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Alger : extinction d’un incendie déclaré dans une biscuiterie à Reghaïa

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Les services de la Protection civile ont réussi à éteindre un incendie qui s’est déclaré, samedi soir, dans une biscuiterie au niveau de la zone industrielle de Reghaïa (Alger), sans faire de victimes, a-t-on appris, dimanche, des services de la Protection civile. « Les agents de la Protection civile relevant de la wilaya d’Alger soutenus par l’Unité nationale d’instruction et d’intervention de Dar el Beida, et les services de la Protection civile de la wilaya de Boumerdes, sont intervenus, samedi à 22h15, pour l’extinction d’un incendie qui s’est déclaré dans une biscuiterie au niveau de la zone industrielle de Reghaïa », a déclaré à l’APS, l’inspecteur à la Direction générale de la Protection civile, le colonel Farouk Achour, précisant « qu’aucune perte humaine n’a été enregistrée ». « Neuf (9) camions citernes, une (1) échelle mécanique et deux (2) ambulances ont été mobilisés pour circonscrire et éteindre l’incendie », a-t-il ajouté.

Sept morts et 212 blessés sur les routes en 24 heures
Sept (7) personnes sont décédées et 212 autres ont été blessées dans des accidents de la circulation survenus ces dernières 24 heures à travers plusieurs wilayas, indique dimanche un communiqué de la Protection civile. Le bilan le plus lourd a été enregistré dans la wilaya de Skikda où deux personnes ont été mortellement heurtées par un véhicule léger au niveau de l’autoroute Est-Ouest, dans la commune d’Azzaba, précise la même source. Par ailleurs, la Protection civile a dépêché ses équipes d’intervention spécialisées pour l’extinction d’un incendie qui s’est déclaré dans une usine de fabrication de biscuits, dans la zone industrielle de Reghaia (Alger), sans enregistrer de victimes, relève le communiquant. Les secours de la Protection civile de la wilaya Batna sont également intervenus pour prodiguer des soins de première urgence à trois personnes incommodées par le monoxyde de carbone, émanant d’un chauffe-bain à l’intérieur de leur habitation.

Pyongyang affirme avoir récupéré l’épave d’un drone sud-coréen sur son territoire
La Corée du Nord a affirmé samedi avoir récupéré l’épave d’au moins un drone « venu de Corée du Sud », publiant des images de l’appareil dont certains experts ont confirmé l’origine sud-coréenne. Le 11 octobre, le Nord avait accusé Séoul d’avoir envoyé dans l’espace aérien de sa capitale Pyongyang des drones chargés de tracts de propagande, ce que le Sud a nié. Un porte-parole du ministère de la Défense nord-coréen a cependant déclaré samedi que les forces de sécurité du pays avaient trouvé un drone écrasé à Pyongyang le 13 octobre, selon l’agence de presse officielle KCNA. Les enquêtes menées « ont scientifiquement prouvé que le drone est venu de la République de Corée », a dit ce porte-parole dont le nom n’a pas été communiqué, utilisant le nom officiel de la Corée du Sud. Le responsable a assuré que l’engin était du même type que ceux exhibés à Séoul lors du défilé militaire de la Journée des forces armées en 2023. Il a toutefois précisé qu’il était seulement « plutôt probable » que ce drone soit celui qui a « éparpillé des tracts dans le centre de la municipalité de Pyongyang », alors que le Nord s’était auparavant montré affirmatif. L’armée sud-coréenne a dans un premier temps démenti toute implication avant de refuser de commenter. « Il ne sert à rien de vérifier ou de répondre aux affirmations unilatérales de la Corée du Nord », a-t-elle déclaré samedi dans un bref communiqué. Les spéculations locales désignent des groupes de militants de Corée du Sud, habitués à envoyer de la propagande et des dollars vers le Nord, généralement au moyen de ballons volants.

Colombie: record historique de production de cocaïne en 2023
La production de cocaïne a littéralement explosé en 2023 en Colombie, atteignant un nouveau record historique avec une augmentation de 53%, selon un rapport conjoint du gouvernement colombien et de l’agence de l’ONU contre les drogues (ONUDC). La production de chlorhydrate de cocaïne a atteint l’année passé 2.664 tonnes, soit une augmentation de 53%, selon ce rapport, rendu public vendredi à Bogota. Les zones cultivées de coca, culture à la base de la cocaïne dont la Colombie est le premier producteur mondial, sont également en augmentation de 10%, s’étendant dorénavant sur 253.000 hectares du territoire colombien. « Contrairement à l’augmentation observée entre 2021 et 2022, qui était fortement concentrée dans le département de Putumayo, (sud-ouest, frontalier de l’Equateur), la croissance est cette fois plus généralisée », indique le rapport. « Elle concerne seize des 19 départements » où la présence de coca est signalée. Le Cauca (sud-ouest) et le Nariño (sud-ouest), deux régions où l’on observe une forte présence des groupes armés, « ont été les plus touchés ».
Quatre régions ont des surfaces de culture de coca supérieures à 30.000 hectares: le Cauca, le Nariño, le Putumayo, et le Nord de Santander (nord-est, frontalier du Venezuela). Le rapport s’intéresse en particulier à quinze enclaves de production, concentrant 39% de la zone de culture de coca sur seulement 14% du territoire. Il s’alarme par ailleurs des « zones d’expansion, zones où les cultures de coca ne sont présentes que depuis trois ans », et qui sont localisées à 40% dans la région du Pacifique, l’une des plus pauvres et des plus isolées du pays.

Venezuela: arrestation de 19 « mercenaires » étrangers accusés de complot
Le ministre vénézuélien de l’Intérieur a annoncé l’arrestation de 19 « mercenaires », dont plusieurs Américains, pour leur implication présumée dans un complot visant à renverser le président Nicolas Maduro après sa réélection controversée de juillet. Sans donner de détails sur les dates des arrestations, Diosdado Cabello a évoqué « la capture d’un nouveau groupe de mercenaires », assurant qu’ils étaient en lien avec « le CNI (Centre national de renseignements, services espagnols) (…) la CIA, la DEA, le gouvernement des États-Unis ». Parmi les personnes arrêtées figurent les Américains Gregory David Weber, que le gouvernement vénézuélien a associé à des opérations de mise à sac d’institutions publiques, ainsi que l’infirmier David Gutenberg Guillaume, qui, selon M. Cabello, avait pour mission « d’apporter une aide aux personnes blessées dans les activités terroristes qu’elles allaient entreprendre ». Jonathan Pagan Gonzalez, un autre Américain, « a été arrêté dans l’état de Zulia » (ouest), accusé de vouloir « attenter » à la vie de M. Maduro et d’autres hauts fonctionnaires. Il a également identifié Jorge Marcelo Vargas, de nationalité américaine et bolivienne, qui, selon lui, a été arrêté en train de prendre des photos dans les raffineries du pays. Parmi les 19 détenus figurent aussi un Libanais, un Péruvien et « plusieurs Colombiens », a-t-il précisé dans donner de décompte

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