Le ministre de la Justice, garde des Sceaux, Lotfi Boudjemaâ, a indiqué que « son secteur qui a accompli des progrès considérables et tangibles, s’emploie à préserver les acquis et à réaliser davantage d’aspirations et d’avancées», rappelant qu’il s’attelait à la mise en œuvre des instructions du président de la République visant «la concrétisation de la transformation numérique sur le terrain».
Par ailleurs, le ministre a affirmé, dans une allocution prononcée à l’ouverture de la nouvelle année judiciaire (2025-2026), que le processus de consolidation de l’Etat de droit s’inspire du programme du président de la République, Abdelmadjid Tebboune, en cours de mise en œuvre dans différents domaines. Le ministre a précisé que «le processus de consolidation de l’Etat de droit, dans le cadre de la poursuite de l’édification d’un État fort et juste dans l’Algérie victorieuse en phase avec les exigences de l’époque, s’inspire du programme présidentiel en cours de mise en œuvre dans différents domaines». Exprimant la fierté du corps de la magistrature de voir le président de la République, président du Conseil supérieur de la magistrature (CSM) et premier magistrat du pays, présider l’ouverture de l’année judiciaire, Boudjemaâ a salué les efforts engagés pour «renforcer la place, la crédibilité et l’indépendance de la magistrature, et lui permettre d’accomplir son rôle pleinement, conformément aux instructions et orientations du président de la République ».
Savoir et formation, un gage de crédibilité du travail judiciaire
À son tour, le premier président de la Cour suprême, Tahar Mamouni, a remercié le président de la République d’avoir présidé l’ouverture de la nouvelle année judiciaire, saluant l’intérêt qu’il porte au secteur de la justice, conformément à ses engagements plébiscités par le peuple algérien.
Mamouni a, en outre, souligné qu’ «une justice saine et intègre passe impérativement par le savoir et la formation, qui garantissent la crédibilité du travail judiciaire». Évoquant l’adhésion de la Cour suprême, à l’instar des autres institutions constitutionnelles, au processus de numérisation, conformément aux instructions du président de la République, il a rappelé que «la numérisation du travail judiciaire fait partie des objectifs stratégiques de l’Etat ».
Sarah O.