La police judiciaire de la première sûreté urbaine de Mostaganem a procédé à l’arrestation de trois organisateurs de traversées d’immigration clandestine par mer, a-t-on appris, mardi, auprès de la sûreté de wilaya. La même source a précisé que l’opération a été enclenchée suite à la déclaration d’une femme, selon laquelle son fils est parti en compagnie de personnes inconnues à bord d’un véhicule et n’est pas revenu au domicile familial. La police judiciaire a immédiatement lancé les recherches et les investigations sur la voiture en question, qui a finalement été interceptée au niveau d’un croisement de la ville de Mostaganem et à bord de laquelle se trouvaient deux personnes, a-t-on fait savoir . Les investigations ont démontré que les deux individus arrêtés, objet de la plainte déposée par la femme, ont fait croire à un groupe de personnes qu’ils pouvaient organiser pour eux, avec l’aide d’un troisième complice (en état de fuite), une traversée clandestine par mer contre la somme de 350.000 dinars chacun.
Le Liban porte plainte à l’ONU contre l’entité sioniste
Le Liban a déposé une plainte auprès de l’Organisation des Nations unies (ONU) au lendemain des violations et les attaques israéliennes contre sa souveraineté, indique un communiqué du ministère libanais des Affaires étrangères. Le communiqué précise qu' »une plainte a été envoyée par l’intermédiaire de la représentante permanente du Liban auprès de l’ONU, Amal Mudallali, concernant les violations israéliennes, appelant à la nécessité de dissuader Israël de commettre à nouveau ces agressions ». A son tour, la ministre libanaise de la Défense et des Affaires étrangères, Zina Aker a condamné « les tirs flagrants de missiles de l’ennemi israélien depuis l’espace aérien libanais et le ciblage de sites en Syrie à basse altitude ». « Ce qui s’est passé a provoqué un état de panique parmi les citoyens libanais et une menace directe et dangereuse pour la navigation libanaise et la sécurité de l’aviation civile, étant donné qu’Israël a violé l’espace aérien adjacent à l’aéroport de Beyrouth », a-t-elle déclaré. Plus tôt vendredi, le Premier ministre par intérim, Hassan Diab, a déclaré dans un communiqué que « la violation continue de la souveraineté du Liban par l’ennemi israélien constitue une menace directe pour la résolution 1701 de l’ONU ». Jeudi soir, plusieurs régions libanaises ont été le théâtre du survol d’avions militaires israéliens à basse altitude et de croisements de plusieurs missiles dans l’espace aérien libanais, provoquant la panique des habitants de ces régions.
Un traitement à l’essai d’AstraZeneca efficace pour prévenir le Covid-19
Le groupe pharmaceutique anglo-suédois AstraZeneca a annoncé vendredi des résultats encourageants pour un traitement contre le Covid-19 qui permet de réduire fortement le risque de développer une forme symptomatique de la maladie chez les patients fragiles. Ce traitement par anticorps, dont le nom de code est AZD7442, n’avait toutefois auparavant pas montré son efficacité sur les personnes déjà exposées au virus. Mais en l’administrant avant d’être en contact avec le virus, les résultats sont là, explique AstraZeneca dans un communiqué.
Dans ce cas, il réduit de 77% le risque de développer une forme symptomatique, selon des données de phase 3, c’est-à-dire des essais cliniques de grande ampleur destinés à mesurer sa sûreté et son efficacité. AstraZeneca indique même qu’il n’y a eu aucun cas sévère de Covid-19 ou de décès. Ces essais réalisés en Espagne, en France, en Belgique, au Royaume-Uni et aux Etats-Unis ont porté sur 5.197 participants, dont 75% présentaient des co-morbidités. Le traitement a été administré par voie intramusculaire.
« Avec ces formidables résultats, AZD7442 pourrait être un outil important dans notre arsenal pour aider les gens qui pourraient avoir besoin de davantage qu’un vaccin pour retrouver des vies normales », souligne Myron Levin, professeur à l’Université du Colorado aux Etats-Unis et en charge de l’essai. « Nous avons besoin d’autres approches pour les personnes qui ne sont pas bien protégées par les vaccins contre le Covid-19 », a complété Mene Pangalos, haut responsable d’AstraZeneca, qui promet de publier des données supplémentaires sur les essais plus tard cette année.
Le laboratoire précise qu’il va déposer un dossier auprès des autorités de santé pour obtenir une utilisation d’urgence ou une validation sous conditions du traitement, dont le développement est financé par le gouvernement américain.
Le Liban porte plainte à l’ONU contre l’entité sioniste
Le Liban a déposé une plainte auprès de l’Organisation des Nations unies (ONU) au lendemain des violations et les attaques israéliennes contre sa souveraineté, indique un communiqué du ministère libanais des Affaires étrangères. Le communiqué précise qu' »une plainte a été envoyée par l’intermédiaire de la représentante permanente du Liban auprès de l’ONU, Amal Mudallali, concernant les violations israéliennes, appelant à la nécessité de dissuader Israël de commettre à nouveau ces agressions ». A son tour, la ministre libanaise de la Défense et des Affaires étrangères, Zina Aker a condamné « les tirs flagrants de missiles de l’ennemi israélien depuis l’espace aérien libanais et le ciblage de sites en Syrie à basse altitude ». « Ce qui s’est passé a provoqué un état de panique parmi les citoyens libanais et une menace directe et dangereuse pour la navigation libanaise et la sécurité de l’aviation civile, étant donné qu’Israël a violé l’espace aérien adjacent à l’aéroport de Beyrouth », a-t-elle déclaré. Plus tôt vendredi, le Premier ministre par intérim, Hassan Diab, a déclaré dans un communiqué que « la violation continue de la souveraineté du Liban par l’ennemi israélien constitue une menace directe pour la résolution 1701 de l’ONU ». Jeudi soir, plusieurs régions libanaises ont été le théâtre du survol d’avions militaires israéliens à basse altitude et de croisements de plusieurs missiles dans l’espace aérien libanais, provoquant la panique des habitants de ces régions.
Des hackers volent 97 millions de dollars à une bourse japonaise de cryptomonnaies
La plateforme japonaise d’échanges de cryptomonnaies Liquid cherchait vendredi à récupérer près de 100 millions de dollars d’actifs volés, lors du deuxième grand casse de ce type commis par des pirates informatiques ces derniers jours. La société, basée à Tokyo, a déclaré jeudi dans un communiqué qu’elle avait « détecté un accès non autorisé à certains des portefeuilles de cryptomonnaies gérés par Liquid ». Selon Elliptic, une entreprise basée à Londres qui aide à traquer les cryptomonnaies volées, « un peu plus de 97 millions de dollars en cryptomonnaies ont été réceptionnés sur des comptes identifiés par Liquid comme appartenant au voleur ». « Nos enquêteurs aident Liquid à suivre les fonds volés », a ajouté Elliptic dans un billet de blog. Cette attaque intervient après qu’un pirate a volé la semaine dernière 600 millions de dollars de cryptomonnaies à la plateforme de finance décentralisée Poly Network, avant de rendre progressivement l’argent, affirmant qu’il avait réalisé le vol pour mettre en évidence une faille de sécurité. Liquid a précisé avoir suspendu les retraits de cryptomonnaies le temps d’évaluer l’impact de l’attaque. Les échanges se poursuivent néanmoins pendant ce temps. La popularité des cryptomonnaies a grimpé en flèche ces dernières années, malgré leur volatilité et les inquiétudes quant à leur impact environnemental. Le bitcoin, l’ethereum et d’autres monnaies numériques utilisent une technologie appelée blockchain, qui garantit que chaque transaction est enregistrée. Les voleurs qui tentent de dérober des cryptomonnaies déplacent généralement les fonds sur de nombreux comptes à une vitesse vertigineuse – avec parfois des centaines de milliers de transactions – pour tenter de brouiller les pistes. Cependant, les acteurs du secteur ont amélioré leur capacité à identifier et à bloquer les cryptomonnaies volées. Liquid a ainsi indiqué qu’une somme en ethereum, équivalent à 16,3 millions de dollars, avait déjà été gelée « grâce à l’aide de la communauté cryptographique et d’autres bourses d’échanges ».
Arrestation à Oran de 4 individus impliqués dans la diffusion de vidéos subversives via les réseaux sociaux
Les éléments de la brigade de lutte contre la cybercriminalité de la police judiciaire de la sûreté de wilaya d’Oran ont procédé à l’arrestation de quatre (04) individus impliqués dans la diffusion de vidéos subversives qui appellent à la haine et à la discorde entre les citoyens, a indiqué vendredi un communiqué de la direction générale de la sûreté nationale (DGSN). Les mis en cause seront présentés devant le procureur de la République, précise la même source.
Washington offre 5 millions de dollars pour l’arrestation d’un ex-putschiste de Guinée-Bissau
Washington a annoncé jeudi offrir une récompense de 5 millions de dollars pour l’arrestation de l’ancien putschiste de Guinée-Bissau, Antonio Indjai, recherché pour son rôle présumé dans un trafic de drogues lié aux guérilleros des Farc colombiennes. Le 13 avril 2012, le général Antonio Indjai, alors chef d’état-major dans ce pays politiquement instable d’Afrique de l’Ouest, avait fomenté un coup d’Etat, interrompant le processus électoral à deux semaines du second tour de la présidentielle. Des procureurs américains l’avaient inculpé en 2013, l’accusant d’avoir accepté de stocker des tonnes de cocaïne pour les Forces armées révolutionnaires de Colombie (Farc), dont la vente avait financé l’achat d’armes pour les guérilleros et des pots-de-vin à destination de responsables en Guinée-Bissau. « Indjai était considéré comme l’une des figures déstabilisatrices les plus puissantes de Guinée-Bissau, agissant librement dans toute l’Afrique de l’Ouest, utilisant des bénéfices illégaux (provenant de la vente de drogues, ndlr) pour corrompre et déstabiliser d’autres gouvernements étrangers et affaiblir l’Etat de droit dans la région », a affirmé le département d’Etat américain dans un communiqué. Les 5 millions de dollars récompenseront toute information permettant son arrestation ou sa condamnation. Après le coup d’Etat mené par Antonio Indjai, une autorité de transition avait été mise en place jusqu’à l’élection en mai 2014 de José Mario Vaz à la présidentielle.