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UNE ANNÉE APRÈS L’ÉLECTION DU PRESIDENT TEBBOUNE : L’ANP revient sur ses réalisations et aborde les défis futurs

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«L’échéance présidentielle du 12 décembre 2019 a permis à notre pays de restaurer son autorité et ses assisses se sont trouvées consolidées par l’approbation par le peuple algérien de l’amendement constitutionnel à travers le scrutin du 1er novembre 2020, concrétisant ainsi un des plus importants engagements pris par le président de la République, Monsieur Abdelmadjid Tebboune. Une année après l’élection du Président, qu’est ce qui a été réalisé et quels sont les défis qui attendent notre pays ? », écrit d’emblée l’ANP dans un article consacré au bilan d’une année de réalisations du président Tebboune, et par la même, projeter les défis qui attendent l’Algérie prochainement.
Dans ce long papier qui a fait l’ouverture de la manchette de la revue El-Djeich, l’ANP est revenue sur le bilan d’une année de mandat du chef de l’État depuis son élection du 12 décembre 2019. De l’amendement de la nouvelle Constitution lors du référendum du 1er novembre, l’ANP estime que la Loi fondamentale « constituait un maillon essentiel et une priorité dans la concrétisation du projet national, traduisant ainsi l’engagement fait au peuple par le président de la République lors de sa campagne électorale de concrétiser ses aspirations légitimes. » Un projet réalisé en un temps court malgré la pandémie de Coronavirus qui a plombé la vie nationale.
L’amendement constitutionnel « est porteur de nombreux mécanismes constitutionnels en mesure d’opérer la rupture définitive avec les anciennes pratiques et de se défaire de l’exercice du pouvoir personnel et du régime autocratique, consacrant ainsi l’alternance pacifique au pouvoir et la séparation et l’équilibre entre les pouvoirs », fait observer l’ANP. « Il est question également d’assurer davantage de cohérence dans le fonctionnement du pouvoir exécutif et de réhabiliter le Parlement, notamment dans sa fonction de contrôle de l’activité du gouvernement », ajoute-t-on, soulignant que « Cet amendement est considéré comme le fruit d’un dialogue global auquel ont pris part les acteurs de la scène politique nationale parmi les partis, les partenaires sociaux et les personnalités nationales. » Sur son rôle dans le projet-national, « notre armée présente le modèle d’une armée professionnelle à travers deux indicateurs, le premier durant la période précédant l’avènement de la Nouvelle Algérie », note la même source, en rappelant son « accompagnement » des revendications du peuple algérien dans ses marches entamées le 22 février 2019. « Ce jour-là, nos Forces armées ont promis de faire échouer tous les plans de la bande (îssaba) qui agissait dans l’ombre pour faire plonger notre pays dans les ténèbres de ce qui est appelé «la phase transitoire» et «l’assemblée constituante» et le sortir ainsi de la voie constitutionnelle à laquelle l’Armée nationale populaire demeurait attachée en tant que choix stratégique pour l’organisation des élections présidentielles, le 12 décembre 2019 », rappelle l’ANP qui, dans ce texte, a fait état des défis futurs qui attendent l’Algérie.
R. N.

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