La déstabilisation sanitaire mondiale, pour cause de pandémie du coronavirus, semble devenir, après les déstabilisations politiques et les interventions militaires des puissances dans les conflits armés, une arme dans les relations internationales. C’est pour cela qu’une enquête devrait être ouverte pour situer les responsabilités liées à la propagation du virus à travers le monde. Aujourd’hui, tout un chacun sait que le foyer principal d’où est apparu le covid-19 se trouve dans la ville de Wuhan, en république de Chine. Au moment où des scientifiques se sont mis à répéter et à dire qu’il n’y a pas de remède pour l’instant à cette maladie virale. Et pourtant il y a des personnes qui sont guéries parmi celles qui sont contaminées. Une question s’impose d’elle-même : n’est-il pas curieux que des éminents savants en médecine continuent à garder le silence sur les questions primordiales par rapport à une maladie qui n’a rien de mystérieux pour eux ? Le coronavirus, ils le connaissent assez bien pour avoir traité des maladies virales similaires. Alors, face à cette opacité dans la communication de la communauté scientifique mondiale sur ce virus, nous sommes en droit de dire que tout n’a pas été dit sur cette pandémie. Il est peut-être fort probable que l’antidote est dissimulé quelques part à l’heure où tous les pays touchés par le covid-19 prônent la fermeture tout azimut des frontières.
Dans cette effervescence générale et frayeur planétaire, il serait plus indiqué de dire la vérité aux gens plutôt que de faire dans le suivisme déstabilisateur… La communauté scientifique a le droit et le devoir d’éclairer l’humanité sur son devenir sanitaire immédiat face à cet ennemi invisible.
Mâalem Abdelyakine