Accueil L'EXPRESS Le romancier algérien Azzedine Djellaoudji décroche le Prix Katara du roman arabe

Le romancier algérien Azzedine Djellaoudji décroche le Prix Katara du roman arabe

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L’auteur algérien, Azzedine Djellaoudji a décroché le Prix Katara du roman arabe dans sa 8e édition pour son roman « L’étreinte des vipères », a indiqué vendredi la Fondation générale du village culturel « Katara ». Le romancier algérien a été primé aux côtés de l’écrivaine tunisienne Nabiha Aïssi pour son roman « Des rêves intermittents » (Ahlam Moutakatiâa) et l’auteure omanaise, Bushra Khalfan pour son œuvre « Dilshad, histoire de faim et de soif » (Dilshad, sirat El-Jouê wa El-âtach). Enseignant à l’université Mohamed El Bachir El Ibrahimi à Bordj Bou Arreridj, Dr. Azzedine Djellaoudji a publié une quarantaine de livres dans la critique, le roman, le théâtre et la littérature pour enfants, lesquels ont fait l’objet d’une centaine de recherches, d’études et de mémoires aussi bien à l’intérieur du pays qu’à l’étranger.

Sûreté d’Alger : 04 individus arrêtés pour détention et vente de comprimés psychotropes
Les services de la sûreté d’Alger ont procédé à l’arrestation de quatre (04) individus impliqués dans trois affaires de détention et de vente de comprimés psychotropes avec port d’armes prohibées, a indiqué vendredi un communiqué des mêmes services. « Les services de la 1ère sûreté urbaine (Asla Hocine) de la sûreté de la circonscription administrative de Sidi M’hamed ont traité trois affaires distinctes qui se sont soldées par l’arrestation de quatre (04) individus pour vente de comprimés psychotropes et de produits pharmaceutiques avec port d’armes prohibées sans autorisation », précise-t-on de même source. Pour la première affaire, il s’agit de vente de comprimés psychotropes avec entrave à la mission des éléments de la force publique dans l’opération d’investigation et d’inspection des lieux du crime ». « Le premier suspect a été arrêté par les forces de sécurité, avec en sa possession 97 comprimés psychotropes et 03 armes blanches prohibées de 6e catégorie et un montant de 8 500 DA ». Le traitement de la deuxième affaire, qui concerne « la détention de produits pharmaceutiques et de psychotropes sans autorisation », a permis l’arrestation d’un suspect qui avait en sa possession 300 comprimés pharmaceutiques, un flacon de substance psychotrope et une somme de 4000 DA », ajoute la même source. La troisième affaire, qui concerne la détention de comprimés psychotropes destinés à la vente, s’est soldée par l’arrestation de deux suspects qui avaient en leur possession 49 comprimés psychotropes, deux flacons de solution anesthésiante ainsi qu’un montant de 15 000 DA. Après parachèvement des procédures légales, les suspects ont été présentés devant les juridictions territorialement compétentes.

Le parquet européen enquête sur l’achat de vaccins anti-Covid
Le parquet européen a confirmé l’ouverture d’une enquête sur l’achat des vaccins anti-Covid. Élus et ONG dénoncent l’opacité de ces contrats, le tout sur fond de polémique autour des échanges entre la présidente de la Commission et le PDG de Pfizer. Organe indépendant chargé de la lutte contre la fraude aux fonds de l’Union, Le parquet européen a annoncé vendredi, avoir ouvert une enquête sur l’achat de vaccins anti-Covid dans l’Union européenne. «Le bureau du procureur général européen confirme avoir une enquête en cours sur l’acquisition des vaccins anti-Covid dans l’UE», a-t-il indiqué dans un message diffusé sur les réseaux sociaux. «Cette confirmation exceptionnelle intervient en raison d’un intérêt extrêmement élevé du public» a-ajouté le parquet, soulignant toutefois «qu’aucun autre détail ne sera rendu public à ce stade». Des eurodéputés ainsi que des ONG ont critiqué le manque de transparence des contrats d’achat et notamment le fait que les aspects clés des contrats restent confidentiels. Par ailleurs, un échange de SMS entre la présidente de la Commission européenne Ursula von der Leyen et le PDG de Pfizer Albert Bourla, révélé fin avril 2021 par le New York Times a suscité une polémique et même conduit la médiatrice de l’UE, à intervenir.

Deux décès et 331 blessés sur nos routes en 24 H
Deux personnes ont trouvé la mort et 331 autres ont été blessées dans plusieurs accidents de la circulation survenus à travers le territoire national durant les dernières 48 heures, indique hier, un communiqué de la Protection civile. Les secours de la Protection civile ont également enregistré dans la wilaya de Djelfa, le décès d’une personne âgée de 18 ans, dans une marre d’eau au lieu-dit Oued Selmana, dans la commune de Messâad. Ils ont procédé, par ailleurs, durant la même période, à l’extinction de 5 incendies urbains, industriels et autres, à travers les wilayas d’In Guezzam, Bordj Bou Arreridj, Constantine, Tizi-Ouzou et Médéa. Les unités de la Protection civile de la wilaya de Nâama sont intervenues, en outre, pour prodiguer des soins de première urgence à 5 personnes incommodées par le monoxyde de carbone (CO), émanant d’un chauffe-eau dans une habitation.

États-Unis : 28 enfants et ados meurent chaque jour de violences par arme à feu
Quelque 28 enfants et adolescents, soit l’équivalent d’une classe de lycée, meurent chaque jour de violences par arme à feu, ce qui fait de ce fléau la première cause de mortalité des jeunes jusqu’à 24 ans, selon le site Internet d’éducation et de politique scientifiques Science 2.0, citant l’American Academy of Pediatrics (AAP). « Le problème avec les décès par arme à feu est que tout le monde peut les utiliser dans de nombreux contextes », selon la même source, ajoutant que le gouvernement américain ne fait rien pour prévenir la criminalité contre les enfants alors que plus de 20 000 lois réglementant les armes à feu existent actuellement. « Les armes à feu sont déjà lourdement réglementées, mais ces lois sont comme un seau percé de trou, à l’image du gouvernement lui-même », a affirmé la même source.

Des médicaments « contaminés » tuent au moins 10 enfants malades au Yémen
Au moins dix enfants yéménites atteints de leucémie sont morts dans un hôpital de Sanaa, après avoir reçu des injections de médicaments « contaminés » passés « en contrebande », ont annoncé vendredi des sources locales. Frappé par l’une des pires crises humanitaires au monde, le Yémen connaît une grave pénurie de médicaments et de matériel médical en raison de la guerre qui ravage ce pays de la péninsule arabique depuis plus de sept ans. « Dix enfants atteints de leucémie sont morts » au Kuwaït Hospital, a annoncé dans un communiqué le mouvement Ansarullah dit Houthis, indiquant qu’ils faisaient partie d’un groupe de 19 patients âgés de trois à 15 ans souffrant de cette maladie et dont l’état s’était détérioré en raison du « manque de disponibilité » des médicaments. La même source a précisé qu’une « contamination bactérienne » avait été détectée dans les médicaments passés « en contrebande », ajoutant qu’un autre enfant se trouvait dans « un état très critique ». Les médicaments étaient périmés et les enfants sont morts « des suites de l’injection », a indiqué pour sa part une source médicale de Sanâa, citée par des médias. Selon cette source, le nombre de décès pourrait être supérieur, une cinquantaine d’enfants étant soignés dans la même unité.

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