Presque partout dans le monde, y compris dans les pays occidentaux, des centaines de milliers de personnes, brandissant des drapeaux palestiniens, manifestent pour exiger la fin des massacres et agressions sauvages des forces d’occupation sionistes contre les Palestiniens dans la bande de Ghaza assiégée et en Cisjordanie occupée.
À Londres, capitale d’une puissance qui, avec les États-Unis, porte une lourde responsabilité dans la poursuite de la guerre sioniste de génocides contre les palestiniens de Ghaza, des centaines de milliers de citoyens ne cessent de manifester pour réclamer la fin de la guerre que mène l’entité sioniste contre le peuple palestinien, notamment à Ghaza et en Cisjordanie occupée. Le cortège qui s’est élancé en direction de Whitehall, la rue qui mène à Downing Street, samedi dernier, révèle la mobilisation populaire grandissante, qui s’intensifie, non seulement au Royaume-Uni, mais partout dans le monde, scandant sans relâche, notamment, depuis les capitales et les villes occidentales, « Libérez la Palestine », en brandissant haut les drapeaux palestiniens et des pancartes, sur lesquelles on pouvait lire : « Ghaza: cessez le massacre » ou « stop à l’occupation » . Dans la capitale française, malgré le risque de répression, des milliers de personnes ont participé à un rassemblement de soutien au peuple palestinien, aux cris notamment de « Ghaza, Ghaza, Paris est avec toi ! » et de « C’est l’humanité qu’on assassine, enfants de Ghaza, enfants de Palestine ». « L’urgence, c’est le cessez-le-feu, arrêter de tuer des femmes, des enfants, des hommes », par les forces d’occupation sionistes, a souligné sur place la maire adjointe de Corbeil-Essonne, dans la région parisienne, Elsa Touré, tout en affirmant que l’entité sioniste « piétine le droit international depuis des années ».
À Marseille, dans le sud-est de la France, une manifestation a aussi regroupé des milliers personnes, selon des médias. En Suisse, les manifestations se tiennent à Berne, Genève, Lausanne, Zurich, Bâle et Bellinzona, au cours desquelles les centaines de milliers de citoyens exigent le cessez-le-feu immédiat, l’arrêt de l’occupation israélienne de la Palestine et condamnent la politique coloniale d’apartheid et de génocides contre les palestiniens. Ils dénoncent à chaque rendez-vous populaire de soutien aux Palestiniens et à leur juste cause de lutte contre l’occupant « les massacres des Palestiniens dans la bande de Ghaza » appelant avec force « la fin immédiate de la guerre israélienne contre Ghaza » et exigeant de la communauté internationale à faire valoir le droit international et agir fermement « face à ce génocide et ces crimes de guerre commis par l’armée d’occupation sioniste ».
À Rome, les manifestations dans la capitale italienne comme à Milan et dans d’autres, enregistrent un nombre croissant de citoyens, appelant à stopper les massacres sionistes à Ghaza. À New York (États-Unis), les médias ont rapporté l’arrestation, à l’intérieur de la gare new-yorkaise de Grand Central, de plusieurs centaines de personnes pendant une manifestation organisée par un mouvement juif contre les bombardements sionistes sur Ghaza. Les jeunes manifestants portaient des sweat-shirts noirs sur lesquels étaient imprimées en blanc les expressions « Not In Our Name » (pas en notre nom) et « Cease Fire Now » (cessez-le-feu maintenant). D’autres brandissaient des banderoles sur lesquelles on pouvait lire « Les Palestiniens doivent être libres » et « Pleurer les morts, se battre comme un diable pour les vivants ».
M. R.
