Accueil À LA UNE UN GÉNÉRAL IRANIEN CONFIRME : Les pertes israéliennes sont énormes

UN GÉNÉRAL IRANIEN CONFIRME : Les pertes israéliennes sont énormes

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L’entité sioniste, appuyée par les États-Unis et d’autres pays occidentaux, poursuivait hier son agression contre l’Iran dans l’illusion qu’elle pourrait freiner le développement de son programme nucléaire et même entraîner la chute du pouvoir.
Le prix de cette illusion est chèrement payé avec la riposte massive de l’Iran qui a transformé l’image des villes sionistes en un paysage de ruines, au milieu desquelles circule le criminel Netanyahou. L’entité sioniste a confirmé sa « spécialité » qui est de bombarder les hôpitaux et de tuer femmes et enfants ainsi que d’assassiner les scientifiques comme elle l’a fait avec les Égyptiens, les Irakiens et maintenant les Iraniens. La réalité aujourd’hui est que l’entité sioniste est isolée au plan mondial, dans l’opinion publique, et ses dirigeants, en premier lieu le criminel Netanyahou, sont sous le coup de mandats d’arrêt internationaux comme assassins d’enfants et de femmes.

La riposte iranienne
L’Iran a répondu à l’agression de l’entité sioniste avec le seul langage que celle-ci comprenne : la riposte ferme. Hier, le commandant des Gardiens de la révolution iraniens, le général de brigade Mohammad Pakpour, a fait savoir que « même si les attaques israéliennes cessent, nous poursuivrons notre mission jusqu’au bout ». Il a déclaré que « les pertes israéliennes dépassent les prévisions » et précisé que  « des zones importantes dans l’entité occupante ont été détruites et nous continuerons de le faire en réponse à l’agression israélienne.» « Nos missiles sont en bon état, et nous n’avons pas encore activé nos capacités stratégiques. », a-t-il averti. De son côté, un conseiller du commandant du Corps des Gardiens de la révolution islamique (CGRI) a confirmé que l’Iran a pris en compte les risques de guerre et s’était préparée à divers scénarios, soulignant que « parler d’une diminution des stocks de missiles iraniens n’était qu’une plaisanterie ». Dans une interview accordée à l’agence de presse Tasnim, le conseiller du commandant du CGRI a indiqué que Téhéran n’avait pas encore eu recours à l’utilisation stratégique de ses capacités de missiles. Il a expliqué que le transfert d’équipements modernes sur le terrain serait effectué en temps opportun par les dirigeants, et que « les missiles de nouvelle génération ne constituent qu’une partie de ce système avancé ». Il a ajouté : « Dans un avenir proche, chacun aura un aperçu des capacités qualitatives des forces armées iraniennes dans divers domaines », soulignant que l’Iran est en mesure d’ « affaiblir l’ennemi israélien dans tous les domaines ».

Le rôle du Pakistan
Le ministre pakistanais de la Défense, Khawaja Muhammad Asif, a appelé la communauté internationale à accorder une attention particulière aux capacités nucléaires non réglementées d’Israël, avertissant qu’elles constituent une menace pour la paix mondiale. Il a écrit sur Twitter : « Le monde doit se méfier et s’inquiéter de la puissance nucléaire d’Israël, un État qui n’est lié par aucun accord nucléaire international et qui n’est signataire ni du Traité de non-prolifération nucléaire ni d’aucun autre accord.» Il a ajouté : « Nous ne menons pas une politique d’hégémonie envers nos voisins, comme Israël le fait clairement ces jours-ci.
Le monde occidental devrait s’inquiéter des conflits déclenchés par Israël, qui s’étendent à toute la région et au-delà. Le soutien occidental à Israël, un État voyou, pourrait avoir des conséquences désastreuses.» De son côté, le vice-ministre russe des Affaires étrangères, Sergueï Riabkov, a affirmé que « l’Iran agit dans le cadre de son droit à la légitime défense », soulignant la nécessité pour Israël de faire preuve de retenue et de bon sens afin d’éviter une escalade de la situation dans la région. Riabkov a nié la validité des calculs israéliens selon lesquels « les frappes pourraient entraîner la destruction de l’infrastructure nucléaire iranienne », les jugeant infondés, appelant à « éviter une nouvelle escalade et à revenir à la table des négociations ».
M’hamed Rebah

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