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LE FONDS SOUVERAIN NORVÉGIEN ROMPT AVEC LES ENTREPRISES LIÉES À L’OCCUPATION ET AU GÉNOCIDE EN PALESTINE : Coup dur pour l’entité sioniste 

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Le fonds souverain norvégien, le plus grand au monde, a annoncé hier l’exclusion de six entreprises liées à l’occupation en Cisjordanie et à l’agression génocidaire contre la bande de Ghaza. 

Cette décision traduit une volonté claire : refuser toute complicité économique avec l’entité sioniste, accusée de crimes de guerre et de violations massives du droit international. Avec plus de 2 000 milliards de dollars d’actifs, le fonds norvégien représente une force financière mondiale. Son retrait massif sonne comme une condamnation éthique et politique, en écho aux appels de la société civile internationale qui dénonce la collaboration de certaines multinationales avec l’appareil militaire sioniste. Le gouvernement norvégien a exigé cette révision du portefeuille afin de garantir le retrait de toutes participations dans des sociétés alimentant l’occupation coloniale en Cisjordanie ou participant directement à la guerre d’extermination contre Ghaza. Une enquête du quotidien Aftenposten avait révélé que le fonds détenait des parts dans une société sioniste spécialisée dans les moteurs aéronautiques, fournissant notamment des services de maintenance aux avions de combat utilisés pour bombarder Ghaza. Cette révélation a choqué l’opinion publique norvégienne et accéléré la décision politique de désengagement. Désormais, le comité d’éthique du fonds évaluera tous les trois mois les activités des entreprises sionistes. Début août, le fonds avait déjà annoncé la fin de ses contrats avec des gestionnaires d’actifs opérant dans l’entité sioniste. Jusqu’au 30 juin 2025, il détenait des parts dans 61 sociétés sionistes, dont plusieurs directement impliquées dans l’industrie militaire, mais il a déjà liquidé ses participations dans 11 d’entre elles. Le ministre des Finances, Jens Stoltenberg, a déclaré qu’il était inacceptable qu’un fonds national, censé respecter des principes éthiques, contribue, même indirectement, au génocide en cours à Ghaza.

Une économie de guerre au bord du gouffre 

Parallèlement à ce désaveu international, l’économie de l’entité sioniste s’enfonce dans une crise sans précédent. Le Bureau central des statistiques a révélé un recul de 3,5 % du PIB au deuxième trimestre 2025, conséquence directe de la guerre contre l’Iran et du coût exorbitant de l’offensive contre Ghaza. Le quotidien Maariv estime que la guerre contre l’Iran a entraîné des pertes de 52 milliards de shekels (plus de 14 milliards de dollars) en seulement douze jours, équivalant à 1,3 % du PIB. Même en supposant une reprise économique partielle, la facture reste colossale et pèse lourdement sur la stabilité de l’économie sioniste. Les médias sionistes eux-mêmes reconnaissent que le coût de la guerre d’anéantissement contre Ghaza dépasse désormais 300 milliards de shekels (81 milliards de dollars). Cette somme astronomique résulte en grande partie des dépenses militaires destinées à maintenir un siège meurtrier et à financer une machine de guerre accusée d’affamer et de massacrer la population civile. Shaoul Amsterdamski, analyste économique de la chaîne publique Kan, admet que « l’essentiel de cette facture est directement lié aux opérations militaires », révélant l’ampleur de l’économie de guerre qui saigne le budget sioniste. Face à cette spirale destructrice, même les agences de notation réagissent. Standard & Poor’s Global a exclu tout relèvement de la note de crédit de l’entité sioniste tant que la guerre perdure, soulignant que le conflit fragilise à la fois l’économie et les finances publiques.

M. Seghilani 

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