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Guelma : 14 blessés dans 12 accidents de la circulation en 48 h

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Quatorze (14) personnes ont été blessées dans 12 accidents de la circulation survenus durant les dernières 48 heures dans la wilaya de Guelma, a-t-on appris jeudi auprès des services de la Protection civile. Le plus grave accident, enregistré durant cette période, concerne le dérapage et le renversement d’un véhicule de tourisme à la mechta d’Ouled Chiha sur la route reliant la commune de Nechmaya et le village d’Ouled Ali relevant de la zone Nord de cette wilaya, a-t-on précisé à la cellule de l’information et de la communication de ce corps constitué. L’accident qui s’était produit mercredi matin vers 01H34 mn a provoqué, a-t-on indiqué de même source, des blessures à cinq personnes, âgées entre 20 et 40 ans, qui ont été évacuées à l’hôpital Hakim Okbi au chef lieu de wilaya. Trois (3) autres personnes ont été victimes de blessures de divers degrés lorsqu’un véhicule de tourisme a dérapé mercredi soir au niveau de la zone de Boudjerane dans la commune de Bouhemdane, sur le chemin de wilaya (CW) 27, a ajouté la même source, notant que les victimes de cet accident, âgées entre 21 et 28 ans, ont été acheminées vers l’hôpital de la commune Hammam Debagh.

33 pèlerins égyptiens décédés à La Mecque
Au total, 33 pèlerins égyptiens sont décédés à la Mecque, ville sainte d’Arabie saoudite, a annoncé mercredi le ministère égyptien de la Santé dans un communiqué. «Trois pèlerins égyptiens sont décédés dans les territoires saoudiens, portant le nombre de morts à 33», a déclaré Khaled Megahed, porte-parole du ministère de la Santé. L’âge des victimes varie entre 50 et 80 ans. Les autorités égyptiennes travaillent avec leurs homologues saoudiens pour délivrer des certificats de décès, selon le communiqué. Cette année, plus de 84.000 Égyptiens ont participé au pèlerinage (Hadj) cinquième pilier de l’Islam) à La Mecque, qui a attiré quelque 2,4 millions de pèlerins du monde entier.

L’ex-présidente sud-coréenne Park condamnée à 25 ans de prison en appel
La cour d’appel de Séoul a alourdi vendredi à 25 ans de détention la peine de l’ancienne présidente Park Geun-hye qui avait été destituée l’année dernière dans un retentissant scandale de corruption et d’abus de pouvoir. Première femme élue présidente en Corée du Sud, Mme Park, 66 ans, avait été arrêtée en mars 2017 pour toute une série d’accusations qui ont mis en lumière les accointances troubles entre le pouvoir politique et les grands conglomérats familiaux sud-coréens. Elle avait été condamnée en avril en première instance à 24 années de détention. La chute de la présidente conservatrice, consécutive à des manifestations monstres dans tout le pays, a permis l’alternance et l’élection de Moon Jae-in (centre-gauche), qui a contribué au spectaculaire rapprochement en cours entre les deux Corées. L’affaire à tiroirs avait permis de révéler l’influence énorme sur la présidente de sa confidente de l’ombre, Choi Soon-sil, une « amie de 40 ans » surnommée « Raspoutine » par les médias et qui n’occupait aucune fonction officielle. Les deux femmes étaient notamment accusées d’avoir contraint les grands groupes sud-coréens à leur verser en échange de faveurs politiques des dizaines de milliards de wons, d’avoir créé une « liste noire » des artistes critiques de sa présidence ou d’avoir limogé les fonctionnaires qui s’opposaient à ses abus de pouvoir.

Un drone filme des images inédites d’un peuple isolé d’Amazonie
Quelques personnes se promenant dans une clairière au milieu de l’abondante végétation amazonienne: ces images inédites, enregistrées par un drone près de la frontière entre le Brésil et le Pérou, dévoilent l’existence d’une nouvelle tribu isolée, découverte par la Fondation nationale indienne (Funai). La vidéo — tournée en 2017 mais rendue publique cette semaine — fait partie des images récoltées par la Funai lors de plusieurs expéditions dans la Vallée du Javari, une zone très difficile d’accès dans le sud-est de l’Amazonas, Etat brésilien (sud-est) où ont été recueillies la majorité des preuves d’existence de peuples isolés dans le pays. La Funai, qui a déjà contacté huit de ces peuples, possèdent des preuves de l’existence de 11 autres tribus — non-contactées — vivant dans la région, grâce à la découverte d’indices tels qu’une énorme hutte, des haches artisanales, un clairon réalisé avec de l’écorce ou des canoës creusés dans des troncs de palmiers. Pour atteindre le lieu de la découverte, l’expédition composée de membres de l’agence — entité liée au gouvernement brésilien — et de policiers, a dû parcourir 180 kilomètres de fleuves et chemins de terre, puis 120 de plus dans la jungle, a expliqué la Funai dans un communiqué. L’expédition, qui vise à la « protection des indigènes isolés » en s’appuyant sur l’aide de membres du peuple Kanamari, grands connaisseurs de la région, a par ailleurs rencontré sur son chemin deux équipes de braconniers, et les a obligées à libérer les animaux capturés, vivants.

Le Qatar annonce une aide d’urgence pour l’île de Lombok
Le Croissant Rouge du Qatar (CRQ) a annoncé une aide d’urgence d’une valeur de 200.000 dollars aux victimes des récents tremblements de terre sur l’île indonésienne de Lombok, ont rapporté des médias locaux. «Le CRQ fournira des produits de secours non alimentaires, notamment des bâches en plastique, des couvertures, des moustiquaires et des conteneurs à eau aux victimes du séisme indonésien», a rapporté l’agence de presse officielle du Qatar. L’assistance qatarie consistera également à fournir des trousses de premiers secours, d’hygiène personnelle et de sensibilisation au profit de 700 familles touchées, selon des médias. Les tremblements de terre dévastateurs qui ont frappé l’île indonésienne de Lombok ces dernières semaines ont fait au total 555 morts et environ 1.500 blessés, selon un bilan quasi définitif annoncé vendredi par les autorités de l’archipel d’Asie du Sud-Est. Cette île touristique voisine de celle de Bali, dans le sud de l’Indonésie, a été frappée par deux puissants séismes les 29 juillet et 5 août, suivis de fortes répliques et d’une nouvelle secousse de magnitude 6,9 le 19 août. Des organisations humanitaires participant aux opérations d’assistance aux personnes touchées par ces catastrophes naturelles ont fait état d’une insuffisance de vivres et d’eau potable pour les déplacés. Le coût de la reconstruction devrait dépasser les 7.000 milliards de roupies (416 millions d’euros), selon les autorités indonésiennes. L’Indonésie, un archipel de 17.000 îles et îlots qui s’est formée par la convergence de trois grandes plaques tectoniques (indo-pacifique, australienne, eurasienne), se trouve sur la ceinture de feu du Pacifique, une zone de forte activité sismique.

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