Vingt-six (26) personnes sont décédées et 1476 autres ont été blessées dans 1342 accidents de la circulation survenus durant la période du 16 au 22 novembre en cours à travers le territoire national, indique mardi un bilan de la Protection civile. Le bilan le plus lourd a été enregistré au niveau de la wilaya de Biskra avec 5 personnes décédées sur les lieux d’accident et 27 autres blessées suite à 36 accidents de la circulation, précise la même source. Par ailleurs, les éléments de la Protection civile ont effectué 1130 interventions pour procéder à l’extinction de 747 incendies notamment urbains et industriels, dont les plus importants ont été enregistrés au niveau des wilayas d’Alger (132 incendies), Tipaza (52 incendies) et Blida (37 incendies). En ce qui concerne les secours à personnes, 16301 interventions ont été effectuées, qui ont permis la prise en charge de 16113 blessés et malades traités sur les lieux d’accidents avant de procéder à leurs évacuation vers les structures sanitaires.
Des chutes de neige sur les reliefs du Centre et de l’Est, mercredi et jeudi
Des chutes de neige affecteront, mercredi et jeudi, plusieurs wilayas du Centre et de l’Est du pays, indique mardi un Bulletin météorologique spécial (BMS) émis par l’Office national de la météorologie (ONM). Les wilayas concernées par ce BMS, sont Tizi Ouzou, Bouira, Bejaïa, Jijel, Sétif, Bordj Bou Arreridj et Mila, à partir de mercredi à 12h00 jusqu’à jeudi à 23h00, précise le BMS. L’épaisseur de la neige oscillera entre 10 et 20 cm. Des chutes de neige affecteront également les wilayas de Constantine, Guelma, Skikda, Souk Ahras, Oum El Bouaghi, Khenchela, et ce, de mercredi à 21h00 jusqu’à jeudi à 23h00, précise le BMS qui ajoute que l’épaisseur de la neige est estimée entre 05 et 10 cm. Ces chutes de neige affecteront également les wilayas de Blida, Aïn Defla, Tissemsilt et Médéa à partir de mercredi à 15h00 jusqu’à jeudi à 6h00 et l’épaisseur de la neige est estimée entre 05 et 10 cm.
Un athlète meurt après s’être effondré lors d’un combat de boxe thaïlandaise
Le combattant américain de MMA, Isaac Johnson est mort à 31 ans après avoir participé à un événement de sports de combat organisé en périphérie de Chicago, où il s’est effondré sur le ring lors de son premier combat en boxe thaïlandaise, ont rapporté lundi des médias. Présent pour le « Matador Fighter Challenge » à Cicero, en banlieue de Chicago, l’Américain s’est écroulé au cours du troisième round et a immédiatement été transporté à l’hôpital, d’après le promoteur de l’événement Joe Goytia. Le combattant est mort quelques heures plus tard d’une cause encore inconnue, les résultats de l’autopsie réalisée après sa mort n’ayant pas encore été communiqués. « Je n’ai pas les mots pour exprimer ce que je ressens en ce moment », a notamment écrit Goytia dans une publication sur les réseaux sociaux. Johnson, âgé de 31 ans, participait à son premier combat en boxe thaïlandaise et affrontait Corey Newell dans la catégorie poids lourds. Avant le drame, Johnson – tout comme son adversaire – avait déjà été envoyé au sol. Une enquête a été ouverte par la police de Cicero.
80 participants attendus au Salon de l’apiculture à Tizi-Ouzou
Pas moins de quatre-vingt (80) exposants prendront part, mercredi prochain à Tizi-Ouzou, à la 2e édition du Salon national de l’apiculture et des petits élevages, a-t-on appris lundi de la Coopérative agricole polyvalente de la wilaya (CAPTO), organisatrice de la manifestation. Il s’agit de 80 agriculteurs, dont 35 femmes, représentant 17 wilayas, et parmi lesquels on dénombre une trentaine (30) d’apiculteurs ainsi qu’une quarantaine (40) d’entreprises spécialisées dans le domaine de l’agriculture, a indiqué à l’APS, Remtane Ladaouri, président de la CAPTO. Par cette manifestation qu’abritera la salle omnisports Saïd Tazrout du 26 au 29 novembre courant, la CAPTO entend mettre en valeur la filière apicole au niveau de la wilaya, mais aussi, permettre les échanges entre les différents acteurs de la filière, apiculteurs, entreprises et les divers organismes et institutions d’accompagnement. Selon des statistiques de la direction locale de l’agriculture (DSA), la wilaya compte quelque 3.500 apiculteurs, 1.269 aviculteurs et 129 cuniculteurs, s’agissant du petit élevage. La manifestation, placée sous le thème « Le producteur agricole, gardien de votre assiette », est organisée en collaboration avec la DSA, la chambre locale de l’agriculture ainsi que l’Assemblée populaire de wilaya (APW).
Arrestation à Sétif d’un individu détenant et commercialisant des équipements sensibles
Les éléments du service de police judiciaire de la sûreté de wilaya de Sétif ont arrêté un individu impliqué dans une affaire de possession et de commercialisation d’équipements sensibles (drones) sans autorisation des autorités compétentes, selon un communiqué publié lundi par ce corps constitué. Le document précise que l’individu en question a également créé un atelier clandestin destiné à la réparation des drones dont dix-sept (17) ont été saisis par les policiers. Il est également précisé que l’opération a été menée après repérage d’une publication sur les réseaux sociaux dans laquelle une personne âgée de 30 ans proposait à la vente des équipements sensibles, à savoir des drones de petite taille. L’enquête diligentée par l’équipe spécialisée a permis d’identifier puis d’arrêter l’individu en question après la découverte de l’atelier de réparation et la perquisition de son domicile, opérée en coordination avec le parquet, où 17 drones appartenant illégalement à des personnes résidant dans différentes wilayas du pays qui confiaient pour réparation les drones à l’individu appréhendé, ont été découverts et saisis, souligne le communiqué. Après finalisation des procédures légales d’usage, le suspect a été présenté devant le procureur de la République près le tribunal de Sétif pour « acquisition, possession et commercialisation d’équipements sensibles (drones) sans autorisation des autorités compétentes, introduits par voie de contrebande, et création d’un atelier clandestin de maintenance et de réparation », conclut le communiqué.
Près de 7.000 personnes portées disparues depuis le début du conflit au Soudan en 2023
Près de 7.000 personnes sont portées disparues au Soudan depuis le début du conflit en avril 2023, dont la plupart après avoir été arrêtées par les Forces de soutien rapide (FSR), a indiqué le représentant du Comité international de la Croix-Rouge (CICR) dans le pays, Hussein Ibrahim Rassoul. « La plupart des personnes disparaissent après avoir été arrêtées par les forces de soutien rapide (FSR). Certaines ont été libérées après le paiement d’une rançon, d’autres sont mortes de faim et du manque de soins médicaux dans les centres de détention. Cependant, le sort de la majorité reste inconnu », a souligné Hussein Ibrahim Rassoul, cité par le journal Sudan Tribune, jeudi. Au total, le CICR « a enregistré près de 7.000 disparus depuis le début du conflit au Soudan le 15 avril 2023 jusqu’à ce jour », a constaté le représentant de l’organisation. Le conflit opposant l’armée soudanaise aux Forces de soutien rapide (FSR) a fait des dizaines de milliers de morts, des millions de déplacés et plongé le pays dans la plus grande crise humanitaire au monde, selon l’ONU. La majorité des personnes déplacées d’El Fasher se dirigent vers un camp de réfugiés situé près de la ville de Tawila. Ce camp héberge actuellement 655.000 personnes. Les trois quarts d’entre elles vivent dans des installations informelles et des sites de regroupement en plein air. « La plupart sont des femmes, des enfants et des personnes âgées », a indiqué le représentant du CICR. « Leur situation est extrêmement difficile. Ils souffrent de la faim, de la soif, de choc et d’épuisement. Certains sont blessés ou malades et ont perdu le contact avec leurs proches », a-t-il affirmé.
Plus 350.000 femmes meurent chaque année d’un cancer du col de l’utérus
Plus 350.000 femmes meurent chaque année d’un cancer du col de l’utérus, indique l’Organisation mondiale de la santé (OMS), à l’occasion de la première Journée de de l’élimination du cancer du col de l’utérus, célébrée désormais, le 17 novembre de chaque année. « Cette journée mondiale met en lumière une opportunité cruciale : le cancer du col de l’utérus, quatrième forme de cancer la plus courante chez la femme, entraîne plus de 350.000 décès chaque année », affirme l’OMS dans un communiqué, rappelant que « des outils sont pourtant disponibles pour éliminer cette maladie ». Aujourd’hui marque la première Journée mondiale de l’élimination du cancer du col de l’utérus, conformément au mandat défini par l’Assemblée mondiale de la Santé, « à savoir une étape historique dans les efforts mondiaux pour mettre fin à un cancer évitable », souligne l’OMS. La Journée soutient les piliers fondamentaux de la stratégie mondiale d’élimination de l’OMS, à savoir la vaccination de 90 % des filles contre le HPV, le dépistage de 70 % des femmes et le traitement de 90 % de celles atteintes de lésions précancéreuses ou d’un cancer invasif. Elle constitue aussi une plateforme essentielle pour renforcer les actions de plaidoyer, accélérer la prestation des services et mobiliser des ressources afin de garantir que chaque femme et chaque fille ait accès à des soins d’importance vitale. « De plus en plus de pays intensifient la vaccination contre le HPV, améliorent le dépistage et étendent les traitements », a déclaré le directeur général de l’OMS, Tedros Adhanom Ghebreyesus, cité dans le communiqué, soulignant que « nous nous rapprochant ainsi d’un avenir sans cancer du col de l’utérus ». L’Alliance pour le Vaccin (GAVI), et ses partenaires estiment que l’objectif ambitieux consistant à atteindre 86 millions de filles d’ici la fin de 2025 a été réalisé. Le nombre de filles à vérifier sur la base des estimations officielles de couverture par le vaccin anti-VPH de l’OMS/UNICEF sera publié en juillet 2026.













































