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Algérie Poste : Une plateforme numérique pour les réclamations

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Dans le cadre de l’amélioration de son service, Algérie Poste a mis en place une plateforme numérique dédiée aux réclamations, offrant aux clients la possibilité de suivre facilement l’état d’avancement de leur dossier.
S’exprimant sur sa page Facebook officielle, l’institution a expliqué que ce service vise à renforcer la transparence et à améliorer l’expérience utilisateur. Il permet aux usagers de rester informés en temps réel, sans avoir à se déplacer physiquement, ce qui représente un avantage majeur, notamment pour ceux résidant dans des zones éloignées. Le processus est simple et accessible à tous, les clients souhaitant vérifier l’avancement de leur dossier doivent se rendre sur la plateforme numérique spécialement dédiée à ce service «poste.dz». Il leur suffit ensuite de saisir le numéro de leur réclamation, indiqué sur le reçu remis lors du dépôt, puis de valider leur demande. Une fois cette étape franchie, toutes les informations relatives à la plainte sont affichées dont, «l’état d’avancement, traitement en cours, ou clôture de la réclamation». En introduisant cette innovation, Algérie Poste confirme sa volonté de moderniser ses services et de renforcer la relation de confiance avec ses clients. L’entreprise, qui gère un réseau important de bureaux sur tout le territoire national, entend poursuivre le développement de solutions numériques pour répondre aux besoins croissants des citoyens et accompagner la transition vers une administration plus connectée et plus efficace.

Météo : la chaleur extrême affecte des millions de personnes dans le monde
La chaleur extrême, avec ses températures diurnes et nocturnes dangereusement élevées, affecte des millions de personnes dans le monde, alerte l’Organisation Météorologique Mondiale (OMM), jeudi, soulignant l’importance des alertes précoces et des plans d’action sanitaires contre la chaleur. L’OMM et ses Membres s’engagent donc à renforcer les systèmes d’alerte précoce contre la chaleur, conformément à l’ initiative « Alertes précoces pour tous », et collaborent avec des partenaires aux niveaux international, national et communautaire pour consolider les plans d’action chaleur-santé. « La chaleur extrême est parfois qualifiée de tueur silencieux, mais grâce aux connaissances scientifiques, aux données et aux technologies actuelles, le silence n’est plus une excuse. Chaque décès dû à la chaleur extrême est évitable », a indiqué le Secrétaire général adjoint de l’OMM, Ko Barrett. Les estimations modélisées montrent qu’entre 2000 et 2019, environ 489.000 décès liés à la chaleur, dont 45 % en Asie et 36 % en Europe, sont survenus chaque année. A l’échelle mondiale, le diagnostic et la déclaration officiels des maladies, blessures et décès liés à la chaleur sont reconnus comme étant sous-estimés. En ville, l’impact de la chaleur sur la santé humaine est plus prononcé en raison de l’effet d’îlot de chaleur urbain. Les personnes âgées et celles souffrant de maladies chroniques sont plus exposées. Selon le service Copernicus de l’Union Européenne (UE) sur le changement climatique, juillet 2025 a été le troisième mois de juillet le plus chaud au monde (après juillet 2023 et 2024). La température moyenne de la surface de la mer a également été la troisième plus élevée jamais enregistrée. La chaleur extrême a alimenté des incendies de forêt dévastateurs, faisant des victimes et détériorant la qualité de l’air. Selon les estimations de l’Organisation Mondiale de la Santé (OMS) et de l’OMM, le renforcement mondial des systèmes d’alerte sanitaire en cas de chaleur dans 57 pays seulement pourrait permettre de sauver environ 98.314 vies par an.

Six morts et 298 blessés sur les routes en 24 heures
Six personnes ont trouvé la mort et 298 autres ont été blessées dans des accidents de la circulation, survenus ces dernières 24 heures à travers plusieurs wilayas du pays, indique dimanche un bilan de la Protection civile. Le bilan le plus lourd a été enregistré dans la wilaya de Sétif, avec 4 morts et 5 blessés, suite à deux accidents distincts, le premier ayant fait 3 morts et 2 blessés suite au renversement d’un véhicule dans la Commune d’Ouled Sabor et le deuxième a causé un mort et 3 blessés dans le renversement d’une voiture dans la Commune d’Ain Arnat, précise la même source. Par ailleurs, le dispositif de la Protection civile pour la surveillance des plages autorisées à la baignade a effectué 1299 interventions pour le sauvetage de 900 personnes d’une mort certaine, dont 335 ont été prises en charge sur les lieux et 56 autres évacuées vers les structures sanitaires locales, déplorant toutefois 5 cas mort par noyade sur les plages des wilayas de Mostaganem et Annaba. Concernant la lutte contre les incendies de forêts et récoltes, les éléments de la Protection civile ont procédé à l’extinction de 18 incendies à travers plusieurs wilayas du pays, note le communiqué, ajoutant que les équipes de la Protection ont également procédé à l’extinction d’un incendie dans la wilaya de Tébessa qui s’est déclaré dans un poulailler.

Arrestation d’un groupe d’individus et saisie de plus de 450 comprimés de psychotropes à Oran
Les services de police d’Oran ont procédé à l’arrestation d’un groupe d’individus et à la saisie de plus de 450 comprimés de psychotropes, dont des drogues dures de type « ecstasy », dans la localité de Hassiane Toual, a-t-on appris, dimanche, auprès de ce corps de sécurité. Cette opération a été menée suite à des informations obtenues sur le terrain par les éléments de la Sûreté urbaine extérieure de cette localité, faisant état d’activités de trafic de ces substances au sein de leur secteur de compétence. Les suspects utilisaient leurs domiciles comme lieux de stockage, selon la cellule de communication et des relations publiques de la sûreté de wilaya. Après une surveillance étroite de leurs activités criminelles, l’identification des mis en cause et l’accomplissement des procédures légales, les policiers ont saisi 200 comprimés de drogue dure de type « ecstasy », 252 comprimés psychotropes de type « Prégabaline 300 mg », ainsi que des armes blanches et une bombe lacrymogène, indique la même source. Une procédure judiciaire a été engagée contre les suspects, qui ont été présentés devant la justice pour les chefs d’accusation de trafic et de vente illicite de substances psychotropes, a-t- on fait savoir de même source.

Palestine, Salah reprend l’UEFA
Suleiman al-Obeid, surnommé le « Pelé palestinien », est décédé à 41 ans mercredi, lors d’une frappe israélienne sur Gaza. Un décès dont s’est ému l’UEFA sur les réseaux sociaux, sans mentionner le contexte. De quoi pousser la star égyptienne Mohamed Salah à réagir. « Pouvez-vous nous dire comment, où et pourquoi il est mort ? », a demandé l’attaquant de Liverpool, déterminé à mettre la lumière sur ce qu’il se passe actuellement en Palestine. Un message vu plus de 71 millions de fois sur X.

Une Iranienne a empoisonné et tué au moins 11 de ses maris pendant 20 ans
Kolsum Akbari, 56 ans, est accusée d’avoir tué au moins 11 de ses maris sur une période de 20 ans. Elle a avoué les meurtres mais les enquêteurs pensent qu’il y a plus de victimes.
Des meurtres pour l’héritage ? Une femme accusée d’avoir empoisonné et tué ses 11 maris sur une période de 22 ans risque actuellement la peine de mort en Iran. Kolsum Akbari, 56 ans, a épousé des hommes âgés avant de leur administrer des médicaments contre l’hypertension, le diabète, des sédatifs et même de l’alcool industriel afin d’hériter de leurs biens, rapporte le Daily Mail.
En Iran, ces agissements sont passés inaperçus pendant plus de deux décennies, notamment en raison de l’âge avancé et de l’état de santé de ses victimes. Selon nos confrères, les faits ont débuté au début des années 2000 et se sont poursuivis jusqu’en 2023. C’est le fils de son dernier mari qui s’est méfié de cette femme après qu’un ami de la famille a révélé que son propre père avait déjà été marié à une femme appelée « Kolsum », qui avait déjà tenté de l’empoisonner. Prévenue, la police a interpellé la suspecte avant de l’interroger.
En audition, les enquêteurs lui ont fait avouer les crimes sans qu’elle ne donne exactement le nombre de victimes. « Je ne sais pas combien j’en ai tué. Peut-être 13 ou 15. Je ne me souviens pas exactement », aurait-elle déclaré. Kolsum Akbari a été mariée à l’âge de 18 ans avec un homme souffrant de violents troubles mentaux. Par la suite, elle a été mariée à un homme beaucoup plus âgé, père d’enfants d’un précédent mariage. Pendant cette relation, elle aurait été régulièrement battue par son mari et ses beaux-fils. Après la mort de son second mari, elle aurait cherché à se marier avec des hommes âgés et solitaires. Elle se liait d’amitié avec les filles de ces hommes et, après avoir enquêté sur leur patrimoine, acceptait de les épouser contre une dote importante.
D’après les éléments de l’enquête, en plus de l’administration de poison, elle aurait aussi étouffé ses victimes avec des oreillers et des serviettes. Dans de nombreux cas, les victimes décédaient peu après leur mariage. Mirahmad Omrani, 69 ans, est décédé un mois après les noces en 2013, Esmail Bakhshi, 62 ans, est décédé deux mois après leur mariage en 2016, et Ganjali Hamzei, 83 ans, est décédée 43 jours après avoir convolé.
En 2020, un homme a survécu à la tentative de meurtre après avoir consommé de la soupe contaminée, sans le signaler à la police pour autant.

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