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LA POLITIQUE DU PRÉSIDENT TEBBOUNE VUE PAR LES EXPERTS : La relance économique en bonne voie

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Les experts font constater qu’en deux ans, la politique économique mise en œuvre par le président Abdelmadjid Tebboune a permis de remettre sur les rails plus d’un millier d’entreprises nationales et la création de plus de 35 000 emplois. Et pas que …

La relance de l’économie nationale, seule à même de répondre aux intérêts de la population et de libérer l’Algérie de la dépendance excessive des importations, est en bonne voie, selon des experts. Ils en donnent pour preuves une série de faits concernant la croissance économique hors hydrocarbures, la production nationale dans divers domaines, la création d’emplois, la réduction de la facture des importations, la redynamisation du secteur public, l’amorce d’une nouvelle dynamique dans le commerce extérieur vers l’Afrique et le monde arabe,…
La nouvelle approche pour la promotion des investissements productifs avec de nouveaux partenaires est illustrée, de façon significative, par l’appel aux Algériens qui résident à l’étranger à investir dans leur pays. Lors de ses déplacements dans les capitales de plusieurs pays arabes, le président Abdelmadjid Tebboune a tenu à rencontrer lui-même ces Algériens pour solliciter leur participation à la relance de l’économie nationale par leurs compétences et par leurs capitaux. À l’intérieur du pays, tous les efforts sont faits pour faire démarrer les projets d’investissements productifs et créateurs d’emplois, qui étaient bloqués pour diverses raisons. La levée des obstacles sur les projets d’investissements est accompagnée par une cellule chargée de veiller à l’interdiction de l’importation des produits fabriqués localement, en vue de préserver l’industrie nationale. Car, il n’est pas question de lever l’obstacle qui consiste à protéger les intérêts du pays.
Les experts font constater qu’en deux ans, la politique économique mise en œuvre par le président Abdelmadjid Tebboune a permis de remettre sur les rails plus d’un millier d’entreprises nationales et la création de plus de 35 000 emplois, orientés vers le renforcement de la production nationale, condition indispensable à la réduction du recours aux importations avec ce qu’elles comportent comme risques de surfacturations et saignée de devises vers les comptes en banque à l’étranger.
Les mêmes observateurs relèvent que la démarche du président Tebboune ne plait pas aux lobbies proches des milieux de la corruption qui se trouvent contrariés dans leurs pratiques de prédation. Ces lobbies tentent de bloquer la relance économique, en semant les rumeurs et les fausses informations pour tromper l’opinion publique avec l’objectif de créer des crises dans la société, notamment par la pénurie de produits de large consommation.
La politique économique menée par le président Tebboune a permis de rendre à l’État les biens spoliés par les hommes d’affaires condamnés définitivement par la justice dans des affaires de corruption. Plusieurs entreprises privées appartenant à ces hommes d’affaires ont été nationalisées et intégrées au secteur public marchand. Sous de nouvelles appellations, ces entreprises ont commencé à apporter leur contribution à la satisfaction de la demande nationale et à la réduction des importations. L’opération de récupération par l’État de sociétés privées créées avec l’argent public, garantit la préservation à la fois de l’outil de production et des postes d’emplois. Elle est appelée à se poursuivre au grand bénéfice de l’économie nationale et des Algériens.
Tout dernièrement, lors du Conseil des ministres réuni ce dimanche, le président Tebboune a pris des décisions qui confirment la volonté de relance de l’économie nationale sur des bases qui correspondent aux intérêts du pays. Ainsi, la fusion des filiales de la CNAN (Compagnie nationale algérienne de navigation) va donner à cette entreprise publique les moyens de retrouver rapidement la place qu’elle occupait dans les échanges extérieurs de l’Algérie et qu’elle a perdue à cause de restructurations qui entraient dans le cadre du démantèlement du secteur d’État opéré à partir de la fin des années 1980. La flotte maritime nationale sera renforcée par l’acquisition de nouveaux navires pour le transport commercial, avec de nouvelles destinations vers les pays africains.
M’hamed Rebah

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