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Rendez-vous avec le couscous oranais le 26 septembre

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Les habitants de la ville d’Oran seront au rendez-vous avec la fête du couscous oranais le 26 septembre en cours à la maison de l’artisanat à haï Es-sabah, a-t-on appris mardi des organisateurs. Cette manifestation sera organisée pour la première fois dans la capitale de l’Ouest algérien à l’occasion de la journée mondiale du tourisme célébrée le 27 septembre, par une entreprise artisanale des produits diététiques (Santé-bien-être) en collaboration avec la chambre d’artisanat et des métiers d’Oran, a indiqué Sakina Zeddour, initiatrice. L’événement enregistrera la participation de l’association de promotion de la femme rurale «Main dans la main» d’Oran pour exposer ses produits dont le safran, l’association de fabrication des produits à base de pâtes alimentaires dont le couscous de Tafraoui et des spécialistes en artisanat, notamment les ustensiles utilisés dans la préparation du couscous et autres entreprises artisanales de l’huile d’olive, du miel et des produits du terroir, a fait savoir Mme Zeddour, gérante de l’entreprise organisatrice. La manifestation vise à valoriser le couscous oranais et devra mettre en exergue la spécificité de ce plat connu dans la cuisine oranaise qui diffère des autres régions du pays et des pays du grand Maghreb et qui a une renommée universelle avec des ingrédients et une saveur particulière. Des gammes de couscous fait maison à base de céréales seront exposées durant cette manifestation, a ajouté l’artisane qui a noté que son entreprise s’est lancé, depuis dix ans à Oran, dans la production du couscous au blé complet distingué par ses vertus thérapeutiques. La fête du couscous oranais constitue une occasion pour labelliser ce plat et créer «la maison du couscous oranais» dans la perspective d’en faire une destination pour les touristes et les visiteurs d’Oran. Comme dans le reste du pays, le couscous est un plat très populaire, toutefois il est remarqué l’absence de restaurants spécialisés dans des plats traditionnels à Oran.

Repêchage du corps de la personne emportée par les pluies torrentielles à Souk-Ahras
Le corps sans vie de la personne emportée dans la nuit de mercredi à jeudi par les pluies torrentielles dans la commune de Zouabi à Souk-Ahras, au cour de l’oued Charef a été retrouvé jeudi soir par les plongeurs et les brigades de la Protection civile, a indiqué le chargé de communication auprès de la direction de la Protection civile, Redha Messaî.  La victime, un homme de 40 ans a été emportée par les pluies torrentielles alors qu’il était à bord d’un mini bus de transport de voyageurs à la mechta « Dag N’souf » dans la commune de Zouabi, a été retrouvé  à 5km du lieu de l’accident, a précisé la même source à l’APS. La dépouille a été transférée vers l’hôpital Houari Boumediene de la commune de Sedrata en présence du chef de l’exécutif local et le directeur de la Protection civile, selon la même source. Les plongeurs et les brigades de la Protection civile sont intervenus mercredi soir, dès l’alerte donnée et ont enclenché des recherches mobilisant 6 plongeurs, plus de 60 pompiers tous grades confondus et d’importants moyens matériel, a rappelé la même source.  Les pluies diluviennes qui sont tombées  dans la nuit de mercredi à jeudi ont inondé le parc communal de Zouabi et endommagé des bus et des tracteurs ainsi que des voitures stationnés dans cette aire a-t-on rappelé, précisant que plusieurs quartiers et habitations et surfaces agricoles ont été également submergés par ces pluies.

58 personnes tuées en moyenne chaque jour en un an en Afrique du Sud
Cinquante-huit personnes ont été tuées chaque  jour en moyenne, en Afrique du Sud en un an, ont rapporté jeudi des médias,  citant la police qui relève que beaucoup de meurtres sont commis par des  proches des victimes. Au total, 21 022 personnes ont été assassinées entre avril 2018 et mars  2019, soit une augmentation de 1,4% par rapport à la même période entre  2017 et 2018. « Un très grand nombre de personnes sont assassinées par les gens qu’elles  connaissent », a déclaré le ministre de la police, Bheki Cele, devant les  députés au Cap. Pour tenter de comprendre ces raisons, le gouvernement a demandé l’aide de  sociologues et de psychologues, a indiqué le ministre. Quelque 1014 victimes étaient des enfants, soit 29% de plus qu’au cours  des 12 mois précédents. Plus de la moitié des meurtres ont été commis  pendant les week-ends entre 21 heures et 3 heures du matin, la plupart du  temps sous l’influence de l’alcool et de la drogue. Le taux d’assassinats en Afrique du Sud a augmenté régulièrement au cours  des six dernières années.

Les gens de petite taille ont plus de risque de diabète
Être de petite taille est associé à un risque accru de développer un diabète de type 2, la forme la plus courante de la maladie, montre une étude publiée mardi qui explique notamment ce lien par un niveau plus élevé de gras dans le foie. Dix centimètres de stature en plus se traduisent en moyenne par «41% de risque en moins de développer un diabète chez les hommes et 33% chez les femmes», selon cet article paru dans Diabetologia, la revue de l’Association européenne pour l’étude du diabète. Les résultats ont été corrigés pour ne pas être influencés par d’autres facteurs tels que l’âge, le mode de vie, le niveau d’éducation ou la mesure du tour de taille des participants. L’étude a porté sur 3 000 Allemands âgés de 35 à 65 ans, sélectionnés parmi 27 000 participants à une vaste enquête de santé. Il s’agit d’une étude observationnelle, c’est-à-dire qu’elle met en évidence un phénomène statistique mais ne démontre pas de lien de cause à effet. La conclusion est encore plus forte pour les participants de «poids normal»: chez ces derniers, 10 cm en plus sont associés à 86% de risque de diabète en moins chez les hommes et 67% chez les femmes, alors que chez les personnes en surpoids ou obèses, la diminution n’est que de 36% et 30% respectivement. Les auteurs avancent plusieurs hypothèses pour expliquer ce lien entre petite stature et risque accru de diabète: «cette association inverse pourrait être en partie due à un niveau moindre de graisse dans le foie et à un profil cardiométabolique plus favorable», écrivent-ils. Le profil cardiométabolique désigne un certain nombre de paramètres (tour de taille, pression artérielle, taux de sucre et de triglycérides dans le sang…) considérés comme des facteurs de risque pour plusieurs problèmes de santé (maladies cardiovasculaires, diabète, maladies du foie, apnée du sommeil, etc.) De précédentes études ont également conclu que les personnes de grande taille ont une meilleure sensibilité à l’insuline et des cellules bêta – les cellules du pancréas qui synthétisent l’insuline – qui fonctionnent mieux. Ces résultats «confirment que la taille est un indicateur utile du risque de diabète et suggèrent que la surveillance des facteurs de risque cardiométabolique pourrait être indiquée plus fréquemment chez les personnes de plus petite taille», indépendamment de leur indice de masse corporelle, concluent les chercheurs de l’Institut allemand pour la nutrition humaine de Potsdam.

Tanzanie : neuf rhinocéros noirs provenant d’Afrique du Sud réinstallés au parc du Serengeti
Neuf rhinocéros noirs provenant d’Afrique du Sud ont été réinstallés dans le parc du Serengeti, dans le nord-ouest de la Tanzanie, dans le cadre d’un programme visant à repeupler les espaces protégés du pays de cette espèce menacée d’extinction, selon des sources officielles. Issus d’une ferme sud-africaine de 37 000 hectares, Thaba Tholo (nord), les rhinocéros sont arrivés mardi matin à l’aéroport international Kilimandjaro (nord), avant d’être acheminés vers le célèbre Serengeti, a indiqué dans un communiqué le ministère tanzanien des Ressources naturelles.
«Nous ferons tout ce qui est en notre pouvoir pour protéger ces animaux», a promis le vice-ministre des Ressources naturelles, Constantine Kanyasu, devant la presse, à l’aéroport.
Selon l’Union internationale pour la conservation de la nature (UICN), il reste environ 5 000 rhinocéros noirs à l’état sauvage, ce qui les place parmi les animaux les plus menacés du monde. Les populations de cet animal qui ne compte que peu de prédateurs à l’état sauvage, notamment en raison de sa taille et de sa peau épaisse, ont été décimées par le braconnage. Ce dernier est alimenté par une demande principalement en Asie, où l’on prête à la corne de rhinocéros des vertus médicinales. Selon la Frankfurt Zoological Society, l’écosystème constitué par le Serengeti et le Masaï Mara, son prolongement côté kényan, abritait il y a 40 ans de 500 à 700 rhinocéros, que le braconnage avait réduits à une dizaine d’individus en 1977-1978.

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