La 22? édition du Salon international de l’immobilier, du bâtiment, du logement, des travaux publics et de la céramique « BATIWEST 2025 » s’est ouverte, mercredi au Centre des conventions « Mohamed Benahmed » d’Oran, avec la participation d’environ 120 exposants nationaux et étrangers. L’ouverture officielle de cette manifestation, organisée sous le slogan « Pour une Algérie forte et moderne », a été présidée par le wali d’Oran, Samir Chibani. Lors de sa visite des différents stands, M.Chibani a souligné que la wilaya d’Oran connaît une dynamique économique particulière, notamment dans le secteur de l’habitat , grâce à la réalisation de nombreux projets dans diverses formules, ce qui en fait un pôle touristique et attractif par excellence. Le wali a appelé les entreprises spécialisées dans la production de matériaux de construction à accompagner les promoteurs immobiliers, tant publics que privés, activant dans les secteurs de l’immobilier et de l’habitat. Il a également souligné que ce salon constitue un rendez-vous économique important et un espace d’échange entre professionnels, propice à l’établissement de partenariats avec les entreprises étrangères participantes. Organisé cinq jours durant à l’initiative de l’agence « SB Events Com Company », le salon réunit des entreprises algériennes et étrangères provenant d’Espagne, de Turquie, de Grèce et d’Italie, ainsi que des institutions bancaires spécialisées dans le financement de l’habitat, ainsi que des établissements du secteur de la formation et de l’enseignement professionnels. Le commissaire du salon, Zoubir Ouali, a indiqué que plus de 60 % des exposants sont de jeunes entreprises et startups nouvellement créées, spécialisées dans la production de matériaux de construction, avec l’ambition de commercialiser leurs produits dans l’Ouest et le Sud-Ouest du pays, voire de les exporter vers les pays africains. Des rencontres bilatérales entre opérateurs économiques algériens et leurs homologues turcs sont également programmées pour encourager les partenariats, en plus de conférences thématiques sur le secteur du bâtiment, de l’habitat et des énergies renouvelables en Algérie.
Pluies et orages prévus dans plusieurs wilayas du pays jusqu’à jeudi
Des pluies et des orages sont prévus, mercredi et jeudi, dans plusieurs wilayas du pays, indique un bulletin météorologique spécial (BMS), émis par l’Office national de météorologie.De niveau de vigilance « Jaune », le BMS prévoit, ce mercredi, des pluies sur les wilayas d’El Tarf, Annaba, Skikda, Jijel, Béjaïa, Tizi Ouzou, Boumerdès, Souk Ahras, Tébessa, Guelma, Oum El Bouaghi, Khenchela et Bouira.Des orages sont attendus à El Tarf, Annaba, Skikda, Jijel, Béjaïa, Tizi Ouzou, Boumerdès, Souk Ahras, Tébessa, Guelma, Oum El Bouaghi, Khenchela, Bouira, Alger, Constantine, Sétif, Batna et Tamanrasset.Pour jeudi, les pluies affecteront les wilayas d’El Tarf, Skikda, Jijel, Béjaïa, Souk Ahras, Guelma et Naama, ajoute le BMS.Des orages sont prévus également à El Tarf, Skikda, Jijel, Béjaïa, Souk Ahras, Guelma, Saida, Sidi Bel Abbès, Tlemcen, Biskra, Naama, Béchar et Tamanrasset, conclut la même source.
Des averses orageuses et chutes de grêle sur des wilayas de l’est du pays
Des pluies parfois sous forme d’averses orageuses, accompagnées localement de chutes de grêle, affecteront mercredi et jeudi plusieurs wilayas de l’est du pays, indique un bulletin météorologique spécial (BMS), émis par l’Office national de météorologie. De niveau de vigilance « Orange », ce BMS concerne les wilayas de Tizi Ouzou, Bejaïa, le nord de Sétif, Jijel, Skikda, Annaba, Et Tarf, Guelma et Souk Ahras, avec des quantités de pluies oscillant entre 20 et 30 mm, pouvant atteindre ou dépasser localement 40 mm, et ce de mercredi à 12h à jeudi à 09h.
Hausse record de concentration de CO2 dans l’atmosphère en 2024
Les concentrations de dioxyde de carbone (CO2) dans l’atmosphère ont connu en 2024 leur plus forte hausse depuis le début de telles mesures en 1957, a averti l’ONU mercredi, appelant à une action urgente pour réduire les émissions. Par rapport à 2023, la concentration moyenne mondiale de CO2 a enregistré l’année dernière sa « plus forte hausse depuis le début des mesures modernes », a annoncé l’Organisation météorologique mondiale (OMM), précisant que les niveaux des trois principaux gaz à effet de serre – CO2, méthane (CH4) et protoxyde d’azote (N20) – ont chacun atteint de nouveaux records. Dans son bulletin annuel, l’OMM précise que les émissions continues de CO2 provenant des activités humaines et la hausse des feux de forêt en sont responsables, de même que la réduction de l’absorption du CO2 par les « puits » tels que les écosystèmes terrestres et les océans dans ce qui menace d’être « un cercle vicieux du climat ». L’année dernière a également été la plus chaude jamais enregistrée, dépassant le précédent record de 2023, rappelle l’OMM. « La chaleur piégée par le CO2 et d’autres gaz à effet de serre amplifie les conditions climatiques et intensifie les conditions météorologiques extrêmes. Il est donc capital de réduire les émissions non seulement pour notre climat mais aussi pour notre sécurité économique et le bien-être des populations », a déclaré dans un communiqué la secrétaire générale adjointe de l’OMM, Mme Ko Barrett. Le 21e Bulletin annuel de l’OMM sur les gaz à effet de serre paraît à la veille de la COP30, la conférence des Nations unies sur le climat, qui se déroulera du 10 au 21 novembre à Belém, au Brésil
Le Royaume-Uni doit se préparer d’urgence à des phénomènes extrêmes d’ici 2050
Le Royaume-Uni doit se préparer d’urgence à faire face à des « phénomènes climatiques extrêmes » d’ici 2050, avertissent mardi des experts, qui envisagent le scénario d’un réchauffement d’au moins 2°C et ses répercussions dramatiques: sécheresses, inondations, canicules.
« Il est clair que nous ne sommes pas prêts à faire face aux changements météorologiques et climatiques actuels, encore moins à ceux qui sont attendus dans les décennies à venir », écrit le Comité sur le changement climatique (CCC), un organisme consultatif indépendant, qui alerte régulièrement le gouvernement dans ses avis. Mais pour la première fois, le Comité envisage le scénario, redouté internationalement et de moins en moins exclu, d’un réchauffement de 2°C, borne au dessous de laquelle doit être maintenue l’augmentation de la température moyenne mondiale selon l’accord de Paris de 2015. Il faut « préparer le pays aux phénomènes météorologiques extrêmes qui se produiront si le réchauffement climatique atteint 2°C au-dessus des niveaux préindustriels d’ici 2050 », selon l’avis consultatif des experts envoyé au gouvernement.
Les experts listent les conséquences de ce réchauffement: des canicules « plus fréquentes et généralisées », des sécheresses dont le nombre pourrait doubler par rapport à la période entre 1981 et 2010, des inondations – les crues de certaines rivières pourraient augmenter de 40%.