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LE PRESIDENT DE LA FONDATION ALGERIENNE DES ANCIENS PARLEMENTAIRES, ABDELKRIM ABIDAT : « Engagés pour réussir le dialogue national »

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Placé sous le signe « Renforçons le front intérieur », la  Fondation algérienne des anciens parlementaires (FAAP), a installé, en un temps record, 58 comités et coordinateurs de wilayas,  du Nord au Sud et de l’Est à l’Ouest. C’est, en effet, un pari réussi pour cette jeune organisation née tout juste il y a deux ans. C’est même exploit au moment où des organisations de masse et des partis politiques n’arrivent à se structurer que dans les grandes villes du pays.

Concernant cette initiative, comme nous l’a expliqué le président  de la FAAP, Abdelkrim Abidat,  elle  fait suite à « une grande mobilisation qui a touché  un nombre très important  d’anciens parlementaires issus des deux chambres. »  Selon notre interlocuteur,  les anciens élus du Parlement national qui ont rejoint le FAAP ont manifesté leur pleine adhésion et leur plein soutien à cette « louable initiative » qui met les intérêts de la Nation en tête des priorités.

Dans la foulée de sa marche vers une restructuration plus large et plus représentative des parlementaires, la FAAP a tenu, le 25 décembre dernier, au Centre culturel Larbi Ben M’hidi à Alger, une rencontre qui a permis aux 58 coordinateurs des wilayas de recevoir, chacun, une médaille de mérite en signe de respect et de considération. En sus d’un diplôme d’honneur accompagnant cette distinction. Lors de cette rencontre, Abidat n’a pas manqué de rendre hommage au président de la République, Abdelmadjid Tebboune, pour « les grands efforts déployés à l’effet de faire avancer cette Algérie nouvelle dans un projet digne et prospère. » Pour donner corps à ses propos, la FAAP a, par la voix de son président, affirmé son soutien total à l’idée du dialogue national initié par le chef de l’Etat qui, dans son Discours sur l’état de la Nation prononcé dimanche dernier au Palais des nations, a remis au gout du jour ce projet qu’il dit organiser « dans la sérénité et loin de tout populisme et marchandage. »

Farid G.  

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