Les premiers noms évoqués pour composer le futur gouvernement français, de Michel Barnier ont suscité un tollé dans la classe politique , le monde médiatique et notamment dans l’opinion française, à travers des critiques, la veille de la grande manifestation prévue aujourd’hui, partout en France, dont la Capitale, Paris, contre « le gouvernement Macron-Barnier», comme l’ont annoncé les organisateurs, , rapportent, les médias locaux et étrangers.
Le mouvement d’opposition aux choix du président français, Emmanuel Macro s’est consolidé, notamment après les résultats des dernières législatives anticipées, ayant fait perdre au camp du pésident la majorité, au profit des députés de gauche et les écologistes réunis, au sein du nouveau front populaire (NFP) . Les noms évoqués de minsitres devant composer l’équipe de Michel Barnier, dont certains ont été confirmé, par des sources fiables à des médias, ce sont révélés ceux de candidats ayant perdu aux élections législatives précitées. «Tout ceux qui ont perdu l’élection législatif vont rentrer au gouvernement » a lancé , hier, Sandrine Rousseau, députée écologiste de la coalition du Nouveau Front populaire (NFP). sur les ondes d’une radio publique française. Affirmant «nous vivons un moment grave» la députée écologiste a sévèrement critiqué les premiers noms susceptibles de former l’exécutif de Michel Barnier, lequel est déjà fortement contesté, Elle s’en est également prise au parti de l’extrême droite, Rassemblement national, indiquant que «Si le RN essaie de faire croire qu’il est l’opposition à Emmanuel Macron, il en est aujourd’hui le premier complice.». Une critique unanime au sein d’une large opinion française, espace politique, syndical et médiatique, et populaire, dont le monde universitaire, les Etudiants notamment. A gauche, côté du mouvement de la France Insoumise (LFI), sur le plateau d’une chaîne privée, la présidente du groupe LFI à l’Assemblée nationale Mathilde Panot a estimé que le choix du locataire de l’Elysée, de Barnier comme ceux devant rejoindre le sttaf de l’exécutif, n’est que du recyclage, déclarant que «nous avons un Gouvernement qui s’annonce recycler tous les perdants des élections» et d’évoquer «une extrême droitisation de la macronie» ainsi qu’une «orientation politique macrono-lepéniste, parodie de démocratie, mépris des urnes» cite-t-elle, sans manquer d’appeler, à manifester, aujourd’hui, à travers la France. Le député socialiste Arthur Delaporte a ainsi estimé qu’Emmanuel Macron « s’était allié avec la droite la plus rance, quel mépris des urnes !», a-t-il dénoncé. «La France est devenue une parodie de démocratie» a déclaré de son côté, l’Insoumis Louis Boyard. Jeudi c’est le président de la commission des finances à l’Assemblée Éric Coquerel qui prédisait lors d’un entretien dans le studio d’une radio , déclarant, tout va imploser avant même la discussion budgétaire entre les macronistes et les Républicains ». Il est à rappeler, outre la mobilisation de rue, contre le choix par le président Macron de Michel Barnier, les députés de gauche ont initié une procédure de destitution d’Emmanuel Macron qu’ils ont engagé. Selon la presse française, le gouvernement Barnier devrait réunir 38 ministres, dont 16 de plein exercice. Parmi ceux-ci, les éléments du parti présidentiel seront majoritaires puisqu’au nombre de sept. Il devrait également compter trois membres des Républicains, deux du MoDem, un d’Horizons, un de l’UDI, ainsi qu’un divers droite et un divers gauche. Le discours de politique générale de Michel Barnier devrait lui se tenir le 1er octobre. Parmi les postes clés, l’Intérieur reviendrait au président du groupe LR au Sénat Bruno Retailleau, les Armées et les Affaires étrangères seraient maintenus dans le giron du gouvernement sortant avec toujours Sébastien Lecornu mais aussi Jean-Noël Barrot jusqu’alors ministre «chargé de l’Europe».
R. I.
