Accueil BILLET DE CAMPAGNE Etre et ne pas être à la hauteur des défis 

Etre et ne pas être à la hauteur des défis 

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On peut pérorer à gauche et à droite, mais mener campagne pour se faire élire Premier magistrat du pays à l’occasion des élections du 7 septembre prochain, n’est pas mission gagnée d’avance. Et pour cause ! Les causes, les défis de l’heure qui commandent à chacun de placer la barre haut. Surtout pour l’Algérie d’aujourd’hui qui a franchi de grands pas, sur tous les plans. Elle a connu une transformation majeure à l’intérieur comme à l’extérieur. Notre pays a tracé son sillon et s’est tourné résolument vers le progrès et le développement. De surcroit, dans un contexte de tensions géopolitiques qui augurent un nouvel ordre mondial, en gestation nous disaient les observateurs. Dans ce charivari mondial, l’Algérie a réussi à tirer son épingle du jeu. A commencer par  un retour en fanfare sur la scène internationale où la diplomatie algérienne a retrouvé ses lettres de noblesses. En pleine guerre sioniste à Ghaza, l’Algérie a pesé de tout son poids pour faire fléchir ceux qui se disent « puissants ». L’Algérie ne badine pas avec les causes justes. Que reste-t-il comme défis à relever ? Maintenir la tête de notre diplomatie haut dans les fora internationaux. Pour ce faire, le candidat, loin d’enlever du mérite des uns et des autres, devra avoir l’esprit ingénieux, non seulement pour trouver les mots justes pour convaincre, mais pour trouver les outils devant renforcer la présence de l’Algérie à l’international. D’autres défis ? Il y en a sur les plans politique, économique et social… à suivre 

Farid Guellil

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