Accueil L'EXPRESS Le général Srir Aomar à la tête de l’École militaire polytechnique

Le général Srir Aomar à la tête de l’École militaire polytechnique

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Suivant le décret présidentiel du 07 janvier 2021, et au nom du chef d’état-major de l’Armée nationale populaire, le général-major Mohammed Kaïdi, chef du département emploi-
préparation de l’état-major de l’ANP, a supervisé, hier, la cérémonie d’installation officielle du nouveau commandant de l’École militaire polytechnique, en la personne du général Srir Aomar, selon un communiqué du ministère de la Défense nationale. Le nouveau promu à l’EMP, sise à Bordj El-Bahri à l’Est d’Alger succède ainsi au général Saâl Mohamed.

Bloomberg explique pourquoi choisir le Sputnik V
Les raisons pour lesquelles il est possible de faire confiance au vaccin russe anti-Covid-19, Spoutnik V, ont été expliquées par l’agence Bloomberg. Comme l’indique un de ses journaliste, la Russie fait partie des fabricants de vaccins ayant conclu les plus importants contrats de pré-achats. Il cite également le fait que le vaccin a passé des essais de phraseIII et que son efficacité a dépassé les 95% à toutes les étapes sans aucun cas grave. La conception du vaccin a été particulièrement mise en valeur. En premier lieu, il s’agit de l’utilisation d’une technologie avancée, à l’instar de celle réalisée par le partenariat AstraZeneca-Université d’Oxford et Johnson & Johnson. Ces vaccins à deux doses utilisent des vecteurs adénoviraux pour délivrer des gènes codant pour la protéine corona contenue dans le virus. Un virologue allemand reconnaît les avantages du vaccin russe Sputnik V, contre le Covid-19, par rapport à d’autres dont , Pfizer, Moderna. L’utilisation des vaccins à ARN messager comme ceux de Pfizer et Moderna, qui doivent être transportés à des températures très basses, « sera impossible dans certains pays, alors que ceux à adénovirus comme Spoutnik V n’ont pas cet inconvénient », a assuré, décembre dernier, Ralf Bartenschlager, président de la Société allemande des virologues. Aussi, SpoutnikV présente une différence majeure avec les vaccins AstraZeneca et Johnson & Johnson: il utilise le même adénovirus que ce dernier pour la première dose (adénovirus 26) et un adénovirus différent (adénovirus 5) pour la deuxième. De cette manière, la possibilité d’affecter la capacité de la seconde dose est écartée. Selon Bloomberg, une alternative potentiellement plus prometteuse serait d’essayer une combinaison d’adénovirus 26 pour la première injection et de vecteur adénoviral d’AstraZeneca, fabriqué à partir d’un adénovirus chimpanzé pour la seconde, ce qui est exactement ce que les deux groupes ont convenu de faire. «Tous les faits pris dans leur ensemble me donnent des raisons de penser que le vaccin Spoutnik V pourrait bien être un candidat aussi important que ceux créés dans les laboratoires occidentaux ».

Un litige foncier tourne au drame à Tiaret
Une personne a été tuée par balle suite à un litige autour d’une parcelle de terrain dans la région de « Haliat », dans la commune d’Aïn-Dheb (Tiaret), selon le commandant du groupement territorial de la Gendarmerie nationale qui a fait état de neuf individus arrêtés. Le litige est survenu lorsqu’une personne a entrepris de labourer la parcelle de terrain steppique située dans la région de « Haliat », après avoir obtenu une autorisation de l’APC, mais il a été pris à partie par d’autres individus, ajoutant qu’un coup de feu a été tiré samedi soir engendrant la mort de cette personne, a précisé le lieutenant-colonel Rabah Kermi. La même source a révélé qu’une enquête a été ouverte par la brigade de Gendarmerie nationale d’Aïn-Dheb pour déterminer les tenants et les aboutissants de cette affaire, suite à laquelle neuf individus ont été arrêtés, parmi lesquels un suspecté d’être l’auteur de l’assassinat.

Un cadre de l’Assemblée béninoise limogé pour sa critique du CFA
Au Bénin, un membre du Parlement a été démis de ses fonctions pour s’être permis de désapprouver le franc CFA, qu’il a assimilé à une monnaie de servitude. Il a également affirmé que le Bénin ne comptait pas adopter l’éco, la devise commune à venir. Son limogeage a soulevé un torrent de critiques chez les anti-CFA. Cinq ans après le début de la vague de protestations contre le franc de la Communauté financière africaine (CFA), utilisé par 14 pays d’Afrique, le sujet demeure sensible. À tel point que certains en arrivent à perdre leur poste pour leurs prises de position. C’est le cas, en ce début d’année 2021, d’Yves Ogan. Le directeur des services législatifs de l’Assemblée nationale béninoise a été limogé, mardi dernier. Il avait dénoncé, dans un entretien accordé à Morid TV, une chaîne de télévision privée en ligne, le caractère nocif du franc CFA sur les économies des pays dans lesquels cette devise était en vigueur. Pour lui, le Bénin et les autres États de l’UEMOA –l’Union économique et monétaire ouest-africaine– doivent se défaire de cette monnaie qu’il estime être «un instrument de servitude et de domination» de la France depuis 1945. Il considère, par ailleurs, qu’elle n’est pas favorable à leur développement économique. Yves Ogan s’exprimait la veille de la plénière du 22 décembre dernier, consacrée aux questions au gouvernement sur le franc CFA et l’éco –la nouvelle monnaie en gestation appelée à lui succéder.

Deux officiers de la Gendarmerie française se suicident
Deux gendarmes se sont donnés la mort, samedi, à Lyon et à Toulouse, rapporte La Voix du Gendarme, qui indique que ces deux drames n’ont pas de rapport entre eux si ce n’est l’usage de l’arme de service. Comme le relate la même source, un major adjoint au peloton motorisé (PMO) de Toulouse s’est donné la mort dans son domicile au siège de la gendarmerie. Il avait 56 ans, et était marié et père de deux filles de 27 et 30 ans. Il devait prendre sa retraite à la fin de l’année, d’après l’APNM Gendarmes et Citoyens annonçant la nouvelle sur leur compte Facebook. Quant au drame survenu à Lyon, il s’agit d’une commandante de la brigade de prévention de la délinquance juvénile (BPDJ) de 53 ans, comme le précise La Voix du Gendarme. Elle a été retrouvée morte dans une pièce inutilisée de la caserne Delfosse.

L’ex-ministre italien de l’intérieur devant la justice
Matteo Salvini, le chef du parti d’extrême droite italien La Ligue, a comparu, vendredi passé devant un juge à Palerme, pour une nouvelle affaire de migrants bloqués en mer en 2019, quand il était ministre de l’Intérieur. Il est soupçonné de séquestration de personnes et d’abus de pouvoir, après avoir interdit le débarquement d’une centaine de migrants secourus en mer par l’Open Arms en août 2019 et refusé pendant des jours d’accorder un port sûr au navire de l’ONG espagnole, qui mouillait au large de la petite île de Lampedusa. À l’issue de cette première audience préliminaire à huis clos, le juge a renvoyé au 20 mars la poursuite de la procédure, qui doit déterminer si Il Capitano doit être traduit en justice ou s’il faut abandonner les poursuites. «Je suis absolument serein et fier de ce que j’ai fait», a-t-il déclaré à la presse à l’issue de l’audience. «Je suis juste désolé pour le coût de ces procès supporté par les contribuables italiens et pour le temps que je fais perdre aux magistrats».

Open Arms accuse «les gouvernements italien et européens»
De son côté, Open Arms a tenu à souligner que «l’accusé aujourd’hui n’est pas seulement M. Salvini, mais les gouvernements italien et européens qui continuent de violer la convention de Hambourg sur l’obligation de secours en mer et celle de Genève sur l’interdiction de refuser des réfugiés».

«Fier d’avoir défendu l’Italie»
Salvini contre-attaque après la levée de son immunité par le Sénat. Matteo Salvini a déjà été mis en cause pour avoir bloqué en mer une centaine de migrants secourus par le navire Gregoretti des garde-côtes italiens, toujours durant l’été 2019. Le parquet sicilien de Catane a toutefois demandé l’abandon des poursuites dans cette affaire.

Le Centre des prévisions météo … retire un BMS
Le Centre national des prévisions météorologiques a annulé, hier, le bulletin météorologique spécial (BMS) pluie élaboré pour la veille, samedi, et qui concernait des wilayas du Centre, de l’Est et de l’Ouest. À s’y méprendre, c’est une première, du moins rare, ce retrait d’un BMS, bien qu’il est vrai en ces temps de bouleversements du climat, l’erreur est humaine. L’annulation du BMS fait suite, explique le CNPM, à « l’amélioration brusque de la situation météorologique », a précisé le Centre. L’activité orageuse, prévue initialement jusqu’à dimanche à 15h00, a pris fin à 10h30, a-t-on expliqué de même source.

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