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Le geste sympathique de Salima Souakri

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Dans une visite inopinée aux différentes sélections nationales qui sont en ce moment même en stage de préparation pour les prochains jeux olympiques de Tokyo 2021, la secrétaire d’état chargée du sport d’élite, Mme Salima Souakri, s’est dit très satisfaite sur les conditions réunies grâce auxquelles nous d’élites des sports individuels ont pu poursuivre leur préparation malgré les turbulences de la pandémie.
Mais lors de sa visite chez la sélection de boxe, et habituellement à sa modestie, la secrétaire d’état Mme Salima Souakri, et dans un geste complètement inattendu s’est mise dans la peau de nos boxeurs, dont elle a voulu une fois de plus exprimé sa fierté envers la participation pour la première fois dans l’histoire du sport national de deux boxeuses algériennes aux jeux olympiques de Tokyo 2021, il s’agit bien évidemment, de la boxeuse Roumaïssa Boualem et sa coéquipière Imane Khelif. En effet, en mettant une paire de gants sur sa demande, Salima Souakri n’a pas hésité de faire une petite démonstration pour encourager tous ceux qui souhaitent contribuer au développement de la boxe féminine. Fort est de constater, que c’est la première fois qu’un responsable toujours en fonction manifeste une si belle initiative qui consolide un véritable climat de confiance entre les sélections nationales et l’institution tutelle.

Sultana Khaya distinguée par le prix de la Citoyenneté pour les droits de l’homme d’Asturies (Espagne)
L’association culturelle asturienne pour la citoyenneté a décidé de décerner le prix « Citoyenneté pour les droits de l’homme » à la militante sahraouie Sultana Khaya, en reconnaissance de sa résistance pacifique et de sa défense des droits du peuple sahraoui dans les territoires occupés du Sahara occidental. Lors d’une cérémonie en ligne, l’association culturelle pour la citoyenneté a choisi de célébrer son sixième anniversaire en rendant hommage au peuple sahraoui et à sa lutte dans les territoires occupés et dans les camps des réfugiés sahraouis. Le président de l’association, Ignacio Loy, a rappelé les principes et les valeurs qui ont conduit à la naissance de l’association. « Nous ne sommes pas neutres, nous sommes pour une société plus juste, plus égalitaire et respectueuse des droits de l’homme », a-t-il souligné lors de la cérémonie.  Il a ajouté que « parmi toutes les causes qui pourraient aujourd’hui faire l’objet de louanges et de solidarité pour la lutte des droits de l’homme, l’association a décidé de soutenir la lutte du peuple sahraoui, en la concrétisant à travers la figure de Sultana Khaya » assignée à résidence depuis une centaine de jours et subissant un harcèlement policier dans la ville occupée de Boujdour.

136 affaires de cybercriminalité enregistrées en 2020
Les services spécialisés dans la lutte contre la cybercriminalité relevant de la sûreté de wilaya de Constantine ont enregistré 136 affaires liées à la cybercriminalité durant l’année 2020, a indiqué hier le chef sûreté de wilaya, le contrôleur de police, Rachid Boutira. Pas moins de 86 de ces affaires ont été résolues et ont été entièrement traitées, a précisé le même responsable au cours d’une conférence de presse consacrée à la présentation du bilan d’activités de ce corps de sécurité de l’année précédente, soulignant que 106 individus impliqués dans ces affaires ont été appréhendés. « Les affaires de cybercriminalité ont trait notamment aux atteintes aux personnes et aux systèmes informatiques, à l’usurpation d’identité, à la diffamation, au chantage et à l’escroquerie », a relevé le même intervenant, détaillant que ces affaires ont fait 116 victimes. Il a également fait état d’une « hausse sensible » du nombre d’affaires de cybercriminalité enregistrées l’année dernière par rapport à l’année 2019, où 74 affaires avaient été dénombrées, se traduisant par l’arrestation de 46 personnes alors que le nombre de victimes était de 67 personnes.

Mali: fin sans verdict du procès de l’ex-putschiste Amadou Sanogo
La cour d’assises de Bamako a ordonné, lundi, la fin sans verdict, du procès pour assassinats, contre le général malien Amadou Sanogo, meneur du putsch en 2012 qui a renversé le président Amadou Toumani Touré, rapportent des médias. La cour a invoqué une loi adoptée en 2019 au nom de la réconciliation et offrant la possibilité de l’amnistie ou de la grâce aux auteurs de certains crimes perpétrés pendant la crise de 2012. Le tribunal a également invoqué un accord de dédommagement conclu entre l’Etat et les parties civiles. La décision de la cour de Bamako concerne aussi une quinzaine de co-accusés, tous des militaires. Le 30 avril 2012, des bérets rouges, proches du président Amadou Toumani Touré, tentent de le réinstaller au pouvoir après que celui-ci a été victime d’un coup d’Etat mené par Amadou Sanogo. L’opération se solde par un échec. 21 soldats et officiers du 33e Régiment des commandos parachutistes sont enlevés puis assassinés. Leurs corps seront retrouvés en 2013, dans une fosse commune. Arrêtés en 2013, Amadou Sanogo et ses co-inculpés bénéficiaient depuis janvier 2020 jusque-là, d’une liberté provisoire.

L’ancien wali Mustapha Layadhi encourt 8 ans de prison ferme
Le Procureur général près le Pôle pénal économique et financier relevant du Tribunal de Sidi M’hamed, à Alger, a requis, hier, des peines allant de 3 à 8 ans de prison ferme contre l’ancien wali de Blida, Mustapha Layadhi poursuivi avec ses coaccusés dans une affaire de corruption et d’abus de fonction. Le Procureur général a requis une peine de 8 ans de prison ferme assortie d’une amende d’un million de DA à l’encontre de l’ancien wali, Mustapha Layadhi et des peines de 3, 5 et 6 ans de prison ferme à l’encontre des autres accusés assorties d’une amende d’un million de DA. Les réquisitions du Procureur général ont porté également sur la confiscation des avoirs saisis durant l’instruction, et l’interdiction du droit de candidature pour une durée de cinq ans pour l’accusé Layadhi .L’ancien wali de Blida, Mustapha Layadhi, avait été limogé en août 2018. Il est poursuivi notamment pour dilapidation de deniers publics, abus de fonction et octroi d’avantages injustifiés à un tiers.

L’AEP perturbée dans 7 communes d’Alger
En raison des travaux de réparation de deux fuites sur des canalisations principales de transfert d’eau, à Alger, la Société des eaux et de l’assainissement d’Alger (SEAAL) a annoncé, hier, dans un communiqué, une perturbation dans l’alimentation en eau potable, d-s aujourd’hui, à partir de 6h du matin, au lendemain mercredi, à 3h du matin.
Sept communes de la wilaya d’Alger sont concernées par cette perturbation, selon la même source citant, Chéraga, Draria, Ouled- Fayet, Souidania, El Achour (localité d’Oued Romane), Dely Ibrahim et une partie de la commune de Saoula. Par ailleurs et tout en rassurant que la remise en service de l’alimentation en eau potable se fera progressivement dès l’achèvement des travaux, la SEAAL recommande à ses clients, pour éviter toute surprise avec le retour à la normale, de vérifier la fermeture des robinets d’eau.

Un ancien chef des daïras placé sous mandat de dépôt à Skikda
Le juge d’instruction près le tribunal de Skikda a ordonné, tard dans la nuit de dimanche à lundi, de placer sous mandat de dépôt l’ex-chef des daïras d’Oum Toub (wilaya de Skikda), Skikda et Constantine (A. A.), selon le procureur général près la Cour de justice de Skikda, Azzedine Tebib, cité par l’APS. Le mis en cause est poursuivi, a précisé à l’APS M. Tebib, pour « demande d’indus privilèges », indiquant que le procureur de la République près le tribunal de Skikda avait émis un mandat d’arrêt à son encontre pour « non comparution devant l’instance judiciaire suite aux multiples convocations qui lui avaient été adressées ». Le procureur général a ajouté que les services de sûreté de wilaya de Bordj Bou Arreridj ont interpellé le mis en cause mercredi passé dans un hôtel de cette wilaya et a été immédiatement transféré à la wilaya de Skikda. A rappeler qu’il avait été mis fin aux fonctions de l’accusé en tant que chef de daïra de Constantine lors du dernier mouvement opéré dans le corps des chefs de daïra.

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