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Festival de musique actuelle à Guelma : Amine Babylone et Zoheir Ech-chaoui enchantent le public

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La soirée du 13ème Festival national de musique actuelle a donné lieu, mardi soir au théâtre romain de Guelma, à une production remarquée des artistes Amine ‘’Babylone’’ et Zoheir Ech-chaoui qui ont enchanté le public. La troisième et avant-dernière soirée de cette manifestation artistique, a été marquée par un florilège de chansons romantiques, rythmées et entraînantes, interprétées par Amin ‘’Babylone’’ et une sélection de morceaux puisés du répertoire des chansons traditionnelles chaouies, œuvre de Zoheir Ech-chaoui, particulièrement prisées par le public de l’antique Calama. Le nombreux public présent à la soirée de mardi a d’abord chaleureusement accueilli son idole ‘’Babylone’’, qui se produit pour la première fois sur la scène du théâtre romain de Guelma¸ permettant une première rencontre directe avec ses admirateurs de Guelma qu’il a fait ‘’voyager’’ à travers des succès que le public a repris en chœur, notamment les ‘’tubes’’ ‘’Ya Zina’’, ‘’Ya Kahlet laâyoun’’ et ‘’Aouam oua Sinine’’, suivi de plusieurs succès du genre ‘’raï’’. Lui succédant sur les planches du théâtre romain, le jeune Zoheir Ech-chaoui a charmé son public, lui offrant un spectacle artistique associant rythmes légers et chansons traditionnelles, interprétées avec beaucoup d’émotion en langues arabe et Tamazight. L’artiste a entamé son tour de chant par une ballade sentimentale, émouvante, au titre évocateur : ‘’Loukane tefehmini oua t’hassi behouaya’’ (si tu pouvais me comprendre et ressentir ma passion), avant de passer à des chansons traditionnelles (très appréciées), agrémentées d’une touche personnelle, comme ‘’Chèche el khater chèche’’, ‘’H’na Ech-chaouia’’ ou encore ‘’Ma temchiche rakeb lazreg’’. La soirée de clôture du festival, prévue dans la soirée de mercredi, sera, cette fois, organisée à maison de la culture Abdelmadjid Chafai, dans le centre-ville, sera ‘’confiée’’, selon le programme officiel, à la troupe Aïssaoua du cheikh ‘’Kassimou’’.

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