Face à ses nombreux échecs et son isolement diplomatique et quand il n’a pas recours à sa propagande mensongère, le Maroc active ses obligés, notamment un pseudo universitaire espagnol mercenaire comme de nombreux politiques espagnols, qui accusent notre pays de faire «obstacle» au règlement du conflit du Sahara occidental.
Rafael Espéraza Machin -le bien nommé – étrenne donc ses titres universitaires et celui d’académicien pour défendre le Maroc et sa colonisation du Sahara occidental et oublie que son propre pays l’Espagne est visé par l’expansionnisme de Rabat.
Mais un mercenaire qui plus est barde du titre d’ universitaire qui se met au service du Maroc pour s’en prendre à l’Algérie , n’est guère un fait nouveau pour le makhzen qui fait feu de tout bois au moment où enfin l’Espagne et l’Union européenne réagissent avec la plus grande fermeté aux agissements du Maroc et à ses entraves au règlement de la question du Sahara occidental à travers l’Union africaine et l’’Onu la dernière en date des folies de Rabat d’envahir Ceuta en jetant à la mer ses propres ressortissants dont de nombreux enfants a scandalisé non seulement en Espagne et à travers le Monde où le crédit du Maroc est entamé depuis fort longtemps pousse ses décideurs autour d’un roi absent à s’agiter pour faire oublier leurs échecs. Parmi cette agitation effrénée les attaques contre l’Algérie et les élucubrations de mercenaires lettrés qui n’hésitent pas à s’en prendre à notre pays à travers des arguments fallacieux répétant à qui mieux mieux les arguments éculés de la propagande marocaine sur les entraves de l’intégration maghrébine et le développement de l’ensemble du continent africain, entre autres fadaises. Des arguments développés à longueur de temps par les sites de propagande du makhzen et que reprennent toute honte bue ces mercenaires activés par Rabat pour cacher ses échecs et son isolement international.
Le reste de l’argumentaire est à l’avenant voire grossier surtout lorsqu’un soi-disant universitaire et académicien fait l’éloge du Maroc pays selon lui «respectueux des droits de l’Homme» alors que les Sahraouis mais aussi les citoyens marocains souffrent dans leur chair les effets des férocités des tortionnaires du Maroc et de son appareil sécuritaire. L’exemple de la militante sahraouie Sultanat Khaya et celui du journaliste marocain Omar Raisouni jeté en prison et risquant sa vie pour avoir exercé son métier devrait interpeller un universitaire mercenaire et lui interdire de professer le noble métier d’enseignant alors que les organisations internationales les plus en vue dénoncent le climat de terreur que connait le Maroc. Quant à la question du Sahara occidental Marin de par sa qualité de citoyen espagnol est mieux placé que quiconque pour savoir qu’elle est et demeure une question de décolonisation entravée dans l’attente de l’exercice à l’autodétermination du peuple sahraoui. Et contrairement à ce qu’affirme cet universitaire véreux l’Onu n’a pas changé d’un iota sa position malgré les obstacles du Maroc .Qu’un universitaire s’aveugle à ce point pour une basse question d’argent ne peut qu’interpeller la communauté universitaire espagnole pour qu’elle mette au banc ce mouton noir.
M. Bendib