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Air Algérie dément toute ouverture de son capital

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Dans un contexte de crise financière qui la touche de plein fouet après l’avènement de la pandémie de Covid-19 qui avait paralysé l’espace aérien, ajouté à l’ouverture du secteur au privé, Air Algérie fait l’objet de spéculation au sujet de son capital. Selon des informations qui nous sont parvenues hier, le Gouvernement aurait donné son feu vert à la compagnie pour l’ouverture de son capital social. Il n’en est rien de tel, affirme une source chez Air Algérie qui dément les rumeurs colportées à ce sujet. Celle-ci en veut pour preuve le fait que la compagnie soit une entreprise publique d’importance stratégique pour l’Etat. Un statut qui, selon la même source, exclut de fait toute possibilité d’ouvrir son capital.

Tribunal criminel d’Ouargla : peines de prison contre des narcotrafiquants
Des peines allant de sept (7) à douze (12) ans de prison ferme ont été prononcées par le tribunal criminel près la Cour d’Ouargla, pour détention de drogue dans le cadre d’une bande criminelle organisée, a-t-on appris mercredi de source judiciaire. Une peine de 12 ans de prison ferme a été infligée aux dénommés B.B (34 ans), S.B (32 ans) et S.K (30 ans) pour transport et détention de drogue à des fins de commercialisation. Une peine de sept (7) ans de prison ferme a été prononcée à l’encontre des nommés L.T (66 ans), F.M (44 ans), M.A (43 ans) et H.F (31 ans) pour les chefs d’inculpations de détention illégale de drogue, alors que F.S (36 ans) a bénéficié d’un non-lieu. Selon l’arrêt de renvoi, l’affaire remonte au 4 avril 2019, lorsque les services de la gendarmerie nationale, agissant sur informations faisant état de transport de stupéfiants d’Ouargla vers El-Oued, ont intercepté à Ouargla un véhicule suspect à bord duquel a été découverte une quantité de 47 kg de résine de cannabis, dissimulée soigneusement dans le coffre, et dont les occupants (M.H, H.F et K.R-68 ans) ont pris la fuite. Les investigations menées par les services de sécurité ont permis d’appréhender, sur la RN-3 entre Ouargla et Touggourt, les individus répondant aux initiales de B.B, L.T et F.M, à bord d’un autre véhicule, et le nommé B.B avouera ensuite que la marchandise prohibée a été acheminée de Ain-Sefra (Nâama), via Ouargla vers la wilaya d’El-Oued. Le ministère public a requis dans cette affaire la réclusion à perpétuité à l’encontre de l’ensemble des mis en cause.

Alger : arrestation de 10 individus et saisie de quantités de drogues et de psychotropes
Les éléments de la Sûreté de wilaya d’Alger ont arrêté 10 individus mis en cause dans diverses affaires, récupéré un autobus de transport des voyageurs, et saisi une quantité de drogues et de psychotropes, a indiqué, mercredi, un communiqué de ces services. « Les brigades opérationnelles de la police ont réussi, en coordination avec la salle de la police de secours et une bonne exploitation des signalements reçus par téléphone, à arrêter 10 individus mis en cause dans diverses affaires », et récupéré un autobus de transport des voyageurs volé ». Les mêmes unités ont saisi 82 g de cannabis, 587 comprimés psychotropes, 880 unités de boissons alcoolisées, une somme de 103 600 DA, générée par ce trafic, deux (2) bombes lacrymogènes, (3) armes blanches prohibées et une barre de fer utilisée dans les rixes sur la voie publique ». La police a également saisi 44 faux billets en devise, dont 22 billets de 500 euros et 22 billets de 100 euros ». Un total de 30 826 appels téléphoniques ont été reçus via le numéro vert 1548 et de secours 17, par la salle de la police de secours de la salle des opérations relevant du Centre de commandement et de contrôle durant la période allant du 14 au 30 septembre, outre 24 photos via l’application « Allo chorta », dont 07 photos utiles.

Démantèlement d’un réseau organisateur de harga à Mostaganem
La police judiciaire de la sûreté urbaine externe de Hadjadj (Mostaganem) a mis hors d’état de nuire un réseau organisateur de traversées clandestines par mer, a-t-on appris mercredi auprès de la sûreté de wilaya. Agissant sur informations faisant part de l’utilisation d’un domicile dans la commune de côtière de Hadjadj (est de Mostaganem) pour héberger des candidats à l’émigration clandestine par mer, une perquisition de l’appartement, sur autorisation du procureur de la République près le tribunal de Mostaganem, a permis de trouver huit personnes à l’intérieur en leur possession un montant de 3 510 euros et quatre comprimés psychotropes, a-t-on indiqué. L’enquête a révélé que les mis en cause avaient loué cette maison en attendant l’embarquement pour une traversée clandestine, a-t-on fait savoir. Pour tentative d’émigration clandestine, une procédure judiciaire a été engagée contre les prévenus âgés entre 20 et 54 ans qui ont été présentés devant le procureur de la République près le tribunal de Mostaganem.

Johnson & Johnson demande l’autorisation pour une dose de rappel de son vaccin
Le groupe pharmaceutique Johnson & Johnson a annoncé mardi avoir soumis des données à l’Agence américaine des médicaments (FDA) en vue d’obtenir l’autorisation pour une injection de rappel chez les adultes de son vaccin unidose contre le Covid-19. Ces données incluent les résultats d’une étude clinique selon laquelle une deuxième dose injectée environ deux mois (56 jours) après la première montre une efficacité de 94% contre les cas symptomatiques (modérés à graves) aux États-Unis, et de 100% contre les cas graves 14 jours après cette seconde injection, a rappelé l’entreprise dans un communiqué. Une seconde dose injectée six mois après la première multiplie également « par neuf » les niveaux d’anticorps observés, selon une autre étude de « J&J », et « par douze » quatre semaines après le rappel. Le vaccin, pris en unidose ou en dose de rappel, est généralement bien toléré par les patients, a assuré le groupe américain. La FDA a de son côté indiqué que son comité d’experts se réunirait les 14 et 15 octobre pour étudier les demandes d’autorisation de Johnson & Johnson et de la société Moderna.

Deux morts dans un accident de la route à Djelfa
Deux personnes ont trouvé la mort dans un accident de la circulation survenu, mercredi, dans la commune d’El-Idrissia, à une centaine de km à l’ouest de Djelfa, a-t-on appris auprès des services de la Protection civile de la wilaya. Selon le chargé de la communication auprès de ce corps constitué, le sous-lieutenant Abderrahmane Khadher, les secours de l’unité secondaire de la commune de Charef, appuyés par l’unité secondaire d’El-Idrissia, ont effectué une intervention, suite à une collision frontale entre un véhicule touristique et un camion poids lourd, sur l’axe de la Route communale N11, mitoyenne au carrefour en direction de la zone rurale « Kef El Baz ». Cet accident a causé la mort, sur place, de deux personnes âgées de 23 et 52 ans, a ajouté la même source, signalant le transfert de leurs dépouilles à la morgue de l’hôpital d’El-Idrissia. Une enquête a été ouverte, par les services de la Gendarmerie nationale, pour déterminer les circonstances exactes de cet accident, a-t-on conclu.

Johnson & Johnson demande l’autorisation pour une dose de rappel de son vaccin
Le groupe pharmaceutique Johnson & Johnson a annoncé mardi avoir soumis des données à l’Agence américaine des médicaments (FDA) en vue d’obtenir l’autorisation pour une injection de rappel chez les adultes de son vaccin unidose contre le Covid-19. Ces données incluent les résultats d’une étude clinique selon laquelle une deuxième dose injectée environ deux mois (56 jours) après la première montre une efficacité de 94% contre les cas symptomatiques (modérés à graves) aux États-Unis, et de 100% contre les cas graves 14 jours après cette seconde injection, a rappelé l’entreprise dans un communiqué. Une seconde dose injectée six mois après la première multiplie également « par neuf » les niveaux d’anticorps observés, selon une autre étude de « J&J », et « par douze » quatre semaines après le rappel. Le vaccin, pris en unidose ou en dose de rappel, est généralement bien toléré par les patients, a assuré le groupe américain. La FDA a de son côté indiqué que son comité d’experts se réunirait les 14 et 15 octobre pour étudier les demandes d’autorisation de Johnson & Johnson et de la société Moderna.

 

 

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