D’après une source du média spécialisé Al Ain Sport, l’entraineur de l’équipe nationale d’Algérie ; Djamel Belmadi a pris contact par téléphone avec le Lyonnais Houssem Aouar pour lui proposer de porter le maillot des Verts. Mais en vain, le sélectionneur de l’équipe nationale d’Algérie, Belmadi n’est pas parvenu à conclure un accord avec le milieu de terrain de l’Olympique lyonnais, Houssem Aouar. Il a cependant constaté que l’Algérie n’a été qu’un second choix pour Aouar. Une réalité qui a mis le guide des Fennecs d’Algérie très en colère ; rapporte le même site. Selon la même source, Belmadi a immédiatement regretté son initiative de chercher auprès ce nouveau « Benzema » qui a préféré la France. D’autant plus qu’il a décidé de ne plus proposer aux joueurs titulaires d’une double nationalité sportive, de représenter l’Algérie. Mais Aouar ne pourra pas honorer la convocation chez les Bleus Après que l’officieux est devenu officiel et que Houssem Aouar a choisi la France aux dépens de l’Algérie. Le milieu de terrain franco-algérien de l’Olympique lyonnais a été convoqué par Deschamps. Cependant, il ne pourra pas honorer cette convocation pour les deux prochains matches de l’équipe de France contre la Suède et la Croatie; programmés les 5 et 8 septembre prochains.
La CNAS dématérialise les arrêts maladie
Bonne nouvelle pour les travailleurs. La CNAS annonce en effet dans un communiqué la dématérialisation des arrêts maladie. Ces derniers, scannés, et renseignés, seront en effet transmis à un site Internet spécialement réservé à cet usage, ce qui permettra d’éviter les déplacements ainsi que les autres démarches bureaucratiques liées à cette procédure. L’adresse du site en question est accessible via le lien suivant : http://elanaa.cnas.dz
D’anciens dirigeants traqués en France
La justice algérienne a sollicité l’entraide de la justice française dans le cadre du processus visant à récupérer les biens mal acquis d’une dizaine d’anciens dirigeants algériens établis en France. Selon les informations rapportées par l’hebdomadaire français Le Point, la justice algérienne a demandé «une entraide judiciaire » à la France « afin d’établir le patrimoine réel d’une dizaine de ses ressortissants ». Cette demande s’inscrit dans le cadre d’un processus engagé par le chef de l’État, Abdelmadjid Tebboune, visant à récupérer les biens mal acquis d’une dizaine d’anciens dirigeants. L’identité des personnes concernées n’a pas été divulguée par les autorités algériennes, cependant, les noms de certains dirigeants du régime d’Abdelaziz Bouteflika remontent à la surface, notamment, qu’avant même le Hirak, des informations avaient fuité sur l’acquisition de biens de luxe en France par des dirigeants et leurs proches. Une enquête a été menée par deux reporters français, Marie-Christine Tabet et Christophe Dubois, et qui a été publiée dans un livre intitulé « Paris Alger : Une histoire passionnelle ». Cette enquête a révélé des noms ainsi que des sommes faramineuses versées pour l’acquisition de ces biens de luxe. Les deux reporters français ont évoqué le nom de l’ancien ministre Abdesslem Bouchareb, qui aurait acquis « en 2006, en étant député, deux lots de 156 m² dans l’un des quartiers les plus prisés de Paris, d’une valeur estimée, actuellement, à plus de trois millions d’euros ». La fille de l’ancien Premier ministre, Abdelmalek Sellal, Rym, a également figuré dans cette enquête, « en 2007, elle aurait acheté un appartement de luxe aux Champs-Élysée, pour pas moins de 860 000 euros ».
« Le document notarié ne fait apparaître aucun prêt bancaire, mais précise que 50 000 euros ont été versés avant ce jour et hors comptabilité de l’étude notariale », précise le même livre au sujet de l’appartement de Rym Sellal. L’ancien secrétaire général du FLN et ex-président de l’APN, Amar Saâdani, fait aussi partie de la liste des noms cités dans le livre, ce dernier aurait « acquis un domicile à Neuilly-sur-Seine ». « Il a entamé en son nom propre les premières démarches avec le vendeur avant de constituer une SCI plus discrète », indique la même source concernant Amar Saâdani. L’ancien PDG de la Société d’investissement hôtelier (SIH), Hamid Melzi, quant à lui, il aurait acquis plusieurs biens dans la capitale parisienne.
Le « démenti » de Nezzar
Le général à la retraite Khaled Nezzar, condamné par la justice militaire pour «complot» et réfugié à l’étranger, a démenti avoir pris attache avec les autorités du pays pour négocier sa reddition. «Il m’importe de signaler qu’aucune discussion n’est en cours avec les autorités du pays, ni civiles ni militaires. Depuis mon exil en juin 2019, je n’ai jamais eu à discuter avec elles et je n’ai jamais exigé le départ de quiconque», a expliqué l’ex-chef d’état-major de l’armée dans une déclaration rendue publique. En septembre 2019, le tribunal militaire de Blida avait condamné à 20 ans de prison Khaled Nezzar, son fils Lotfi, ainsi que Farid Benhamdine, gérant de la Société algérienne de pharmacie, tous les trois jugés par contumace dans le cadre de l’affaire dite des «réunions secrètes».
Les menaces de Bartomeu
L’avenir de Lionel Messi à Barcelone fait l’objet de débat suite à la décision de l’Argentin de quitter le club catalan. Et depuis que Messi a clairement indiqué qu’il voulait partir, les dirigeants du club ont eu une série de réunions pour calmer la situation. Messi était furieux après la défaite embarrassante de Barcelone contre le Bayern Munich en Ligue des champions, ce qui a également mis les fans du club en colère. Les fans de Barcelone ont ensuite pris d’assaut le Camp Nou en signe de protestation en disant à Josep Bartomeu de rendre sa démission.
Bartomeu a le droit de rester au club pendant un an de plus lorsque les nouvelles élections présidentielles auront lieu au Camp Nou. Mais, apparemment avec les récentes pressions, Bartomeu aurait déclaré qu’il quitterait si Messi promet de rester, rapporte TV3. Le six fois vainqueur du Ballon d’Or a stupéfié les dirigeants catalans lorsqu’il a exprimé ses envies d’ailleurs par fax plus tôt cette semaine.