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Le représentant de l’UNICEF chez Mounia Meslem

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La ministre de la Solidarité nationale, de la Famille et de la Condition féminine,Mounia Meslem Si Amer, a reçu, madi à Alger, le représentant du Fonds des Nations unies pour l’enfance (Unicef) en Algérie à la demande de ce dernier. Meslem a présenté, lors de cette audience, un exposé sur la stratégie de l’Algérie en matière de prise en charge de l’enfance, notamment les enfants handicapés et ceux en situation de difficultés, ainsi que l’évolution enregistrée sur les plans législatif et règlementaire, suite à la promulgation de la loi relative à la protection de l’enfant en Algérie. Les deux parties ont exprimé leur volonté de renforcer les relations, notamment, à l’occasion de la mise en œuvre du nouveau programme de coopération. Elles ont également évoqué le rôle du mouvement associatif et des médias dans la protection et la promotion des droits des enfants.

Annaba : le jardin méditerranéen d’Aïn Achir ouvert cet été
Un espace vert baptisé « jardin méditerranéen », en cours d’aménagement à Ain Achir, sur le littoral d’Annaba, sera réceptionné cet été . Les travaux d’exécution des différentes tranches du projet (réseaux divers, allées forestières, lac artificiel) varient, en matière d’avancement, entre 60 et 95 %. La mise en terre de certaines plantes et la création d’aires gazonnées, qui affichent un certain retard, seront terminés à temps. Occupant un site de 65 hectares boisés, au pied d’une colline dominant la plage d’Ain Achir, le jardin a nécessité un montant de 350 millions de dinars pour sa réalisation. À vocation écologique, le projet aspire à valoriser le patrimoine naturel d’un espace forestier situé au piémont de l’Edough afin d’offrir aux familles et aux estivants un aire de détente et de loisirs sécurisée et de qualité Le jardin méditerranéen sera aussi une espace pédagogique pour les enfants qui y découvriront les richesses végétales et faunistiques de la mer Méditerranée.

Maroc : les principaux syndicats annoncent une marche nationale début avril à Casablanca
Les principaux syndicats au Maroc ont annoncé, mardi à Casablanca, l’organisation le 3 avril prochain d’une marche nationale pour protester contre la politique « irresponsable » du gouvernement dans la gestion du dossier social. Dans une déclaration commune lue lors d’une conférence de presse animée à Casablanca, la Confédération démocratique du travail (CDT), l’Union marocaine du travail (UMT), l’Union générale des travailleurs du Maroc (UGTM), la Fédération démocratique du travail (FDT) et le Syndicat national de l’enseignement supérieur (SNES), ont décidé d' »organiser le 3 avril prochain à Casablanca, une marche nationale à laquelle participent tous les travailleurs, les fonctionnaires et toutes les franges de la société, et d’unifier les rangs des travailleurs au Maroc en célébrant ensemble la fête des travailleurs (1er mai prochain). Les syndicats ont indiqué que cette marche « fait partie d’un programme de lutte » qui s’étend sur trois mois (avril, mai et juin) et qui a été tracé par les leaders de ces centrales syndicales en vue de « faire face aux politiques impopulaires et anti-démocratiques du gouvernement ». L’initiative vise, selon la déclaration commune, « à dénoncer les agissements irresponsables du gouvernement dans la gestion du dossier social et son comportement avec le mouvement syndical et les revendications justes et légitimes » de la classe ouvrière au Maroc. Les syndicats ont dénoncé également le « mépris du gouvernement en matière de gestion des affaires publiques, de toutes les valeurs humaines et nationales, y compris les valeurs de dialogue, de liberté et la consécration de la citoyenneté à part entière », estimant que le gouvernement « continue d’ignorer la crise sociale que connaît le Maroc et particulièrement le phénomène du chômage », citant l’exclusion sociale, la pauvreté, la détérioration du pouvoir d’achat des citoyens et les inégalités sociales ». Ils ont par ailleurs exprimé leur grande déception face à la « détermination du gouvernement à faire fi du dialogue social, politique et civil ».

Argentine : les garde-côtes argentins coulent un navire de pêche chinois
Les autorités argentines ont annoncé que les garde-côtes ont coulé mardi un bateau de pêche chinois après avoir été attaqués par ce navire dans les eaux territoriales argentines, dans l’Atlantique sud. Le Lu Yan Yuan Yu 010 « a été détecté alors qu’il pêchait illégalement. Le navire en infraction a tenté d’entrer en collision avec les garde-côtes de la préfecture navale. L’ordre de tir a été donné, causant des avaries », selon un communiqué de la préfecture navale. Les membres de l’équipage du navire chinois ont pu être secourus. Le capitaine du navire chinois devait être livré à la justice et entendu par un magistrat. L’incident est survenu au large de la Patagonie. C’est la base navale située dans la ville de Puerto Madryn, à proximité de la zone touristique de la Péninsule de Valdès, qui a découvert la présence du bâtiment chinois. Les garde-côtes ont tiré sur la coque du navire après les communications et sommations de rigueur, assurent les autorités argentines. « Le capitaine n’a stoppé les moteurs que lorsque le bateau a commencé à couler, l’équipage a pu quitter le navire », selon la version argentine. Deux autres bateaux de pêche opéraient illégalement dans la zone, selon la Préfecture navale argentine. La semaine dernière, lors d’une patrouille au large de la Péninsule de Valdès, les autorités navales argentines avaient tiré en direction d’un navire pêchant illégalement dans la zone économique exclusive de l’Argentine.

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