Accueil L'EXPRESS Publication de fake-news AADL 3 : L’Agence met en garde

Publication de fake-news AADL 3 : L’Agence met en garde

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L’Agence nationale de l’amélioration et du développement du logement (AADL) a démenti jeudi de fausses informations ayant circulé sur les réseaux sociaux à propos de la formule de logement AADL3. Dans un communiqué rendu public sur sa page officielle facebook l’Agence a assuré que la date de paiement de la première tranche de l’AADL 3 largement relayée sur les réseaux ne provient d’aucune source officielle. La même source a confirmé que «ces informations malveillantes sont sans fondement ». Elle a, notamment ; souligné qu’elle se réservait le droit d’engager des poursuites judiciaires contre le propriétaire de la page et ceux qui diffusent ces fake-news.

Près de 412 millions d’enfants en situation d’extrême pauvreté dans le monde
Quelque 412 millions enfants sont en situation d’extrême pauvreté à travers le monde, a indiqué un rapport du Fonds des Nations unies pour l’enfance (Unicef), et de la Banque mondiale, relevant une réalité marquée par une nourriture insuffisante, des installations sanitaires inexistantes, l’absence d’un toit décent, et le défaut d’accès aux soins de santé et à l’éducation. Le rapport, publié récemment, fait état d’une « tendance inquiétante », observée dans de nombreux pays, dont les taux de pauvreté se sont aggravés entre 2014 et 2024, à l’image de l’Angola (augmentation de 60 %), Haïti (15 %), le Soudan du Sud (24 %), le Soudan (274 %) et le Yémen (102 %). Au total, près de 66 % des enfants, soit environ 1,4 milliard, sont contraints de vivre avec moins de trois dollars par jour. Bien que cela représente une légère amélioration par rapport aux 73 % enregistrés en 2014, l’ampleur même de la pauvreté infantile à ce niveau souligne la nécessité d’une action urgente, souligne le rapport. « L’Afrique subsaharienne reste l’épicentre de l’extrême pauvreté infantile. En 2024, plus de 52% des enfants vivaient avec moins de trois dollars par jour, un chiffre pratiquement inchangé depuis 2014 », notent l’Unicef et la Banque mondiale, Plus globalement, la promesse de mettre fin à l’extrême pauvreté infantile d’ici à 2030, telle qu’elle a été exprimée dans les Objectifs de Développement Durable (ODD), semble bien compromise, déplore l’ONU.

Le taux d’obésité infantile dépasse pour la première fois celui de l’insuffisance pondérale dans le monde
L’obésité a dépassé, pour la première fois dans l’histoire, l’insuffisance pondérale en tant que forme la plus courante de malnutrition chez les enfants d’âge scolaire et les adolescents dans le monde, a révélé le Fonds des nations unies pour l’enfance (UNICEF) dans un nouveau rapport. Selon ce rapport, un enfant sur dix âgé de 5 à 19 ans, soit 188 millions dans le monde, est aujourd’hui obèse, ce qui l’expose à un risque accru de maladies chroniques telles que le diabète de type 2, les maladies cardiaques et certains cancers. « Lorsque nous parlons de malnutrition, nous ne parlons plus seulement des enfants souffrant d’insuffisance pondérale », a déclaré Catherine Russell, Directrice générale de l’UNICEF. « Les aliments ultra-transformés remplacent de plus en plus les fruits, les légumes et les protéines à un moment où la nutrition joue un rôle essentiel dans la croissance, le développement cognitif et la santé mentale des enfants », a-t-elle ajouté. Le rapport, intitulé « Nourrir le profit : comment l’environnement alimentaire nuit aux enfants », s’appuie sur des données provenant de plus de 190 pays et met en évidence un changement radical. Depuis 2000, le nombre d’enfants et d’ados de 5 à 19 ans souffrant d’insuffisance pondérale est passé de près de 13% à 9,2%. Au cours de la même période, l’obésité a triplé, passant de 3% à 9,4%. A l’échelle mondiale, un enfant et adolescent sur cinq, soit 391 millions, est en surpoids, et près de la moitié d’entre eux sont désormais classés comme obèses. L’obésité est une forme grave de surpoids qui entraîne un risque plus élevé de développer une résistance à l’insuline et une hypertension artérielle, ainsi que des maladies potentiellement mortelles plus tard dans la vie, notamment le diabète de type 2, les maladies cardiovasculaires et certains cancers.

10 morts et 504 blessés sur les routes en 48 heures
Dix (10) personnes sont décédées et 504 autres ont été blessées dans des accidents de la circulation, survenus ces dernières 48 heures à travers le pays, indique, samedi, un bilan de la Protection civile. Le bilan le plus lourd a été enregistré dans la wilaya de Bejaia, avec 2 morts et 10 autres blessés, suite au renversement d’un bus de transports de voyageurs, suivi d’une chute dans un ravin, dans la commune de Tizi N’barbar, précise la même source. Par ailleurs, les éléments de la Protection civile sont intervenus pour l’extinction de 4 incendies urbains, industriels et divers, au niveau des wilayas de Sétif, Ouargla, Batna et Ain Guezzam. L’incendie le plus important a été enregistré dans une usine de fabrication de freins de véhicule, sise à Sétif, sans enregistrer de victimes, poursuit le bilan. Durant la même période, le dispositif de la protection civile pour la surveillance des plages autorisées à la baignade a effectué 652 interventions, ayant permis le sauvetage de 409 personnes, la prise en charge de 209 autres sur les lieux, et l’évacuation de 32 personnes vers les structures sanitaires locales. Deux décès par noyade en mer, survenus à El Tarf et à Tlemcen, sont, toutefois, à déplorer, selon la même source. S’agissant du dispositif de lutte contre les incendies de forêts et de récoltes, les équipes de la Protection civile ont procédé à l’extinction de 24 incendies dans plusieurs wilayas, relève le bilan de la Protection civile.

Près de 80 millions d’enfants supplémentaires bénéficient de repas scolaires
Près de 80 millions d’enfants supplémentaires bénéficient désormais, de repas scolaires dans le cadre de programmes gouvernementaux, par rapport à 2020, soit une hausse de 20 %, portant à au moins 466 millions le total mondial des enfants, indique un rapport publié mercredi par le Programme alimentaire mondial de l’ONU (PAM), soulignant que ces repas « constituent un moyen de sortir de la pauvreté » « Les repas scolaires sont bien plus qu’une simple assiette de nourriture nutritive, aussi importante soit-elle. Pour les enfants vulnérables qui en bénéficient, ils constituent un moyen de sortir de la pauvreté et d’accéder à un nouveau monde d’apprentissage et d’opportunités », a indiqué la Directrice exécutive du PAM, Cindy McCain. Les progrès sont mêmes plus notables dans les pays en développement où ces programmes ont augmenté de 60 % au cours des deux dernières années seulement, selon l’agence onusienne. Cependant, des millions d’enfants, en particulier dans les pays africains à faible revenu comme la République démocratique du Congo (RDC), la Somalie et le Soudan du Sud, n’ont toujours pas accès aux repas scolaires en raison du faible financement national et de la dépendance à l’égard d’un soutien extérieur en baisse. Plus globalement, le document révèle que le financement mondial des repas scolaires a plus que doublé, passant de 43 milliards de dollars en 2020 à 84 milliards en 2024, 99 % de ce financement provenant désormais des budgets nationaux. La croissance des programmes de repas scolaires est la plus rapide dans les pays qui font partie de la Coalition pour les repas scolaires, un réseau mondial dirigé par plus de 100 gouvernements et six organismes régionaux, hébergé par le PAM qui en assure le secrétariat, et soutenu par plus de 140 partenaires de tous les secteurs. Le rapport est publié la semaine précédant le deuxième Sommet mondial de la Coalition pour les repas scolaires, qui se tiendra au Brésil les 18 et 19 septembre.

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