La nature et l’essence criminelle des dirigeants sionistes ne peuvent être dissimulées derrière le masque de la bienséance. Il suffit de tendre le micro ou d’offrir l’espace des colonnes d’un journal pour les voir vomir toute leur haine.
Bezalel Smotrich, Netanyahou ou encore Itamar Bengvir qui sont poursuivis devant la Cour pénale internationale pour crimes de guerre et contre l’humanité ont fait des émules parmi leurs congénères qui se recrutent dans la congrégation des assassins des enfants de Ghaza, des racistes et des suprématistes de tous bords. Il y a quelques jours, la ministre israélienne des colonies, Shoshana Strook, qui est connue pour son hostilité intense et son extrémisme envers les Palestiniens, avait déclaré qu’elle préférait une victoire stratégique dans la guerre contre la population, à un retour négocié des prisonniers de guerre que détient la résistance palestinienne. Elle a affirmé qu’elle est une opposante de premier plan à tout accord d’échange de prisonniers et à la fin de la guerre à Ghaza. Le 12 janvier dernier, elle avait déclaré « tous les efforts pour assainir le secteur seront vains si l’accord est conclu selon les conditions proposées.». En un mot comme en mille, elle avait appelé les dirigeants sionistes à poursuivre le génocide contre la population de Ghaza et à poursuivre l’épuration ethnique. Curieusement on ne retrouve pas ses propos repris par les médias occidentaux car ils constituent une preuve à charge contre les sionistes et un aveu qui pourrait renvoyer tout le gouvernement Netanyahou et ses démembrements devant la cour pénale internationale. Shoshana Strook est membre du parti du sioniste religieux, dirigé par le ministre des Finances d’extrême-droite Bezalel Smotrich. Dans une de ses précédentes déclarations, elle avait affirmé son soutien à la colonisation partout en Palestine occupée.
La radio militaire israélienne l’avait citée en disant : « Ghaza fait bien sûr partie d’Israël », une déclaration également passée sous silence par les médias pro-israéliens du monde occidental qui se prétend libre. Mais à voir de plus près le profil de cette écervelée, on découvre son état psychotique. Cette dernière, enfant, avait subi un acte incestueux perpétré par son père. Dans une vidéo publiée sur les réseaux sociaux, elle avait déclaré : « bonjour… Je voulais partager quelque chose avec vous, après l’avoir caché pendant longtemps. Je m’appelle Shoshanna Stroke. J’ai été abusée sexuellement par mon père quand j’étais enfant ». Elle affirme, dans sa vidéo qu’elle avait été psychologiquement affectée par ce qu’elle avait vécu ce qui l’avait conduite à quitter Israël. Elle est retournée à Tel-Aviv quelques années plus tard et il y a environ un mois et demi, elle a déposé une plainte auprès de la police israélienne contre ses parents, les accusant d’agression sexuelle. Sa déposition a été interdite de publication et l’affaire et ses détails ont été passés sous silence, jusqu’à ce qu’elle apparaisse pour révéler le scandale.
Dans sa vidéo elle a appelé les autorités de l’entité sioniste à lui fournir une protection, y compris contre sa propre famille, déclarant : « je suis maintenant rentrée en Israël avec mon mari, après avoir réalisé que j’avais été menacée par des éléments criminels. Je demande à la police de me protéger de ces éléments et de ma famille ». C’est cette personne qui donne tout l’air d’être instable sur le plan psychologique, qui traine un passé bouleversé qui appelle au nettoyage ethnique de la bande de Ghaza, qui appelle au génocide et qui affiche clairement sa haine contre tout ce qui est humain en diabolisant même l’image de son père.
Slimane B.