Accueil ACTUALITÉ SOUTIEN À L’ENTITÉ SIONISTE : Biden, Harris, même politique

SOUTIEN À L’ENTITÉ SIONISTE : Biden, Harris, même politique

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«Je ne suis pas tenu de voter », c’est ainsi que les jeunes électeurs du parti démocrate de Joe Biden et Kamela Harris, ont annoncé leur intention de s’abstenir lors de l’élection présidentielle américaine de novembre prochain. Ils sont opposés au soutien accordé par Biden et promis par Harris à l’entité sioniste dans son agression génocidaire contre la population palestinienne à Ghaza. Les opposants ont d’autres motifs de mécontentement, plutôt sociaux, comme la hausse des prix, mais ils reprochent à l’administration américaine surtout la fourniture d’armes à l’entité sioniste qui les utilise pour commettre ses massacres de femmes et d’enfants à Ghaza. Le retrait de Biden de la course présidentielle au profit de sa vice-présidente, Harris, ne change rien. Leurs paroles sur la solution à « deux États » sont contredites par leurs actes- critère de vérité- qui prouvent que l’un comme l’autre sont dans une position d’hostilité farouche aux Palestiniens qui luttent pour leurs droits légitimes et de soutien inconditionnel à l’occupant sioniste. Ce soutien n’évite pas à l’entité sioniste l’effondrement progressif dont les signes sont de plus en plus perceptibles. Les médias sionistes ont fait état du nombre croissant d’Israéliens qui quittent les territoires palestiniens occupés et demandent l’asile au Portugal  pour échapper aux dangers de la guerre, qui dure depuis près d’une année, avec ses retombées comme la perte d’emplois et la détérioration de la situation économique. L’émigration sioniste s’oriente vers l’Union européenne ». Des témoignages d’Israéliens cherchant l’asile en dehors des territoires palestiniens occupés, qu’ils commencent une nouvelle vie.  Depuis octobre dernier, les médias sionistes rapportent que des milliers de colons soumettent quotidiennement des demandes d’asile en Europe pour échapper aux risques sécuritaires et économiques. Malgré cela, les autorités sionistes gardent le silence sur ce que l’on appelle la vague migratoire inverse.

Le 55e anniversaire de l’incendie criminel de la mosquée Al-Aqsa
Le Mouvement Hamas a déclaré dans un communiqué, à l’occasion du 55e anniversaire de l’incendie criminel de la mosquée Al-Aqsa, que cet anniversaire est commémoré dans un contexte de silence et l’inaction internationale devant les crimes, massacres que l’occupation sioniste poursuit avec le soutien des Etats-Unis et de ses alliés occidentaux. Le Hamas a déclaré que toutes les tentatives de l’occupation et ses projets visant à judaïser Al-Aqsa, à modifier ses caractéristiques, à effacer son identité ou à la diviser dans le temps et dans l’espace ne réussiront pas. Tous les peuples libres du monde sont appelés à une mobilisation générale sur toutes les places vendredi prochain, pour que ce soit une journée massive et efficace pour la victoire et la défense de Ghaza, d’El Qods et la mosquée Al-Aqsa. En 1969, un sioniste a pris d’assaut la mosquée Al-Aqsa et a délibérément incendié l’aile est de la mosquée, détruisant les façades, le plafond, les tapis, les décorations rares et tout son contenu, y compris le Coran et le mobilier. Le bâtiment a été gravement endommagé, ce qui a nécessité des années pour le restaurer et le décorer tel qu’il était. L’esplanade de la mosquée Al-Aqsa- troisième lieu saint de l’Islam- dans la ville occupée d’El-Qods, est prise fréquemment d’assaut par les colons sionistes protégés par les forces d’occupation. Les colons et les agents de la police sionistes entrent en groupes, dans l’enceinte de la mosquée sainte, et font des marches provocatrices dans ses cours et effectuent des rituels talmudiques, autant d’actes de profanation dans le but de judaïser la ville d’El-Qods, imposer une nouvelle réalité et changer l’identité cultuelle de la ville sainte. Le Comité El-Qods aurait pu faire quelque chose, mais c’est malheureusement une coquille vide. Il est présidé par le roi marocain dont le rôle est absolument imaginaire, discrédité par l’alliance conclue entre le Maroc et l’entité sioniste, à travers la « normalisation » imposée par les États-Unis.
M’hamed Rebah

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