Les nouvelles preuves attestant des activités subversives qui animent les dirigeants du MAK et leur implication dans les plans diaboliques visant l’Algérie, continuent à fuser et à accabler davantage le chef de cette organisation terroriste, le dénommé Ferhat Mehenni, qui sévit depuis l’exil et assume son hostilité et sa haine viscérale contre le pays qui l’a pourtant vu naitre. Le témoignage vient cette fois-ci de la bouche d’un ancien proche collaborateur du chef du MAK. Un certain Tayeb Abdelli, auteur du livre « Matoub Lounès, notes et souvenirs d’un compagnon de lutte », qui s’est identifié comme étant ancien conseiller de Ferhat Mehenni et qui, aujourd’hui, ne fait plus partie des rangs du MAK. Pourquoi Tayeb Abdelli a-t-il claqué la porte de ce mouvement inféodé au Makhzen marocain et à l’entité sioniste. Dans une vidéo de 33 minutes postée sur Youtube, celui-ci en raconte les mille et une raison qui l’ont convaincu d’avoir fait partie, autrefois, d’une organisation criminelle. « J’étais un conseiller de Ferhat (Mehenni), mais il ne m’a jamais consulté, ne serait-ce qu’une seule fois, pour que personne ne lui change d’avis sur ses plans malveillants », a-t-il indiqué, précisant que sa démission des rangs du MAK relève quelque part d’un acte patriotique envers « l’Algérie qui n’a jamais été l’ennemie de la Kabylie », et vis-versa, sachant que cette région est une partie indissociable de la patrie « J’ai démissionné (du MAK) parce que je travaillais avec des gens malhonnêtes », a-t-il justifié, précisant que le fait d’avoir refusé le diktat de Mehenni et ses sbires, comme un certain Belabbaci Brahim alias Aksel (classé terroriste en Algérie), lui a valu une menace de mort. « J’ai été agressé par Belabbaci Brahim dit « Axel » qui voulait me tuer, a-t-il accusé, parce que je voulais dire la vérité aux Kabyles ».
Pour le témoin qui charge le MAK, ses instances et ses dirigeants malveillants, « Je ne veux pas considérer l’Algérie comme une ennemie ». Pour lui, les responsables du MAK à l’étranger s’adonnent à un business à travers des collectes d’argent qu’ils prétendent destiner à la Kabylie. Il donne la preuve de l’équipe de football fantoche dite « sélection nationale de la Kabylie » qu’ils utilisent comme moyen pour s’enrichir. « Les responsables du mouvement « MAK » vendent des vêtements de sport et prétendent qu’ils sont pour « l’équipe nationale kabyle » même si l’équipe est complètement inexistante », a reconnu cet ancien collaborateur de Mehenni qui dévoile-qui mieux qu’un conseiller- les plans diaboliques du MAK qui offre ses services aux vrais ennemis de l’Algérie pour attenter à la patrie.
F. B.
