Pour répondre à la demande de ses passagers, la compagnie Aigle Azur renforce sa présence commerciale dans la région Sud-Ouest pendant la haute saison estivale, en mettant en place un nouveau vol hebdomadaire entre Bordeaux et Alger, en plus de ses six fréquences hebdomadaires déjà existantes au départ de Toulouse vers Alger et Oran. La nouvelle liaison sera assurée en A320 mono-classe, chaque vendredi du 16 juin au 8 septembre inclus, aux horaires suivants : Le départ du vol ZI737 «Bordeaux-Alger» est fixé à 14h00 et son arrivée à 14h40. Quant au départ du vol ZI738 «Alger-Bordeaux» (ZI738) il est programmé de 10h20 pour une arrivée à 13h00. Les vols entre Bordeaux et Alger sont disponibles à la vente dès aujourd’hui sur www.aigleazur.com, dans les points de vente Aigle Azur et en agence de voyages. L’Algérie reste la destination la plus importante d’Aigle Azur en nombre de vols, avec des services au départ de six villes françaises à destination d’Alger, Annaba, Béjaia, Constantine, Oran, Sétif et Tlemcen. Avec le lancement de la liaison Bordeaux-Alger, Aigle Azur étend son réseau régulier dans la région Sud-Ouest et permettra aussi de combiner ces vols saisonniers à ses routes déjà existantes à l’année entre Toulouse et l’Algérie. Aigle Azur proposera donc des vols vers l’Algérie depuis sept villes en France pendant la haute saison estivale. Rappelons que pour faciliter l’expérience de voyage et faire gagner du temps à ses passagers, Aigle Azur propose l’enregistrement en ligne ou sur mobile avec une sélection d’options de voyage comme le choix du siège et des services additionnels comprenant la réservation de voitures de locations, de taxis et d’hôtels et le transport d’animaux. Aigle Azur est heureuse d’offrir son service de compagnie régulière sur cette nouvelle route, avec des prestations de qualité reconnue et sa franchise de bagage incluse.
500 migrants forcent la barrière entourant l’enclave espagnole de Ceuta
Des centaines d’immigrés ont franchi vendredi la barrière entourant l’enclave espagnole de Ceuta, certains ayant été blessés, selon des secours et de la garde civile. «La garde civile de Ceuta estime que 500 personnes ont peut-être réussi à entrer dans la ville», indiquent les services de secours sur leur compte Twitter. La garde civile a de son côté précisé que «plusieurs centaines» de migrants étaient entrés dont certains ont été blessés, ainsi que des membres des forces de l’ordre. L’Espagne est un point de passage pour les migrants tant par voie maritime que terrestre via les deux enclaves espagnoles de Ceuta et Melilla. Selon l’Organisation internationale pour les migrations (OIM), plus de 13 000 migrants sont arrivés en Espagne en 2016, dont plus de 8 100 par la mer.
Le panda géant Cobi est mort à 25 ans dans un zoo du sud-ouest de la Chine
Le panda géant Cobi, portant le nom de la mascotte des Jeux olympiques de Barcelone de 1992, est mort au début du mois de février à l’âge de 25 ans dans un zoo à Chengdu, capitale de la province chinoise du Sichuan (sud-ouest). Cobi est mort le 2 février, en dépit d’un traitement d’urgence de deux jours après être subitement tombé dans le coma le 31 janvier, a annoncé jeudi le zoo de Chengdu, cité vendredi matin par l’agence Chine-Nouvelle. L’âge de ce panda mâle est équivalent à environ 75 ans pour l’être humain. Il était en bonne santé avant de tomber tout à coup malade bien qu’il ait présenté quelques symptômes de vieillissement comme la perte d’appétit. Cobi avait été nommé par Juan Antonio Samaranch, ancien président du Comité international olympique. Il est né le 26 juillet 1992, la même journée que l’ouverture des 25e Jeux olympiques en Espagne. Il a engendré neuf oursons dont la plupart ont eu davantage de descendants. L’espérance de vie moyenne des pandas géants vivant dans la nature est de 15 ans, tandis que ceux vivant en captivité vivent normalement plus longtemps grâce à une meilleure alimentation et à de meilleures conditions de vie. Selon un sondage, le nombre de pandas géants en Chine a été estimé en 2013 à 1 864 dans la nature et à 375 en captivité.
Un navire grec en «excès de vitesse» échoue au port de Skikda
Le directeur général du port de Skikda, Imadeddine Tanfour, a considéré jeudi que la «vitesse excessive» du navire grec était à l’origine de son échouage. Le navire grec Sea Lady tentait mercredi après-midi «d’une manière normale» de se positionner au quai qui lui était réservé au port pour décharger 42 000 tonnes de maïs avant de chavirer du fait que la profondeur du bassin ait été inférieure à son tirant d’eau, a précisé le DG du port. Dans une conférence de presse tenue jeudi soir, Tanfour a affirmé que ce genre d’incident est «ordinaire» dans l’activité portuaire, indiquant que la première opération de tractage qui a été menée mercredi soir a échoué à cause de la marée basse. Il a précisé que l’opération de tractage a été renouvelée jeudi matin, nécessitant d’opérer une déclinaison de 4 degrés pour permettre au navire de glisser et se repositionner à l’endroit qui lui est réservé au niveau du quai. Ce même responsable a précisé que cette opération, exécutée en «un temps record», a été accomplie avec les moyens matériels et humains du port de Skikda uniquement, à savoir des remorqueurs de 2500 et 6500 chevaux. Tanfour a également assuré que le navire ainsi que sa cargaison de 43 000 tonnes de maïs n’ont subi aucun dommage.
Projet de création d’un centre de pêche continentale à Béni-Haroun (Mila)
Un projet portant réalisation d’un centre de pêche continentale à Béni-Haroun (Mila) vient d’être inscrit, a indiqué jeudi le directeur de la programmation et du suivi du budget, Ghanem Boumedmed. Ce centre, qui sera réalisé sur les berges du barrage de Béni-Haroun, dans la commune de Sidi Merouane, mobilisera une enveloppe de 45 millions de dinars, selon la même source. Le directeur de la chambre régionale de la pêche de Sétif Ahmed Bendjeddou s’est félicité de l’inscription de ce projet longtemps souhaité par les opérateurs du secteur. La concrétisation de ce projet permettra l’aménagement d’un ouvrage d’accostage pour faciliter le travail des 15 pêcheurs exploitant les eaux du barrage de Béni-Haroun. La wilaya de Mila comporte d’importants ouvrages hydrauliques, tels que le barrage de Béni Haroun (1 milliard de M3), les barrages Grouz et El Khazzan de Oued Athmania en plus de nombreux retenues collinaires.
Colloque sur les dangers sanitaires de l’environnement en mars prochain à Tizi Ouzou
Un colloque sur «Les dangers sanitaires de l’environnement» sera organisé en mars prochain dans la wilaya de Tizi-Ouzou, ont indiqué jeudi les responsables de l’association scientifique et écologique «Arc en ciel». Le colloque qui se tiendra du 21 au 25 mars sera animé par des universitaires, a indiqué dans une conférence de presse, organisée à la maison de la culture Mouloud Mammeri, Rachid Doufene, président d’Arc en ciel, qui était accompagné de deux membres de l’association à savoir Mouali Farid (paysan) et Asla Tarik (universitaire). Des conférences et des tables rondes sont programmées autour de thématiques inhérentes à l’environnement, au développement durable, à la gestion des déchets, au tourisme responsable et solidaire, au commerce responsable et équitable et aux énergies renouvelables, ont annoncé les conférenciers. Le colloque sera précédé par une action de volontariat pour le nettoiement de la commune de Tizi-Ouzou, qui aura lieu les 17 et 18 mars prochains, avec la participation des villages des daïras de Larbaa n’Ath Irathen et de Beni Douala, signataires de la charte écologique, lancée en 2016 par l’association arc en ciel. Cette activité sera clôturée par un spectacle pour récompenser les participants à l’opération de nettoyage du chef-lieu de wilaya qui recevront durant les journées de volontariat des tickets d’accès au gala artistique qui sera animé par deux grands artistes dont les noms n’ont pas été divulgués par Arc en ciel pour « garder l’effet de surprise».
D’anciens reptiles proches des dinosaures étaient vivipares
Une équipe internationale dirigée par un paléontologue chinois a découvert une preuve de viviparité (développement de l’œuf à l’intérieur de l’utérus maternel) d’une espèce autrefois considérée comme ovipare. Un fossile de 245 millions d’années découvert dans le Géoparc national de Luoping, dans la province chinoise du Yunnan (sud-ouest), présente un embryon à l’intérieur de sa mère, selon un article publié dans «Nature Communications». Cette créature appartenait aux archosauriens, un groupe de reptiles ayant évolué il y a quelque 260 millions d’années et représenté aujourd’hui par les oiseaux et les crocodiles, explique Liu Jun, auteur de cette recherche menée par l’Université des technologies de Hefei, en Chine. La taille de l’animal est de trois à quatre mètres. Son cou mesure probablement la moitié de son corps. L’embryon a été découvert dans la cage thoracique de la mère. «Cette créature est proche des dinosaures, mais plus ancienne qu’eux. Elle attrapait des poissons grâce à son long cou», a estimé Li Jun.
