Accueil L'EXPRESS Les dockers sud-africains refusent de décharger un navire en soutien au...

Les dockers sud-africains refusent de décharger un navire en soutien au peuple palestinien

0

Les dockers de la ville portuaire sud-africaine de Durban ont refusé de décharger la cargaison d’un navire israélien en signe de solidarité avec les Palestiniens et pour protester contre l’agression militaire de Tel Aviv contre la bande de Gaza assiégée. La Coalition sud-africaine pour le boycott, le désinvestissement et les sanctions (BDS) a annoncé vendredi que les dockers du Syndicat sud-africain des transports et des travailleurs connexes (SATAWU) ne déchargeraient pas la cargaison appartenant à la Zim Integrated Shipping israélienneconnue pour ses activités douteuses dans de nombreux pays.

Sonatrach signe un protocole d’accord et un mémorandum d’entente avec le chinois Sinopec
Sonatrach et son partenaire chinois Sinopec ont procédé jeudi à Alger à la signature d’un protocole d’accord et d’un mémorandum d’entente dans le cadre de la prolongation de leur partenariat et de la recherche de nouvelles opportunités, a indiqué la compagnie nationale d’hydrocarbures dans un communiqué. Cette signature, souligne Sonatrach, traduit « la volonté des deux parties de consolider leurs relations existantes et d’étendre leur coopération, à travers la recherche de nouvelles opportunités de partenariat ». Le protocole d’accord, vise à renforcer « le partenariat historique » sur le périmètre contractuel de Zarzaitine, sis dans le bassin d’Illizi. Il a pour objet de définir le cadre de coopération entre les parties en vue de la conclusion d’un nouveau contrat d’hydrocarbures sur ce périmètre sous l’égide de la loi 19-13 régissant les activités hydrocarbures. Cet accord proroge la durée d’exploitation de Zarzaitine au-delà de 2023, fin de la durée du contrat en cours, précise la même source. Pour sa part, le mémorandum d’entente vise à identifier les opportunités d’investissement conjoint pour les deux parties dans les projets d’exploration et de production d’hydrocarbures, intégrant une coopération dans le domaine du GNL et de la pétrochimie, en Algérie et à l’étranger. La société Sinopec est présente en Algérie depuis 2003 et exploite avec Sonatrach le périmètre contractuel de Zarzaitine, dans le cadre d’un contrat d’association ayant pour objet, l’augmentation du taux de récupération des réserves de pétrole brut.

Publication de trois nouveaux ouvrages par les éditions ANEP
Les éditions « Anep » ont annoncé jeudi la publication de trois nouveaux ouvrages, déjà disponibles en librairie, dédiés à l’histoire, la politique et l’actualité de la pandémie du coronavirus. L’éditeur annonce la publication de « La Qal’a des Béni Hammad, reine du Hodna de l’Aurès et des Ziban », de l’archéologue et historien Abderrahmane Khelifa, dédié à cette ville forteresse et capitale des Hammadites fondée en 1007 et qui figure sur la liste représentative du patrimoine mondial de l’humanité de l’Unesco depuis 1980. Historien et archéologue, Abderrahmane Khelifa a signé de nombreux ouvrages sur le patrimoine culturel algérien dont « Honaïne: ancien port du royaume de Tlemcen », « Alger la bien gardée », « Alger, histoire et patrimoine » ou encore « Béjaia, capitale des lumières ». Autre publication disponible en librairie, « Face à la pandémie, l’humanité au défi », dernier essai de l’universitaire Mustapha Cherif qui aide à « penser un présent confus et un avenir imprévisible » au moment où l’humanité traverse un choc violent causé par la pandémie et est mise au défi d’être résiliente et de changer de comportement.

Énergies renouvelables au centre d’une rencontre entre Chitour et l’ambassadrice du Royaume-Uni à Alger
Le ministre de la Transition énergétique et des Énergies renouvelables, Chems-Eddine Chitour, a reçu jeudi à Alger l’ambassadrice du Royaume-Uni de Grande Bretagne et d’Irlande du Nord en Algérie, Sharon Anne Wardle, avec laquelle il a évoqué les perspectives de coopération entre les deux pays notamment dans les domaines du développement des énergies renouvelables, la formation et la recherche. Lors de cette rencontre qui s’est tenue au siège de son département, M. Chitour a passé en revue avec la diplomate les relations bilatérales algéro-britanniques qualifiées « d’anciennes et d’excellentes » ainsi que les perspectives de coopération et de partenariat dans les domaines des énergies renouvelables et de l’efficacité énergétique, a indiqué un communiqué du ministère. Dans ce cadre, il a été mis l’accent sur la nécessité de développer la coopération Nord-Sud afin de permettre l’accès aux financements pour les projets de développement durable aux pays en développement, notamment de l’Afrique, a ajouté la même source. Les deux parties ont également appelé à renforcer leur coopération en identifiant les domaines de coopération, d’intérêt commun, comme le développement des énergies renouvelables (solaire, éolien, hydrogène vert et géothermie) ainsi que la formation et la recherche. Les deux parties ont convenu « de promouvoir le développement de la coopération dans les domaines qui permettent l’atteinte des objectifs climatiques issus de l’Accord de Paris, et des objectifs de développement durable (ODD) prévus par l’Agenda 2030 de l’ONU », a précisé le ministère.

Des Japonais touchent par erreur des chèques Covid de 1 400 USD destinés aux Américains
Les services fiscaux américains ont malencontreusement envoyé des chèques de 1.400 dollars à des milliers de retraités japonais, indique le Financial Times. Les banques de Tokyo ont été submergées par le phénomène. Si certains économistes ont alerté sur les risques d’inflation liés au plan de relance américain, peu d’entre eux auraient pu prévoir la zizanie que celui-ci a semée dans les banques de Tokyo. Des centaines de retraités japonais ont en effet pris d’assaut les établissements bancaires, pour tenter d’encaisser des chèques Covid de 1.400 dollars (environ 1.150 euros) leur ayant été adressés par erreur, rapporte le Financial Times. Ces chèques ont notamment été envoyés à des retraités japonais ayant travaillé aux États-Unis avant 2005, date d’entrée en vigueur d’une convention bilatérale de sécurité sociale entre les deux pays. Jusqu’à cette date, les Japonais expatriés aux États-Unis y payaient leurs cotisations. Ce qui explique que certains retraités japonais touchent aujourd’hui une petite pension venue d’Amérique. L’Internal Revenue Service (IRS) n’a peut-être pas pu les distinguer des retraités américains à très faibles ressources, explique au Financial Times Koh Fujimoto, comptable pour CDH à Chicago.

La fondation américaine NED menée en bateau par deux russes
Deux farceurs russes, auteurs de nombreux canulars téléphoniques aux dépens de différentes personnalités politiques, ont mené en bateau les dirigeants de la Fondation nationale américaine pour la démocratie (NED) en se faisant passer pour des opposants biélorusses. Les prankeurs russes Vladimir Kouznetsov, alias Vovan, et Alexeï Stoliarov, connu comme Lexus, ont récemment piégé les dirigeants de la National Endewment for Democracy (Fondation nationale pour la démocratie, NED). Les farceurs, assistés par une complice, se sont fait passer pour la chef de file de l’opposition biélorusse Svetlana Tikhanovskaïa et des membres de son équipe. L’entretien a porté sur l’activité de la NED en Biélorussie, mais aussi en Russie. Pour participer à cette conversation, le président de la NED Carl Gershman a réuni sa vice-présidente pour la politique et la stratégie, son vice-président pour les programmes à l’étranger, une directrice pour l’Europe et une spécialiste responsable des programmes en Europe de l’Est, plus particulièrement en Biélorussie, finançait un institut démocratique national pour les questions internationales et un institut républicain international, ainsi qu’une institution affiliée à la Chambre de commerce des États-Unis et au Center for International Private Entreprise qui «travaillent activement» en Biélorussie, plus particulièrement avec «votre équipe». «Nous les finançons pour qu’ils travaillent avec le secteur privé en Biélorussie, pour faire face à Loukachenko dans le rétablissement de l’économie du pays», a-t-il noté. Le président de la NED a également révélé que la fondation travaillait avec les syndicats, subventionnait depuis longtemps différentes organisations, des médias et des personnes qui quittaient la Biélorussie. «Nous soutenons les personnes qui fuient le pays. Nous soutenons leur séjour provisoire dans d’autres pays, tous leurs besoins. Nous travaillons dans tous les pays, dans l’est… et dans d’autres parties du pays. Nous soutenons la participation civique et finançons des collectifs. Nous travaillons également dans l’ouest du pays avec les médias libres à Grodno où nous soutenons le journalisme civique.».

Article précédentOran : Trois puits réservés aux producteurs d’agrumes à Misserghine
Article suivantRespect des normes du Travail fixées par l’OIT : L’Algérie dans le vert