L’entité sioniste, connue pour faire du trafic d’organes humains, a commis encore un autre crime monstrueux.
Les autorités locales de Ghaza accusent l’entité sioniste de voler les organes des corps de Palestiniens tués par l’armée sioniste et également en exhumant des corps des cimetières. Elles demandent une enquête internationale à ce sujet. Dans un communiqué, le bureau des médias du gouvernement basé à Ghaza a déclaré que l’examen des corps a révélé que leurs formes avaient considérablement changé en raison du vol d’organes vitaux sur les cadavres. Il a ajouté que l’armée sioniste avait remis aux autorités palestiniennes des corps non identifiés et avait refusé de préciser où ils avaient été trouvés. Le communiqué critique « la position silencieuse des organisations internationales opérant à Ghaza, y compris le Comité international de la Croix-Rouge, face à un crime aussi horrible commis par l’occupation sioniste. À Ghaza, le personnel médical, débordé, tente encore de sauver des vies suite à des frappes de missiles dans le centre de l’enclave dévastée, où des attaques sionistes près des camps de réfugiés ont fait au moins 100 martyrs palestiniens, a indiqué l’Organisation mondiale de la santé (OMS). À ce propos, le président cubain Miguel Diaz-Canel a écrit sur la plateforme « X » : « Le génocide commis par l’État terroriste d’Israël à Gaza est une humiliation pour toute l’humanité. Combien de temps cette impunité durera-t-elle et combien de temps restera-t-il la liberté totale de tuer ? » Il a ajouté : « Cuba ne fera jamais partie de ceux qui ferment les yeux sur ces crimes. Il continuera à défendre haut et fort la Palestine et les droits du peuple palestinien. » 10.000 enfants tués par les bombardements de l’occupant sioniste, ce qui se passe à Ghaza est une honte non seulement pour le monde arabe mais l’humanité, comme l’a souligné le président Abdelmadjid Tebboune dans son discours à la Nation, lundi 25 décembre. Par ailleurs, d’après le site d’information russe, Russia Today (RT), le commandement général de la police de Sharjah a annoncé, dans un communiqué, mardi, sur sa page officielle « Facebook », l’interdiction de toutes les célébrations et feux d’artifice le soir du Nouvel An 2024, en solidarité avec la population de la bande de Ghaza.
La protestation de Francesca Albanese
La décision de l’entité sioniste de ne pas renouveler des visas pour les employés onusiens a été qualifiée de « lâcheté morale », par la rapporteuse spéciale des Nations unies sur la situation des droits de l’Homme dans les territoires palestiniens occupés, Francesca Albanese. Mercredi, dans un communiqué repris par l’agence de presse Wafa, elle a indiqué qu' »il était temps » que les Nations unies « punissent » l’entité sioniste et l’obligent à répondre de ses « actes provocateurs ». Francesca Albanese a appelé à « corriger » l’entité sioniste. Elle a expliqué que « les Nations unies ont été affaiblies par des décennies d’impunité pour les violations du droit international, y compris la colonisation des territoires palestiniens occupés et les déplacements forcés ». « Personne ne peut être libre si tout le monde n’est pas libre », a-t-elle ajouté, réitérant son appel à « un cessez-le-feu, à la libération des otages et des détenus palestiniens, à une protection totale, à la reconstruction, à la fin de l’occupation et à la justice ». L’entité sioniste ne veut pas que le personnel de l’ONU constate les dégâts de l’agression sioniste. Lors de l’examen de son rapport devant le Conseil des droits de l’Homme, Mme Albanese avait indiqué que « des générations de Palestiniens ont souffert d’une privation arbitraire systématique et généralisée de liberté sous l’occupation ». Elle a fait savoir, à ce sujet, que « plus de 800.000 Palestiniens, y compris des enfants de moins de 12 ans, ont été arrêtés par les forces d’occupation depuis 1967 ». « La puissance occupante dépeint les Palestiniens comme une menace collective, visant à les dépouiller de leur statut de civils et de personnes protégées en vertu du droit international », avait-elle dénoncé. Elle avait appelé à utiliser toutes les mesures diplomatiques, politiques et économiques pour rappeler l’entité sioniste à l’ordre.
M’hamed Rebah
