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FICHIER NATIONAL D’IMMATRICULATION DES VÉHICULES : Nécessité de finaliser la correction des erreurs avant le 9 novembre

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Le ministère de l’Intérieur, des Collectivités locales et des Transports a souligné au cours d’une journée d’étude consacrée au suivi de la mise en œuvre du projet du fichier national d’immatriculation des véhicules, la nécessité de parachever les opérations d’assainissement et de correction des erreurs avant le 9 novembre prochain.
Organisée sous la supervision du directeur général de la modernisation, des documents et des archives, en compagnie du directeur général des libertés publiques et des affaires juridiques du ministère, cette journée d’étude s’inscrit dans le cadre de « la mise en œuvre des instructions du ministre de l’Intérieur, des Collectivités locales et des Transports, visant à parachever les chantiers de modernisation dans les délais fixés par le président de la République, Abdelmadjid Tebboune », précise la même source. À cette occasion, un exposé exhaustif a été présenté sur les étapes de parachèvement du fichier national et du nouveau système d’immatriculation, tout en soulignant «la nécessité d’achever les opérations d’assainissement et de correction des erreurs avant le 9 novembre 2025 ».
Cette journée a permis « de débattre et d’échanger des vues ainsi que de soulever les préoccupations techniques et organisationnelles et de fournir des explications précises aux services des wilayas ». « Les efforts déployés aux niveaux central et local pour la réussite de ce projet numérique important » ont été soulignés, à cette occasion, a ajouté la même source. Lors de cette rencontre, qui a réuni des cadres des services centraux, des directeurs techniques et des affaires générales, ainsi que des représentants des services concernés des 58 wilayas, les participants ont rappelé «la nécessité de généraliser le nouveau système avant la fin de l’année en cours, en sus de recourir à la lecture automatique de la carte nationale d’identité biométrique, afin de renforcer la sécurité et l’efficacité des différentes transactions numériques».
Ania N.

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