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irritéeELLE CHERCHE À FAIRE TAIRE LA VÉRITÉ EN INTERDISANT LES MÉDIAS ÉTRANGERS : L’entité sioniste irritée parle triomphe du récit palestinien irritée

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Alors que le récit palestinien s’impose de plus en plus sur la scène internationale, dévoilant au grand jour les crimes commis à Ghaza et l’ampleur de la guerre d’extermination en cours, l’entité sioniste intensifie sa guerre contre la vérité.
Confrontée à une perte d’influence médiatique, Israël interdit désormais aux médias étrangers de couvrir les récentes frappes de missiles iraniens sur son territoire. Une décision interprétée par de nombreux observateurs comme une tentative de masquer la réalité des faits et d’empêcher la diffusion d’images contredisant la version officielle israélienne. Le ministère iranien des Affaires étrangères a dénoncé cette interdiction comme une censure visant à dissimuler les crimes de guerre de l’entité sioniste. Dans un message publié vendredi sur les réseaux sociaux, la diplomatie iranienne a lancé un appel aux médias internationaux, les exhortant à « dénoncer les agressions sionistes contre les civils iraniens » et à « relater fidèlement les faits ». « Le monde doit voir la vérité ! Le régime sioniste ne se contente pas d’agresser l’Iran, il mène une guerre contre la vérité et la conscience humaine », peut-on lire dans le communiqué. L’interdiction faite aux médias étrangers de couvrir les conséquences des frappes iraniennes, notamment sur les sites militaires touchés, révèle une volonté claire de contrôle de l’information. Selon Téhéran, l’objectif est de masquer l’ampleur des dégâts et de maintenir l’illusion d’une invulnérabilité israélienne. Pendant ce temps, les frappes israéliennes du 13 juin contre des installations nucléaires, militaires et résidentielles en Iran ont causé la mort de nombreux civils. En réponse, les forces iraniennes ont immédiatement riposté. La force aérospatiale du Corps des Gardiens de la révolution islamique a mené plusieurs vagues de frappes ciblant avec précision des infrastructures militaires israéliennes. Contrairement aux méthodes de l’entité sioniste, qui selon Téhéran « massacre délibérément des civils, détruit des hôpitaux et plonge des familles entières dans un deuil sans fin », les autorités iraniennes affirment avoir limité leurs frappes à des cibles strictement militaires. Pour appuyer cette position, l’Iran a annoncé l’organisation de tournées de presse internationales, afin de montrer les dégâts causés par les frappes israéliennes sur des quartiers résidentiels et de dénoncer les violations du droit international humanitaire. Dans son communiqué, le ministère iranien a rappelé que l’agression israélienne du 13 juin n’était pas une réponse, mais une attaque « non provoquée » contre un pays « engagé en faveur de la paix ». Face à cette agression, la riposte iranienne s’est voulue à la fois ferme et ciblée, affirmant son droit à l’autodéfense conformément à la charte des Nations unies. Le ministère a par ailleurs accusé Israël de chercher à empêcher toute couverture médiatique indépendante afin de continuer à mentir impunément sur ses opérations et leurs conséquences. Le silence de nombreux médias occidentaux face à cette censure soulève de sérieuses questions sur les standards éthiques et la liberté de la presse. L’Iran appelle la communauté internationale à ne pas céder à la désinformation orchestrée par l’occupant israélien et à faire entendre les voix des victimes de cette guerre silencieuse. Le contrôle de l’image devient, dans ce contexte, une arme stratégique. Après avoir perdu la bataille du récit à Ghaza, l’entité sioniste redoute une nouvelle défaite narrative, cette fois face à l’Iran. L’interdiction imposée aux journalistes étrangers ne vise pas seulement à protéger des secrets militaires, mais à empêcher la vérité d’éclater. Elle reflète la fragilité d’un pouvoir qui ne tient plus que par la dissimulation et la répression de l’information. Dans ce nouveau chapitre du conflit, ce n’est plus seulement une guerre de missiles qui se joue, mais une guerre de récits, de crédibilité et de dignité. L’Iran, de son côté, affirme vouloir opposer à la censure une stratégie de transparence. Reste à savoir si le monde écoutera cette vérité ou continuera de se voiler la face.
M.Seghilani

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