Accueil L'EXPRESS Skikda : 5 fennecs acquis d’une manière illégale à Collo récupérés

Skikda : 5 fennecs acquis d’une manière illégale à Collo récupérés

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La brigade mobile de la police judiciaire de Collo, dans la wilaya de Skikda, a récupéré en coordination avec la Conservation des forêts cinq (5) fennecs acquis d’une manière illégale, apprend-on jeudi auprès de la cellule de communication de la Sûreté de wilaya. Cette espèce animale sauvage typique du Sahara, appelés aussi renard des sables du Sahara (Vulpes zerda), est protégée par plusieurs textes dont la loi 23-21 relatives aux forêts et aux espèces forestières et l’ordonnance 06-05 du 15 juillet 2006 relative à la protection et la préservation de certaines espèces animales menacées de disparition, a rappelé la même source. Les cinq fennecs, trouvés en possession d’un citoyen qui les a acquis d’une manière illégale, ont été remis aux services de la Conservation des forêts de la daïra de Collo qui œuvrera à les libérer dans leur milieu naturel ou les placer dans le plus proche parc animalier après leur examen par un vétérinaire, a-t-on ajouté. Le fennec est la plus petite espèce de la famille des Canidés avec une taille à peine supérieure à celle du chat. Cet animal se distingue par ses longues oreilles caractéristiques et une fourrure du dos de couleur jaune virant vers le blanc.

Sûreté de wilaya d’Alger: démantèlement d’un groupe criminel et saisie d’une quantité de drogues à Ain Taya
es services de sûreté de la wilaya d’Alger, représentés par la 10e sûreté urbaine d’Ain Taya relevant de la sûreté de la circonscription administrative de Dar El Beida, ont procédé à l’arrestation de 4 individus qui activaient au sein d’un groupe criminel organisé spécialisé dans le trafic illicite de drogues et de substances psychotropes, a indiqué jeudi un communiqué des mêmes services. Suite à des informations parvenues au même service, faisant état d’un trafic illicite de substances psychotropes par l’un des suspects au niveau d’un quartier à Ain Taya, et après investigations, le mis en cause a été arrêté ainsi que ses acolytes (3). L’opération s’est soldée par « la saisie de 1.340 capsules de comprimés psychotropes, 270 grammes de kif traité, d’armes blanches prohibées de types et de calibres différents, et d’une somme d’argent de 1.400.000 DA provenant du trafic ». Les mis en cause ont été déférés devant le parquet territorialement compétent pour détention et trafic illicite de drogues et de substances psychotropes par un groupe criminel et détention d’armes blanches prohibées sans motif légal.

77 morts et 295 blessés sur les routes en une semaine
Les services de la Gendarmerie nationale ont enregistré, au niveau de leurs territoires de compétence, 77 morts et 295 blessés dans 169 accidents corporels de la route survenus cette semaine. Dans une déclaration à l’APS, jeudi, le chargé de communication au Centre d’information et de coordination routière du Commandement de la Gendarmerie nationale, le Sergent-chef Abdelhamid Amrani, a indiqué que le facteur humain demeurait « la principale cause de ces accidents », en raison du non-respect du code de la route, précisant que les conducteurs étaient à l’origine de 149 accidents, dont 44 dus à l’excès de vitesse, 17 engendrés par l’inattention du conducteur, 24 à cause de la conduite à gauche, 14 à en raison au dépassement sans prendre les précautions nécessaires, tandis que les piétons ont causé 21 accidents. Le bilan le plus lourd a été enregistré dans le wilaya d’Alger (11 accidents), suivie de la wilaya de Bouira (10) et des wilayas de Chlef et d’Oran (8 chacune). Selon le même responsable, le bilan fait ressortir une hausse du nombre d’accidents (+1), de morts (+8), tandis qu’il relève une baisse du nombre de blessés (-6) par rapport à la semaine précédente. A cette occasion, le Sergent-chef Amrani a appelé les usagers de la voie publique au respect du code la route, la réduction de la vitesse, le respect de la distance de sécurité, des règles de priorité et de la signalisation, particulièrement durant la période estivale qui enregistre chaque année des taux élevés d’accidents, ainsi que les mauvaises conditions météorologiques dans certaines régions.

Saisie de plus de 11500 comprimés de psychotropes à El-Oued
Une quantité de 11.560 comprimés de psychotropes a été saisie et un réseau criminel composé de sept (7) individus activant au niveau national dans le trafic de psychotropes a été démantelé par les éléments de la brigade de recherche et d’intervention (BRI) relevant de la police judiciaire (PJ) de la sûreté de la wilaya d’El Oued, a indiqué jeudi un communiqué de la cellule de communication et des relations publiques de ce corps de sécurité. Cette opération a été menée suite à l’exploitation des informations faisant état de mouvements suspects d’un réseau criminel activant dans le domaine du transport et du trafic de psychotropes à travers plusieurs wilayas du pays, a-t-on expliqué. Un plan de sécurité a été élaboré, et d’intenses investigations et recherches ont été enclenchées par les mêmes services en vue de saisir cette quantité de marchandises prohibées, selon la même source. Ce plan a permis l’arrestation des membres de ce réseau criminel composé de sept (7) individus âgés de 24 à 53 ans, et la saisie de 11.560 comprimés de psychotropes , ainsi que quatre (4) véhicules touristiques , a-t-on détaillé . Après finalisation des procédures légales, les individus arrêtés ont été déférés devant les instances judiciaires régionales compétentes, qui ont ordonné leur placement en détention provisoire pour « association de malfaiteurs et trafic illégal de psychotropes », a conclu le même communiqué.

Le cadavre d’une fillette découvert dans le lit d’oued Bousselam à Sétif
Le cadavre d’une fillette a été trouvé jeudi après-midi dans le lit de l’oued Bousselam dans la commune de Mezloug (Sud de Sétif), apprend-on de la direction locale de la Protection civile. « Les équipes de la Protection civile des deux unités de Sétif et d’Ain Arnat (Ouest de Sétif) sont intervenues vers 15h00 pour l’évacuation du cadavre d’une fillette de 32 mois découvert par des citoyens dans le lit de l’oued Bousselam dans la commune de Mezloug à 800 mètres du domicile des proche de la famille de la victime », a indiqué le chargé de communication à cette direction le commandant Ahmed Laamamra. « La victime portée disparue depuis trois jours faisait l’objet de recherches menées par 30 éléments de la Protection civile de divers grades dont les membres de deux équipes de recherche et sauvetage en endroits difficiles et de plongeurs », a précisé la même source. Le cadavre de la victime a été évacué vers la morgue du CHU Mohamed Abdennour Saadna de Sétif au terme des procédures d’enquête sur cet incident, selon la même source.

Secousse tellurique de 3,2 degrés dans la wilaya de Khenchela
Une secousse tellurique de magnitude 3,2 degrés sur l’échelle de Richter a été enregistrée vendredi à 05h07 dans la wilaya de Khenchela, indique un communiqué du Centre de recherche en astronomie, astrophysique et géophysique (CRAAG). L’épicentre de la secousse a été localisé à 5 km au sud-ouest de Bouhamama, dans la même wilaya, précise la même source.

Conflits en Afrique : plus de 71.000 personnes portées disparues
Le Comité international de la Croix-Rouge (CICR) a annoncé jeudi que plus de 71.000 personnes sont actuellement portées disparues en Afrique en raison des conflits armés, de la violence, des catastrophes naturelles et des migrations, soit une augmentation de 75 % depuis 2019. Selon le directeur régional du CICR pour l’Afrique, Patrick Youssef, qui s’est exprimé dans un communiqué depuis la capitale kényane Nairobi à l’approche de la Journée internationale des personnes disparues, célébrée le 30 août, « derrière chaque personne disparue, il y en a d’innombrables autres qui souffrent de l’angoisse et de l’incertitude ».  » C’est une tragédie humanitaire pour les familles, qui a des conséquences sur l’ensemble de la société », a-t-il relevé, ajoutant que « la question des personnes disparues, et notamment celles victimes d’une disparition forcée, reste l’un des impacts humanitaires les plus dévastateurs et les plus durables des conflits et de la violence ». Sur la base des cas enregistrés par le CICR en juin, l’Afrique est le continent qui compte le plus grand nombre de personnes disparues, d’enfants non accompagnés et de regroupements familiaux. « Dans les conflits armés, des civils comme des combattants disparaissent. Ils peuvent disparaître lorsqu’ils sont arrêtés ou capturés, détenus et confinés au secret. Ils peuvent être en vie, mais n’ont tout simplement pas les moyens de contacter leurs proches », a déclaré M. Youssef. En vertu du droit international humanitaire, les autorités nationales sont les premières responsables de la clarification du sort et du lieu où se trouvent les personnes disparues. Cependant, a noté le CICR, le manque de ressources, de connaissances ou de volonté politique entrave souvent leurs efforts et c’est pourquoi le CICR et les sociétés nationales jouent un rôle crucial pour combler ces lacunes.

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