• La meilleure manière de faire le buzz, embêter les responsables de son patelin, se faire remarquer, consiste avant tout disposer d’un compte Facebook opérationnel, et d’un peu d’internet mobile.
• Et puis ?
• Rien de tel pour se « victimiser en effet ».
• Ça rappelle un peu, beaucoup, passionnément, à la folie, l’histoire de ces deux lycéennes qui n’ont pas pu passer leur bac du côté de Tam.
• Elles ont déclenché une campagne de tous les diables. L’élan de sympathie qui a accompagné leurs pleurnicheries était comme du brouillard, à couper au couteau.
• Est-ce qu’on peut arriver avec une heure de retard dans la salle d’examen, quand les sujets ont été lus et relus par tous, et être admis malgré tout, quand une campagne rondement menée vous accompagne dans vos efforts. Est-ce qu’on peut se permettre d’ignorer la mo, de se placer au-dessus d’icelle quand les réseaux sociaux eu la « force-farce » de l’étoile noire vous accompagnent, vous soutiennent et vous encouragent?
• Est-ce qu’il existe encore du brouillard « coupable –de couper- au couteau à Tamanrasset ? wana aâreft…
M. A.