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Saisie de plus de 3.000 comprimés psychotropes et arrestation de 5 suspects à Mila

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Les éléments de la brigade de lutte contre les drogues au service de police judiciaire de la sûreté de wilaya de Mila ont saisi 3.015 comprimés psychotropes, une quantité de poudre noire (baroud) et matériel de fabrication de munitions de fusils et arrêté cinq (5) suspects à Oued El Athmania, a-t-on appris mardi auprès de cette sûreté. Exploitant des informations relatives aux activités d’un dealer repris de justice écoulant des psychotropes dans la commune d’Oued El Athmania, les éléments de la brigade en coordination avec le parquet compétent sont parvenus à interpeler le suspect en flagrant délit de possession d’un sac en plastique contenant 1.200 comprimés psychotropes en compagnie de deux (2) autres complices dans un des quartiers de cette commune, a ajouté la même source. L’enquête avec les mis en cause a conduit à l’indentification de deux (2) autres acolytes également arrêtés, selon la même source qui a précisé que la perquisition des maisons des suspects a permis la découverte de 1.815 autres comprimés psychotropes, des armes blanches prohibées, une quantité de poudre noire (baroud) et du ma tériel utilisé pour la fabrication de munitions de fusils en plus d’un montant de 46.150 DA issus de ce trafic. Les services de la sûreté de wilaya ont précisé qu’après le parachèvement des procédures légales, les mis en cause ont été différé devant le parquet compétent à Chelghoum Laïd.

Un village palestinien démoli pour la 212ème fois
Le village d’Al-Araqib comptant 22 familles palestiniennes a été, à nouveau démoli, mardi par les autorités sionistes, et ce pour la 212e fois, rapportent des médias. « Des bulldozers sionistes, sous la protection de la police, ont pris d’assaut le village, situé dans la région du Néguev (sud), et démoli ses maisons pour la 212e fois », selon l’agence de presse palestinienne (WAFA). Les forces sionistes ont forcé les villageois à sortir des maisons avant que les bulldozers ne les démolissent, ajoute la même source. Le mouvement « Hamas » a condamné la démolition d’Al-Araqib la considérant comme « une persistance dans la politique d’épuration menée par le gouvernement d’occupation contre les Palestiniens ». Le porte-parole du mouvement, Abd al-Latif al-Qanou’, a déclaré dans un communiqué que cette politique « représente une violation flagrante de toutes les lois internationales et humanitaires ». Al-Qanou a ajouté : « La politique de destruction et de déplacement ne réussira pas à saper la détermination, la volonté et l’insistance du peuple palestinien à défendre sa terre et ses droits ». Les autorités de l’occupation o nt démoli le village pour la première fois en juillet 2010, et depuis lors, elles le démolissent à chaque fois que les habitants le reconstruisent, sa dernière reconstruction remontant au 25 décembre 2022. L’agence WAFA note qu’il reste 22 familles dans le village d’Al-Araqeeb, comptant environ 800 personnes, qui vivent de l’élevage et de l’agriculture.

La Russie envisage de déployer plus de 1.000 satellites en orbite d’ici à 2030
La Russie doit augmenter le nombre de satellites en orbite, le faisant passer de 200 environ à au moins 1.000 d’ici à 2030, a déclaré mardi Iouri Borissov, directeur général de l’agence spatiale russe Roscosmos. Afin de réaliser cet objectif, il sera nécessaire de produire 250 satellites par an puis 300 à 350 satellites par an d’ici à 2030, compte tenu du remplacement progressif des satellites obsolètes, a indiqué M. Borissov, lors d’un événement dédié à l’exploration spatiale. Les 1.000 satellites en orbite devraient servir à des fins diverses, dont les communications, la télédétection sur Terre, la météorologie ou encore la navigation, a-t-il précisé. La Russie commencera à déployer sa propre station orbitale en 2027, selon M. Borissov, qui avait déclaré en juillet dernier que la Russie se retirerait de la Station spatiale internationale après 2024. Mais cette échéance envisagée a été reportée par la suite à 2028.

L’épidémie de choléra au Malawi fait plus de 1.000 morts
L’épidémie de choléra en cours depuis mars 2022 au Malawi, y a tué plus de 1.000 personnes, a annoncé mardi le ministère de la Santé, déplorant manquer de vaccins. Le nombre de décès atteint mardi les 1.002, fait de l’actuelle épidémie de choléra la plus meurtrière jamais enregistrée dans ce pays pauvre d’Afrique australe, qui avait précédemment connu 968 morts en 2001-2002, selon l’Organisation mondiale de la santé (OMS). Au total, 30.600 personnes ont été infectées depuis l’apparition des premiers cas l’an dernier. Le choléra est contracté par l’ingestion d’eau ou d’aliments contaminés par une bactérie. Il provoque généralement diarrhées et vomissements et peut être très dangereux pour les jeunes enfants. En novembre, le Malawi avait reçu près de trois millions de doses de vaccin oral de l’ONU. Mais « nous avons utilisé tous les vaccins dont nous disposions », a déclaré mardi à l’AFP le porte-parole du ministère de la Santé, Adrian Chikumbe. « Le fait qu’il n’y ait qu’un seul fabricant de vaccins contre le choléra dans le monde rend difficile l’acquisition du médicament », a-t-il ajouté, car « nous som mes en compétition pour le même vaccin avec tout le monde ». Une partie de la population malawite refuse par ailleurs les traitements au nom de croyances religieuses, ce qui contribue à la propagation de la maladie. En septembre, l’OMS avait signalé une « recrudescence inquiétante » du choléra dans le monde, après des années de déclin, le changement climatique s’ajoutant aux facteurs habituels tels que la pauvreté et les conflits. La maladie touche chaque année entre 1,3 million et 4 millions de personnes sur la planète, faisant jusqu’à 143.000 morts.

10 morts et 117 blessés sur les routes durant les dernières 24h
Dix (10) personnes sont décédées et 117 autres ont été blessées dans 107 accidents de la circulation survenus à travers plusieurs wilayas du pays durant ces dernières 24 heures, indique mercredi un communiqué de la Protection civile. Le bilan le plus lourd a été enregistré dans la wilaya d’El Menea avec 5 morts et 14 blessés, suite à deux accidents de la circulation, précise la même source. Par ailleurs, cinq personnes sont décédées par asphyxie au monoxyde de carbone dans leurs domiciles respectifs, ajoute le communiqué, précisant qu’il s’agit de deux personnes issues d’une même famille, âgées respectivement de 40 et 47 ans, dans la wilaya de Tlemcen, un homme de 40 ans dans la wilaya de Naâma, une femme de 51 ans à Oum El Bouaghi et un homme de 74 ans à Sétif. Les unités de la Protection civile sont également intervenues, à travers plusieurs wilayas, pour prodiguer des soins d’urgence à 52 personnes incommodées par l’inhalation du monoxyde de carbone émanant des appareils de chauffage et chauffe-eau dans leurs habitations, ajoute la même source. Les éléments de la Protection civile sont également intervenus suite à l’explosion d’une bouteille de gaz dans une habitation précaire dans une ferme à Saida, suivie d’un incendie ayant causé des brulures de deuxième degré à quatre personnes.

Démantèlement d’un réseau criminel spécialisé dans le trafic de drogues à Saïda
Les services de la gendarmerie nationale de la commune de Doui Thabet (Saïda) ont démantelé un réseau criminel spécialisé dans le trafic de drogue et de psychotropes, avec la saisie de 6,6 kilos de kif traité, a-t-on appris mercredi auprès de ce corps de sécurité. L’opération a été menée par la brigade territoriale de la gendarmerie nationale de Doui Thabet, suite à l’exploitation d’informations faisant état des agissements de membres de ce réseau criminel au niveau de cette collectivité locale, activant dans la commercialisation de kif traité et de comprimés de psychotropes dont l’activité s’étend aux wilayas limitrophes à Saïda, selon la même source. Les mêmes services ont élaboré un plan, qui s’est soldé par l’arrestation de sept individus et à la saisie de 6,6 kilos de kif traité et 215 comprimés de psychotropes, en plus d’une somme de 1.150.000 DA des revenus de cette activité criminelle, a-t-on fait savoir. Les services de la gendarmerie nationale poursuivent leur enquête pour arrêter trois autres individus activant au sein de ce réseau et qui se trouvent, actuellement en état de fuite, a-t-on ajouté . Les suspects arrêtés seront présentés devant le parquet du tribunal de Saïda, à l’issue de l’enquête, sous l’accusation de formation d’une bande criminelle organisée et commercialisation de drogue et de psychotropes, a-t-on indiqué.

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