 500 martyrs et blessés. Ce crime de guerre qui allonge la liste des horreurs commises par l’entité sioniste a fait réagir partout dans le monde des gens révoltés par l’impunité dont bénéficient les agresseurs sionistes de la part de la « communauté internationale » et son Droit à sens unique appliqué au profit exclusif des intérêts des pays occidentaux. La présence des jeunes parmi les manifestants hostiles aux sionistes et à leurs protecteurs occidentaux est un indicateur qui pousse à l’optimisme quant à la suite des événements. Les manifestations se sont déroulées spontanément dès l’annonce du massacre de l’hôpital Al-Ahly Arabi « Mamadani. En Tunisie, les manifestants se sont rassemblés mardi soir devant l’ambassade de France à Tunis. Ils ont crié des slogans exigeant le renvoi des ambassadeurs français et américain qui représentent des pays alliés de l’entité sioniste. « Dégage, dégage ! », ont lancé lers manifestants à l’adresse de ces ambassadeurs. Au Liban, les ambassades des Etats-Unis et de France à Beyrouth qui ont été assiégées. Au Caire, les manifestants égyptiens s’en sont pris à l’ambassade des Etats-Unis. A Baghdad également, les manifestants irakiens ont tenté de s’attaquer à l’ambassade des Etats-Unis. En Mauritanie, en Jordanie, au Maroc, au Yémen, au Bahrein, également, les populations sont sorties spontanément mardi soir marquant un tournant dans la mobilisation des peuples des pays arabes, avec une conscience politique élevée traduite dans leur rassemblement par milliers, devant les ambassades occidentales, de France, des Etats unis, Royaume Uni, pointant ainsi leur responsabilité dans la guerre sioniste contre les Palestiniens de Ghaza. Le bombardement de l’hôpital Al-Ahly Arabi a eu lieu peu après que les trois pays occidentaux membres du Conseil de sécurité- Etats-Unis, France, Royaume Uni- ont opposé leur véto à une résolution proposée par la Russie et ont ainsi empêché de faire pression sur l’entité sioniste pour arrêter de perpétrer ses crimes. Les pays occidentaux ne manquent aucune occasion pour encourager Israël à poursuivre son agression contre la population de Ghaza sous prétexte de son droit à se défendre, en fait son droit de tuer des enfants.
M’hamed Rebah